SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
«Paye tes impôts !» : ATTAC «fête» l'inauguration de l'Apple Store des Champs-Elysées

source : twitter

Des militants d'Attac ont mené une action devant le nouvel Apple Store parisien des Champs-Elysées. Ils ont dénoncé la propension du géant américain à cacher ses profits dans des paradis fiscaux et fustigé l'inaction du gouvernent français.

 

«Apple, paye tes impôts !» : plusieurs dizaines de militants de l'organisation altermondialiste Attac se sont rassemblés le 18 novembre devant l'Apple Store qui a ouvert au public sur les Champs-Elysées. Objectif : dénoncer les pratiques d'évasion fiscale des multinationales, à l'instar du géant américain de l'informatique.

 

«Nous venons fêter, à notre façon, l'inauguration du magasin Apple sur les Champs-Elysées, pour rappeler qu'Apple est l'une des plus grandes évadées fiscales du monde», a lancé la porte-parole d'Attac, Aurélie Trouvé, tandis que les militants portant des perruques bariolées et des chapeaux pointus dansaient au son de la fanfare et lançaient des confettis.

 

[...]

 

LA SUITE EN LIEN CI-DESSOUS:

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
FACE au MOUVEMENT SOCIAL toujours la même MISE EN SCÈNE MÉDIATIQUE et politique !

Nous sommes entrés dans une nouvelle phase de la réaction du système médiatique et politique face au mouvement des « gilets jaunes ».

Le temps semble en partie dépassé d'une présentation sympathique de leur action.

Et ce sont les mêmes forces qui se dressent pour défendre l'ordre établi, dans leur diversité récurrente ; qu'on en juge avec leur montée au créneau :

FACE au MOUVEMENT SOCIAL toujours la même MISE EN SCÈNE MÉDIATIQUE et politique !

Christophe CASTANER le ministre de l'intérieur :

Il dénonce « la dérive totale du mouvement »  « On voit qu'on a une radicalisation avec des revendications qui ne sont plus cohérentes, qui vont dans tous les sens ».

FACE au MOUVEMENT SOCIAL toujours la même MISE EN SCÈNE MÉDIATIQUE et politique !

Bruno LE MAIRE le  ministre de l'Économie et des Finances :

Il dénonce « un certain nombre de dérives » au cours des mobilisations. Des actes parfois « homophobes, racistes, des violences et ce n’est pas acceptable », et il exclut tout geste en direction du mouvement.

FACE au MOUVEMENT SOCIAL toujours la même MISE EN SCÈNE MÉDIATIQUE et politique !

Laurent BERGER, secrétaire général de la CFDT :

s'inquiète de dérives au troisième jour de la mobilisation des «gilets jaunes» contre la hausse des prix des carburants, condamnant des «pratiques inquiétantes»

Et « qu'on soit obligé [d'être] d'accord avec ceux qui manifestent pour pouvoir passer, c'est une forme de totalitarisme qui n'est pas acceptable »

 

Et les casseurs entrent en scène...

Et, ô hasard, au même moment les casseurs entrent en jeu et on signale sur France 2, images à l'appui l'incendie dans la nuit des automates de péage de Virsac en Gironde, point fort des blocages, tandis que BFM-TV comme d'habitude tourne en boucle sur les dégâts.

FACE au MOUVEMENT SOCIAL toujours la même MISE EN SCÈNE MÉDIATIQUE et politique !

******

Le mouvement syndical sait depuis longtemps quels arguments utilisent les chiens de garde de l'ordre bourgeois et comment ils sont devenus experts dans l'instrumentalisation de la violence aveugle pour discréditer auprès de l'opinion TOUT mouvement qui conteste leurs intérêts et leur domination.

 

C'est donc une préoccupation qui doit accompagner la construction et le déploiement de toute authentique résistance populaire. 

FACE au MOUVEMENT SOCIAL toujours la même MISE EN SCÈNE MÉDIATIQUE et politique !
FACE au MOUVEMENT SOCIAL toujours la même MISE EN SCÈNE MÉDIATIQUE et politique !

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Les MÉNAGES ont perdu près de 500 euros de revenu entre 2008 et 2016, selon l'OFCE

Cette baisse s'explique par les réformes fiscales et sociales, selon l'Observatoire français des conjonctures économiques

Entre 2008 et 2016, les ménages ont perdu en moyenne près de 500 euros de revenu disponible, révèle une étude de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), publiée dans le dernier Portrait social de la France de l'Insee mardi 20 novembre. Le revenu disponible est ce qui reste aux ménages une fois déduits les impôts et les cotisations.

Cette baisse de revenus concerne une grande partie de la classe moyenne (67%) et s'explique par les réformes fiscales et sociales. Les ménages de revenu médian ont perdu précisément 470 euros et les 5% les plus modestes 160 euros. Par ailleurs, l'étude montre que les 5% les plus riches ont perdu 2 500 euros de revenu disponible en 2016 par rapport à 2008.

Augmentation des prélèvements

L'augmentation des prélèvements a pénalisé les ménages les plus riches. Les classes moyennes ont quant à elles été amputées par l'augmentation des cotisations sociales ou par les prélèvements sur les revenus du capital.

L'effet des réformes est plus contrasté pour les plus pauvres. Elles ont bien permis d'atténuer les effets de la crise de 2008 et donc d'éviter une plus grande pauvreté, mais un tiers des ménages les plus modestes ont tout de même vu leurs revenus diminuer.

Hasard du calendrier, la publication de cette étude intervient en plein mouvement des "gilets jaunes", qui dénoncent la baisse du pouvoir d'achat et réclament une baisse des taxes.

SOURCE :

Publié par EL DIABLO

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Aujourd’hui, nous étions à la Cour d’appel d’Amiens pour interjeter l’appel de la décision du conseil des prud’hommes de Compiègne sur la reconnaissance des diplômes.

Nous mettons à votre disposition (ci-dessous) une toute partie des conclusions de la partie adverse (Avocat d’Unilever) qui fait une précision très réductrice du métier de régleur, c’est-à-dire conducteur de ligne !

Nous savions depuis bien longtemps que notre direction avait l’image de notre métier par « de simple presse-bouton, bouton rouge et bouton vert » !

Maintenant, la direction va beaucoup plus loin, elle dénigre complètement notre fonction. (Plaidoirie de l’avocate d’Unilever)

Ainsi, nous ne cessons pas l’exécution de notre contrat de travail en présence d’un dysfonctionnement sur les machines pour faire intervenir la maintenance comme tente de faire croire l’employeur dans ses écritures.

Nos tâches ne consistent pas à effectuer que des tâches mécaniques sinon cela serait en contradiction avec la fiche de fonction.

La direction se fout de nous !

Maintenant, si nous appliquons réellement la vision qu’elle a de notre fonction, c’est-à-dire, d’arrêter notre travail en cas de dysfonctionnement des machines, prévenir la maintenance et de remplir un bout de papier (propos de l’avocate d’Unilever, basé sur les remarques de la direction), il y a fort à parier les conséquences néfastes pour le service maintenance et pour l’usine.

Comment peut-elle porter ce genre de CONNERIE !

Il est scandaleux de la part de notre direction de faire un résumé de notre métier aussi réducteur, c’est un manque total de considération.

Pour bien faire, nous devrions appliquer au pied de la lettre la définition qu’elle se fait, car là, se faire salir de cette sorte, c’est tout simplement honteux.

Le mépris continue, il faut que cela s’arrête !

 

Nous sommes jugés par des incapables

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Vallourec. Les salariés bloquent leur usine pour exiger des augmentations de salaires

Ce lundi, les salariés de l'entreprise Vallourec à Aulnoye ont voté la grève et le blocage de leur usine en opposition à la proposition de l’entreprise d’augmenter les salaires de seulement 0,6%.

Grève et blocage dans la métallurgie

Depuis vendredi dernier, les salariés s’étaient mis en grève durant une heure chaque jour pour contester les propositions faites par la direction suite aux négociations annuelles obligatoires (NAO). L’entreprise souhaite en effet relever les salaires de seulement 0,6 % à partir du 1er janvier 2019. Ce lundi, les salariés ont décidé lors de leur assemblée générale de reconduire la grève et de bloquer l’usine de Vallourec à partir de lundi pour exiger une revalorisation de 5% sur tous les salaires.

Le géant de l’acier Vallourec, implanté principalement dans le Nord de la France, est le premier fabricant de tubes destinés aux industries du gaz et du pétrole. Depuis déjà quelques années, l’entreprise liquide à tour de bras ses différentes usines et mets un terme à l’industrie de l’acier dans le Nord de la France, détruisant des milliers d’emplois et mettant autant de familles dans le désarroi.

Si l’entreprise justifie ainsi sa décision par la « mauvaise santé financière de l’entreprise », les grévistes rappellent que les usines Vallourec implantés au Brésil tournent à plein régime et que l’entreprise a reçu 700 millions d’aides publiques de l’Etat français.

Un constat qui rappelle celui de Ludovic Bouvier, responsable de la CGT Métallurgie dans le Nord-Pas-de-Calais, qui rappelait à Révolution Permanente la situation de Vallourec au Printemps dernier notant que « Vallourec a touché l’année dernière des montants très importants d’agent public, 250 millions dans un premier temps, et au total 650 millions, sans compter le PSE, pour 2500 emplois supprimés en 4 ans. Cet argent public a servi en partie à la casse sociale, mais aussi à prendre le contrôle d’une usine en Chine, et une partie d’une usine en Ukraine. Quand on y regarde de près, ce qui est programmé c’est la fin de l’acier dans le Nord, et on continue de donner de l’argent public au patronat pour assurer le coût de la casse sociale. (…) De l’argent il y en a. »

Nous relayons ci-dessous, le communiqué de la CGT Vallourec à Aulnoye :

Crédit photo (© F. Lo Presti / AFP)

Publié par REVOLUTION PERMANENTE
 

Grève et blocage dans la métallurgie

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Le PDG de Renault-Nissan arrêté au Japon pour fraude fiscale

Ses 9 millions d’euros annuels ne lui suffisaient apparemment pas : ce matin Carlos Ghosn a été arrêté au Japon pour fraude fiscale.

 

Patron voyou

On a appris aujourd’hui l’arrestation au Japon de Carlos Ghosn, PDG de Renault-Nissan, pour fraude fiscale. Une enquête interne menée par Nissan aurait en effet conclu à des malversations de la part du patron d’industrie, qui aurait « pendant de nombreuses années déclaré des revenus inférieurs au montant réel » et serait également coupable d’abus de biens sociaux.

Connu pour ses revenus annuels mirobolants, dépassant les 9 millions d’euros (pas moins de 500 SMIC), celui qu’on surnomme le « tueur de coûts », spécialiste du redressement d’entreprises à coup de licenciements massifs, devrait être renvoyé par le Conseil d’Administration de son entreprise.

Interrogé au sujet de cet événement lors de son voyage en Belgique, Emmanuel Macron qui était il y a dix jours aux côtés de Carlos Ghosn à Maubeuge, a déclaré que l’Etat français entendait être « vigilant » quant à la « stabilité » de l’alliance entre Renault avec Nissan. Une annonce qui visait notamment à rassurer les marchés financiers, très satisfaits des méthodes radicales du PDG et inquiets de son limogeage. A la suite de l’annonce, l’action Renault perdait ce matin 10% à la Bourse de Paris.

Alors qu’en France le gouvernement oppose une fin de non-recevoir aux gilets jaunes dénonçant l’injustice fiscale, cette affaire rappelle la réalité des pratiques des « premiers de cordée ». Ceux à qui Macron a offert la suppression de l’ISF ne sont pas seulement responsables des vagues de licenciements et de délocalisations, ils n’hésitent pas à frauder les impôts pour grapiller quelques millions d’euros supplémentaires. Pourtant, c’est bien à ces patrons voyous, que Macron fait des cadeaux, tout en demandant aux travailleurs du groupe Renault, qui subissent le travail à la chaîne et les licenciements, de se serrer la ceinture.

Crédit photo : Abaca.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
MACRON s'adresse enfin aux "gilets jaunes"

Publié par EL DIABLO

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
N'hésitez pas a nous contacter

Publié par CGT FACEBOOK COMPIEGNE

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Le constat est sans appel, le gouvernement le reconnaît lui-même : aujourd’hui, près de 300 000 gilets jaunes sur les routes et dans les rues, et plus de 2000 blocages ou rassemblements. Même si la droite et l’extrême droite ont voulu se faire les porte-parole de cette colère, si Macron en a profité pour afficher le chiffon rouge du poujadisme et a voulu faire taire par certains endroits la contestation à coup de matraques et de lacrymo, la réalité est bien concrète : c’est une politique de classe, une politique au service des riches, qui a été dénoncée aujourd’hui.
 
La colère qui s’est exprimée aujourd’hui est bien celles des classes populaires, des hommes et des femmes obligé-e-s de prendre leurs véhicule pour aller travailler, pour accéder à des services publics ou pour faire leurs démarches. Augmenter les taxes ne les fera pas changer de moyens de locomotion, mais fera encore baisser leur pouvoir d’achat. C’est aussi pour cela que les gilets jaunes mêlaient dans leur colère l’augmentation des carburants et celle de la CSG, la baisse des pensions, les multiples attaques menées par Macron depuis plus d’un an.
 
Macron paye aujourd’hui le mépris affiché pour les classes populaires, une fiscalité qui augmente les taxes payées aux prix fort par les plus pauvres, mais qui exonère d’impôts les plus riches et les capitalistes avec le CICE, la flat tax et la suppression de l’ISF.
 
Le prétexte de la lutte contre le réchauffement climatique est une sinistre farce : ce gouvernement comme les précédents pousse les classes populaires en dehors des centres villes et des zones urbaines par des loyers exorbitant pour des petits salaires, liquide le parc locatif des logements sociaux, oblige à faire des dizaines de kilomètres pour trouver des hôpitaux et des écoles. En même temps, un tiers des voies ferrées a déjà est supprimé et les dossiers du gouvernement prévoit 8000 kms de fermetures. Le fret ferroviaire, le ferroutage, ont été liquidés par les décisions gouvernementales. Une grande partie du territoire ne bénéficie pas de transports collectifs.
 
Dans les jours qui viennent, il va falloir mettre en mouvement le mouvement social, syndicats, associations et partis politiques, pour qu’ils donnent des prolongements à cette colère en initiant des mobilisations pour le pouvoir d’achat, une augmentation générale des salaires et pensions, la suppression des mesures fiscales qui frappent les classes populaires, contre la politique de Macron en faveur du Medef et des plus riches. Le NPA prendra des initiatives dans ce sens ces prochains jours.

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

SOURCE : France TV info 4 août 2016

En visite dans l'Aveyron, Emmanuel Macron se pose en défenseur du diesel

"Il ne faut pas faire la chasse au diesel", a déclaré le ministre de l'Economie, lors de la visite d'une usine de l'équipementier Bosch.

Vive le diesel. Voilà en substance le mot d'ordre lancé par Emmanuel Macron, mercredi 3 août, lors d'une visite du site de l'équipementier Bosch, à Onet-le-Château (Aveyron). Le ministre de l'Economie a estimé que le moteur diesel est "au cœur de la politique industrielle française" et de la"mobilité environnementale". Surtout, il estime qu'il "ne faut pas faire la chasse au diesel", après le scandale des moteurs truqués de Volkswagen.

"L'avenir du diesel passe par l'innovation"

A son arrivée, Emmanuel Macron avait d'abord été accueilli par les sifflets d'une soixantaine de salariés de l'usine, spécialisée dans la production d'éléments pour moteurs diesels. Il est toutefois allé à leur rencontre pour discuter une dizaine de minutes, avant d'échanger avec une délégation, à l'intérieur de l'usine.

Ceux-ci l'ont interpellé sur les positions de la ministre de l'Environnement Ségolène Royal et d'Anne Hidalgo, maire de Paris, où la circulation des véhicules les plus polluants est restreinte depuis le 1er juillet. Emmanuel Macron a rappelé qu'il était "ministre", contrairement à l'élue de la capitale, dont "les décisions ne valent pas pour la France".

S'il défend la baisse "progressive" de l'avantage fiscal pour les particuliers qui achètent des voitures diesels, Emmanuel Macron a également souligné l'importance de cette industrie en France, qu'il s'agisse "des millions de personnes qui l'achètent" ou "des millions qui y travaillent". Selon le ministre, "l'avenir du diesel passe par l'innovation" et cette technologie "reste au cœur de la politique industrielle française" et du "projet industriel français de la mobilité environnementale".

Publié par FSC

Voir les commentaires

Visiteurs

520655

 

Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

Archives

Articles récents

Hébergé par Overblog