SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

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DEBRAYAGE mardi 11 décembre à l'usine Unilever HPCI le meux
DEBRAYAGE mardi 11 décembre à l'usine Unilever HPCI le meux

Montrons notre détermination au directeur de site dépassé par les évènements

Même son discours d’aujourd’hui en salle de pause est resté inaudible

Accueillons demain les auditeurs de WCM

 

DEBRAYAGE mardi 11 décembre à l'usine Unilever HPCI le meux

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Nous confirmons l'appel à débrayer pour mardi 11 décembre

A tous les salariés

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Pour info, lors de la distribution du tract, nous avions mis la date de l'audit pour le lundi 10 décembre.

A présent, nous savons que l'audit aura bien lieu le mardi 11 décembre.

On compte sur votre présence.

Appel à débrayage lors de l’audit WCM, MARDI 11 DECEMBRE

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Gilets jaunes : 19.000 salariés en chômage technique

Economie , 2018-12-08 12:32:10 Marine Thoron

Le mouvement des Gilets jaunes commence à avoir un impact plus que négatif sur l’activité économique du pays. 863 entreprises ont été obligées de mettre leurs salariés au chômage partiel.

À cause des blocages et des manifestations des Gilets jaunes, 863 entreprises ont sollicité le gouvernement afin de mettre la totalité ou une partie de leurs employés au chômage partiel, révèle Le Point. En tout, ça représente pas moins de 19.000 salariés. Pour aider les entreprises à financer ces chômages partiels, l’État est sur le point de débloquer 8 millions d’euros. De plus, afin d’indemniser au plus vite les salariés touchés, l’exécutif tente d’examiner les dossiers rapidement. Pour rappel, les personnes se retrouvant en chômage partiel ont le droit de toucher 70% de leur salaire brut pour les heures perdues. « Il y a des boîtes qui sont en train de couler », lance au Point une source gouvernementale avant de poursuivre : « Les gens sont peu, voire pas du tout dans l’état d’esprit d’aller faire des achats ».

Une perte de chiffre d’affaires largement constatée

Inquiétude également du côté de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) qui a réalisé une enquête auprès de 1 710 dirigeants d’entreprise. Il en ressort que 62 % des PME et TPE (toutes zones géographiques et tous secteurs confondus) ont été touchées par le mouvement. 34 % des dirigeants ont constaté une perte sur leur chiffre d’affaires.

Alors que l’Insee misait sur une croissance dans le pays de 0,4% sur le dernier trimestre 2018, les événements liés aux Gilets jaunes risquent de changer la donne. L’institut doit refaire un point sur la conjoncture économique le 18 décembre prochain et les données ne pourraient ne pas être aussi élevées que prévues. Bien que le gouvernement espère encore une croissance à hauteur de 1,6% sur l’année, en cas de stagnation de l’activité entre octobre et décembre, elle ne serait ainsi que de 1,5%.

Publié par anti-k.org

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SOURCE : L'Opinion

L'Opinion est un quotidien français lancé en mai 2013 par Nicolas Beytout, ancien président des Échos et ancien directeur des rédactions du Figaro.

Le journal assume une ligne clairement libérale, pro-business et pro-européen.

Bonne nouvelle, le patronat commence à avoir peur : Le PDG d'Orange croit qu’il va falloir qu’on entende la colère qui s’est manifestée

Gilets jaunes: les entreprises devraient «lâcher du lest» sur les salaires selon le patron d’Orange

Le PDG évoque « la responsabilité » des entreprises concernant « la colère » qui se manifeste. Le gouvernement planche sur une prime exceptionnelle de 1 000 euros versée aux salariés


Avant l’heure, le PDG d’Orange venait déjà porter porter secours au gouvernement. Hier vendredi 7 décembre, à la veille de la quatrième grande journée de mobilisation des Gilets jaunes, la ministre du Travail Muriel Pénicaud avait appelé les entreprises à augmenter les salaires, alors qu’elle allait lancer la concertation avec les partenaires sociaux afin de sortir de la crise. « Tout le monde doit faire sa part » pour répondre à « l’urgence sociale absolue » qu’illustre le mouvement des Gilets jaunes, avait indiqué la membre du gouvernement sur BFM Business, vendredi.

« On ne va pas imposer par la loi une augmentation générale des salaires, ça n’a pas de sens, on détruirait de la compétitivité et de l’emploi », avait-elle néanmoins préféré préciser. En clair, les entreprises seraient bien avisées de faire un geste alors que s’ouvre une période de négociations salariales.


Prime exceptionnelle. « Je crois qu’il va falloir qu’on entende la colère qui s’est manifestée, la frustration qu’elle exprime aussi, que ce soit à l’occasion peut-être de la fin de l’année ou des négociations salariales qui doivent se tenir », avait estimé Stéphane Richard, le PDG d’Orange, la veille sur Franceinfo, alors qu’il était l’invité de L’Interview éco. « Il va falloir qu’on prenne en compte ce qui se passe. Je ne pense pas qu’on puisse opposer le mur du système, le mur de la compétitivité, des équilibres financiers. (…) Il va falloir qu’on lâche du lest », soulignait le grand patron français, en évoquant « la responsabilité » des entreprises.

Du côté du gouvernement, plusieurs options sont actuellement sur la table pour aider les salariés. Notamment une prime optionnelle et exceptionnelle de fin d’année, défiscalisée, et qui pourrait aller jusqu’à 1 000 euros versée aux salariés.

Publié par FSC

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Gilets jaunes : Pénicaud demande aux entreprises un effort sur les salaires, refus net du Medef

Geoffroy Roux de Bézieux président du Medef répond NIET

RT France

 

Pour répondre à la crise, le ministre du Travail s'est tournée vers les entreprises, leur demandant de faire un geste sur les salaires. Une requête catégoriquement rejetée par le Medef, qui refuse d'être le «bouc émissaire d'une révolte fiscale».

A l'approche de l'acte 4 de la mobilisation des Gilets jaunes, très redouté par le gouvernement, le ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a essayé de trouvé un soutien auprès des entreprises, leur demandant de faire leur part face à l'«urgence sociale absolue».

«Il faut y aller, tout le monde peut faire quelque chose, donc tout le monde doit faire quelque chose dans cette dynamique. [...]. Il faut partager un peu la valeur», a-t-elle appelé de ses vœux le 7 décembre sur BFM Business, estimant que le gouvernement apportait déjà sa contribution avec la loi Pacte, qui va selon elle permettre d'augmenter l'intéressement et la participation, et la loi Avenir professionnel qui vise à augmenter les salaires des femmes.

«Que les grandes entreprises montrent l'exemple, et il y en a beaucoup qui sont prêtes à le faire, qui le disent. Et il y a des branches qui ont fait l'accompagnement des salaires ces dernières années, d'autres moins. Je sais qu'elles sont prêtes à le faire, il faut le faire», a-t-elle encore martelé.

Elle a toutefois tenu à rassurer le patronat, expliquant que sa requête n'avait rien de contraignant, le gouvernement n'ayant pas l'intention pas légiférer sur la question : «On ne va pas imposer par la loi une augmentation générale des salaires, ça n'a pas de sens, on détruirait de la compétitivité et de l'emploi.»

Le Medef refuse que les entreprises deviennent le «bouc émissaire d'une révolte fiscale»

 

Mais le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux n'a que très peu goûté les propos du ministre, refusant que de voir les entreprises stigmatisées par le gouvernement dans cette crise. «Je ne voudrais pas que cette révolte fiscale se transforme en mettant en accusation des entreprises qui font leur travail. On pointe du doigt les entreprises alors que c'est un problème d'impôt», a-t-il regretté au micro de France Inter. 

«On est en train de faire des entreprises le bouc émissaire de cette révolte fiscale», a-t-il poursuivi, plaidant pour une baisse des dépenses publiques, afin de pouvoir baisser les impôts «de tous les Français». «Si on se tourne vers les entreprises pour augmenter les impôts, malheureusement le chômage va repartir à la hausse», a-t-il en outre fait valoir.

Geoffroy Roux de Bézieux a en revanche qualifié de «bonne idée» la mise en place d'une prime exceptionnelle de fin d'année défiscalisée à laquelle le gouvernement s'est dit favorable, précisant que dans les secteurs «où ça va bien on pourra faire un geste».

Le sujet, au même titre que la prime transport évoquée par le gouvernement, devrait être abordé ce 7 décembre à l'occasion d'une réunion entre la ministre du Travail et les organisations syndicales et patronales. Une réunion à laquelle ne participera pas la CGT, qui a expliqué son absence par un refus de se laisser «récupérer» par le gouvernement.

Publié par http://canempechepasnicolas.over-blog.com

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Un cartel d’industriels de l’électroménager sanctionné pour entente sur les prix

Dans un contexte où de très larges franges de la population peinent à vivre décemment, on apprend aujourd’hui que la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes vient de sanctionner six firmes de l’électroménager pour entente sur les prix. Cette pratique des cartels industriels qui consiste à s’entendre illégalement sur les prix afin de dégager des marges supplémentaires au détriment des consommateurs est une pratique répandue.

Où part le pouvoir d’achat ?
Réunions secrètes et remises sur les sanctions

Les faits remontent aux années 2006-2009, les société BSH (Bosch, Siemens, Viva, Neff), Candy Hoover, Eberhardt Frères (Liebherr), Electrolux (AEG, Arthur Martin), Indesit (Ariston, Scholtès) et Whirlpool, se retrouvaient secrètement au siège du syndicat du secteur où dans de luxueux restaurants pour s’entendre sur le prix de vente conseillé aux distributeurs. Cette pratique illégale, qui fausse le principe de la fixation des prix par le soi-disant « libre jeu » de l’offre et de la demande, vise à ponctionner un surplus sur le dos des consommateurs. Elle n’est pas marginale mais bel et bien organisée systématiquement par les états-majors des grands groupes réunis en cartel pour préserver leurs marges. D’autant plus systématique que le jeu en vaut la chandelle puisque les sanctions sont rarement sinon jamais à la hauteur des préjudices infligés aux consommateurs.

L’entente sur les prix, un impôt illégal qui pèse sur les plus pauvres

Cette pratique illégale, qui fausse le principe de la fixation des prix par le libre jeu de l’offre et de la demande, vise à ponctionner un surplus sur le dos des consommateurs pour maintenir les marges à un niveau plus élevé. Il s’agit tout simplement d’un impôt que les grands cartels industriels s’autorisent à prélever sur les consommateurs et qui pèse donc proportionnellement davantage sur les plus pauvres. A l’heure où la contestation des gilets jaunes s’étend et s’approfondit, l’heure est aussi à la mise au jour de ces pratiques qui affectent la population et leur pouvoir d’achat. Les grands industriels, qui ne payent pratiquement aucun impôt s’accordent de surcroit la possibilité d’extorquer illégalement une partie du revenu des travailleurs. Pour régler la question du pouvoir d’achat, il sera nécessaire de s’attaquer aux intérêts de ces grands groupes capitalistes.

Crédit photo : Serghei Starus/Stock Adobe

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Le premier de CORDÉE dévisse

C'est peu dire qu'Emmanuel Macron, son gouvernement et sa majorité n'ont rien vu venir et n'ont toujours pas compris la profondeur de la crise sociale qui n'est pas née avec les gilets jaunes, mais dont ces derniers sont une expression.

 

Emmanuel Macron est le premier responsable de la violence à laquelle on a assisté ce week-end. À la souffrance sociale qui s'exprime au travers d'une multitude de revendications, Macron n'a pour l'heure opposé qu'un déploiement de forces de l'ordre et des réponses hors-sol comme cette taxe flottante à laquelle personne ne comprend rien, pas même son premier ministre qui s'est révélé incapable de l'expliquer. Il faut beaucoup de cynisme ou d'inconscience après les semaines que vit notre pays pour oser retourner la lorgnette et ne regarder que le prix du litre de gazole en espérant calmer la colère.

 

Il faut beaucoup d'aveuglement et d'irresponsabilité pour réduire ce mouvement social aux seules dégradations commises à Paris. Ce qui s'exprime va bien au-delà de la taxe carbone.

 

Alors que notre pays est dans le top 3 du versement des dividendes aux actionnaires, les Français ne supportent plus de ne pouvoir vivre de leur travail, de leur pension de retraite, de ne pas voir leur qualification, leurs compétences reconnues. La question centrale et urgente qui est posée, c'est celle de la redistribution des richesses créées par le travail aux salariés, jeunes, privés d’emploi et retraités.

 

Et c'est bien parce que cette question est centrale que le Medef est muet depuis des semaines. Comme aux abonnés absents au plus fort d'une crise sociale qu'il a amplifié par ses revendications.

 

À cette crise, il faut apporter des réponses. Nous avons besoin d'augmenter les salaires, les minima sociaux, le point d'indice des fonctionnaires, les pensions. Nous avons besoin que les qualifications, les responsabilités soient reconnues. Il faut aussi rendre effective l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Il faut améliorer les conditions de travail, notamment en embauchant et en réduisant la durée du travail pour travailler tous, mieux. Il faut aussi réformer en profondeur la fiscalité pour plus de justice et d'efficacité économique. Il y a urgence...

 

Le 3 décembre 2018 

Par FD, journaliste engagé et militant Ugict-CGT

 

SOURCE :

 

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Dans la CGT la condamnation de la signature du communiqué intersyndical scélérat patronné par laurent Berger monte incontestablement.
 

Publié par FSC

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RDC: 17 ans après, les ex-employés d'Unilever attendent toujours d'être payés

Mercredi 5 décembre, les anciens travailleurs de Marsavco, la filiale d'Unilever, ont organisé une marche pacifique jusqu'à la primature. Ils réclament le solde du décompte final après leur licenciement massif et abusif en 2001. Ils ont été reçus par un conseiller du Premier ministre. Les discussions ont duré environ une heure et devront reprendre ce jeudi.

Les manifestants ont affirmé leur détermination d'aller jusqu'au bout. « Après 17 ans, nous avons compris que nous ne pouvons plus continuer à espérer quoi que ce soit, s’indigne l'ingénieur Jean-Marie Lokoto, président du Comité de coordination des anciens travailleurs de Marsavco, la filiale congolaise d'Unilever. Eh bien, nous nous assumons et nous continuons, à partir d’aujourd’hui, de manifestations pacifiques jusqu’au jour où nous serons payés. »

Qui empêche une décision judiciaire ?

Ces anciens travailleurs de Marsavco accusent certains membres du gouvernement d'empêcher les repreneurs de l'entreprise d'exécuter une décision judiciaire qui date de plus de dix ans.

Le président du Comité de coordination des travailleurs parle de plus de 20 millions de dollars, solde sur décompte final que doit débourser la filiale d'Unilever en faveur des victimes de la rupture abusive de contrat intervenue en 2001.

Plus de 150 agents de Marsavco déjà morts

Ils étaient près de 900 agents de Marsavco à cette époque. Plus de 150 d'entre eux sont décédés depuis. Et tous les Premiers ministres qui se sont succédé ont ordonné l'exécution de la décision judiciaire pour octroyer à ces travailleurs licenciés le solde du décompte final, mais rien n'a été fait jusqu'à présent.

Publié par RFI

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
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