SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

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Première bonne résolution pour 2019 : prendre l'argent là ou il est !

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Activités postales et télécoms : ILS ONT LUTTÉ, ILS ONT GAGNÉ !

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[pdf] CGT-FAPT-20DEC2018-INFO-LUTTES-GAGNANTES

Publié par EL DIABLO

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JUSTICE : L’EXÉCUTIF EN GUERRE CONTRE LES PRUD’HOMMES QUI LUI RÉSISTENT

Mercredi, 26 Décembre, 2018
Sébastien Crépel
 

Les services de Muriel Pénicaud tentent de discréditer les juges du travail, après le verdict de Troyes déclarant illégal le plafonnement des indemnités des salariés. Le monde judiciaire réagit en saluant le jugement du tribunal prud’homal.

La guerre contre le verdict des prud’hommes de Troyes aura bien lieu. Depuis que les juges de l’Aube ont estimé, le 13 décembre, « inconventionnelle », c’est-à-dire contraire à la légalité internationale, le plafonnement des indemnités prud’homales instauré par les ordonnances Macron en cas de licenciement abusif, une violente dispute se joue entre le monde judiciaire et les services du gouvernement.

Celle-ci a pour enjeu l’autorité des juges du travail. À travers eux, c’est bien sûr la légitimité de la décision des prud’hommes qui est visée par le ministère de Muriel Pénicaud. Le jugement de Troyes menace en effet tout l’édifice légal qui prive les juges de leur liberté de fixer les réparations en fonction du préjudice subi, désormais plafonnées à 20 mois de salaire au maximum.

Un émissaire du ministère du Travail a sonné la charge au détour d’un article du Monde paru le lendemain du verdict, en tentant de jeter le discrédit sur les conseillers prud’homaux. Ceux-ci sont des magistrats non professionnels, composés à parité de représentants des salariés et des employeurs. Pour cette source, « la question de la formation juridique des conseillers prud’homaux » serait posée par une décision accusée de méconnaître un avis du Conseil d’État, qui avait tranché dans le sens contraire des juges de Troyes.

Le commentaire a suscité un véritable tollé dans le monde judiciaire, qui y voit une tentative de l’exécutif de remettre en cause l’indépendance de la justice pour imposer sa vision politique. Quitte à tordre, au passage, la réalité des faits juridiques.

Cette « décision est d’une portée considérable »


« Que les juges écartent une loi votée, parce qu’inconventionnelle, n’est pas de l’ignorance, mais l’exercice de leur pouvoir juridictionnel », rappellent ainsi, dans une tribune publiée par le Monde, un collectif de syndicalistes de la magistrature et d’avocats.

Pour ces professionnels de la justice, la déclaration du ministère « constitue une atteinte grave à l’autorité des juges et au principe de la séparation des pouvoirs, l’un des fondements de notre démocratie ». De plus, ajoutent-ils, évoquer « une insuffisance de formation (des juges prud’homaux) est stupéfiant », alors que la faute de droit est le fait du ministère, les ordonnances « qui ont pris force de loi échappant à (la) compétence » du Conseil d’État.

« Le raisonnement du conseil de prud’hommes est simplement parfait », a commenté de son côté le cabinet d’avocats Wacquet, qui indique que « le contrôle de conformité des lois aux conventions internationales est du ressort des juridictions ordinaires… donc du conseil de prud’hommes, naturellement sous contrôle éventuel de la Cour de cassation ».

Or, soulignent ces avocats à la cour, l’article 10 de la convention 158 de l’Organisation internationale du travail (OIT) prévoit qu’en cas de licenciement injustifié, les tribunaux sont « habilités à ordonner le versement d’une indemnité adéquate ou toute forme de réparation considérée comme appropriée ».

C’est en vertu de cette disposition de la convention de l’OIT, et aussi de la charte sociale européenne de 1996, deux textes adoptés par la France, que les juges de Troyes se sont estimés fondés à passer outre le barème des indemnités prud’homales. Et qu’ils ont accordé neuf mois de salaire de dédommagement à un salarié victime de licenciement sans cause réelle et sérieuse, au lieu des quatre mois maximaux prévus dans son cas par les ordonnances Macron. « Première en France », cette « décision est d’une portée considérable », car, si elle « devait être confirmée, elle mettrait purement et simplement à néant les réformes Macron », relève le cabinet Wacquet.

Voilà, à n’en pas douter, ce qui fait peur à la ministre du Travail et conduit ses services à une contre-offensive aussi maladroite dans son outrance.

Fait exceptionnel, le conseil de prud’hommes de Troyes a décidé de réagir publiquement aux « propos insultants tenus par le ministère du Travail » à son encontre. Dans une déclaration cosignée par son président, Patrice Huart (CFDT), et son vice-président, Alain Colbois (Medef), le tribunal fustige des propos « sans fondement » et la « méconnaissance profonde des conseils de prud’hommes » dont ils témoignent. Et rappelle que le « Code pénal interdit de jeter le discrédit » sur la justice et ses décisions. À bon entendeur…

Publié par FSC

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Les travailleurs des Apple Stores en grève à la veille de Noël

Malgré une hausse de 23% du bénéfice net annoncée par Apple, la direction refuse de verser aux travailleurs la « prime Macron ».

Pas de « prime Macron »

Crédit image : Archive AFP

Alors que le géant américain a annoncé début novembre une hausse de 23 % de son bénéfice net annuel, estimé à 59,5 milliards de dollars, ces fêtes de fin d’année auront un goût particulièrement amer pour les employés de la marque à la pomme.

Après une réunion du comité d’entreprise qui s’est tenue vendredi dernier, la direction d’Apple Retail France a annoncé qu’elle ne verserait pas de prime exceptionnelle à ses salariés.

Des mouvements de grève dans la moitié des boutiques à travers la France

Dix stores sur les vingt que compte la France ont été touchés par des débrayages entre 15h et 18h ce lundi, à la veille de Noël. Le mouvement de grève a été appelé par la CFDT et la CGT.

Les boutiques impactées par la grève sont celles de La Défense et d’Opéra, marché Saint-Germain et Champs-Élysées à Paris, Val d’Europe et Carré-Sénart en Seine-et-Marne, à Lyon Part-Dieu, Lille, Aix-en-Provence et Montpellier.

La prime exceptionnelle de fin d’année réclamée par les salariés d’Apple, dite « prime Macron », est l’une de mesures exceptionnelles préconisées par le gouvernement pour tenter d’apaiser la colère des Gilets jaunes.

Une politique sociale jugée « inexistante »

« Cette ’prime Macron’ que nous refuse la direction d’Apple Retail France ne doit pas masquer des problèmes bien plus profonds comme les conditions de travail qui ne cessent de se dégrader », avait tweeté la CGT, en appelant à faire grève ce lundi de 15 heures à 18 heures.

La CFDT met ainsi également en cause « la politique sociale inexistante » de l’entreprise. Le syndicat souligne aussi que le service « cumule erreur sur erreur » et se demande si l’entreprise « sera en mesure de mettre en place » le Prélèvement à la Source en janvier.

Une démonstration de plus que les « promesses » de Macron n’engagent que lui et n’auront aucun impact sur les conditions de vie de la plupart des travailleurs. Un symptôme de plus également du vent de colère qui souffle sur le pays, dans le contexte de la profonde mobilisation des Gilets Jaunes.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Une journaliste de BFM en Gilets Jaunes. Le direct immédiatement coupé !

Alors qu’une journaliste sur le terrain s’est vu mettre un gilet jaune sur le dos, la chaîne s’est empressée de couper le direct.

Drahi en gilet jaune ?

Crédit photo : Ulrich Lebeuf.Myop pour Libération

Ce n’est pas comme si BFM avait été un quelconque allié du mouvement : autant sur le terrain des chiffres que des positions pro-répression, amoindrissant la mobilisation et tentant de la décrédibiliser, BFM joue du côté du gouvernement.

Mais cette fois-ci, la scène a particulièrement fait mouche. En effet, une journaliste, réalisant alors un reportage sur une action des gilets jaunes dans les Pyrénées, se voit mettre par l’un deux un fameux gilet sur dos.

« L’accueil est extrêmement chaleureux » soutient la journaliste… Mais quelques secondes plus tard, le direct est coupé – le message du gilet jaune aussi à l’occasion. Retour au plateau où le présentateur n’a pas l’air aussi tranquille que la reporter. « Évidemment, on ne va pas forcément cautionner l’idée de mettre des gilets jaunes à des journalistes » est-il obligé de déclarer.

En effet, il ne faudrait pas que la fameuse neutralité journalistique se perde. Surtout sur les antennes de BFM TV, qui est une référence en terme de traitement impartial de l’actualité... Avec une propagande ininterrompue, ou presque, stigmatisant sous tous les angles les Gilets Jaunes, il est sûr que voir une journaliste habillée de l’emblématique gilet fait tâche, et la réaction est rapide : A vous les studios !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Seine Saint Denis : La CGT passe le tarif électricité de 190.000 habitants en heures de nuit pour le 24 décembre !
SOURCE : France Bleu
 
Seine-Saint-Denis : l'électricité moins chère pour toute la journée du 24 décembre

C'est un cadeau de Noël avant l'heure pour près de 190 000 habitants de Seine-Saint-Denis, La CGT énergie du 93 ont passé le tarif de l'électricité des communes de La Courneuve, Stains et Saint-Denis en heures de nuit pour toute la journée du 24 décembre.
 
Une journée du 24 décembre qui coûtera moins en cher en électricité pour près de 190 000 habitants de Seine-Saint-Denis. Le cadeau de Noël est offert par la CGT énergie du 93. Les usagers et commerçants qui bénéficient du double tarif, heures creuses, heures pleines, seront facturés ce lundi au prix des heures de nuit. 
 
"Un geste en lien avec les actions menées depuis deux ans", explique Romain Rassouw, secrétaire général de la CGT énergie du 93. Il précise être favorable à "un véritable service public de l'énergie, 100% public, 100% nationalisé, avec un pouvoir de décision aux usagers et aux salariés."
 

Ces "Robins des bois de l'énergie", comme ils se surnomment, vont passer la journée devant le poste électrique modifié pour éviter de voir un agent d'EDF venir effectuer le retour à la normale.

Une action soutenue par un élu.
Une initiative soutenue par Ian Brossat, adjoint à la marie de Paris en charge du logement et tête de liste du Parti Communiste Français aux élections européennes.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Le père noël Macron est-il une ordure?

- Mon Dieu, seigneur non, grâce lui soit donnée. Du haut de son palais de l'Elysée, il a ordonné que tous les patrons versent une prime de noël de 1 000 euros à leurs salariés, dans le secteur marchand comme dans les services publics, pour les retraités comme pour les sans-emploi.

- Euh, pardon, Manu 1er, qui dirige l'un des pays le plus riche au monde, n'a-t-il pas dit plutôt: "tous les employeurs qui le peuvent verseront une prime de fin d'années à leurs salariés" de 1 000 euros maxi. Et selon le bon vouloir des entreprises?

- Qu'est-ce que vous regardez donc comme chaîne d'infos?

- Euh, il y en a tellement qu'à force de zapper sur toutes pour voir les mêmes infos, j'ai usé les piles de ma télécommande. Du coup, c'est l'écran noir chez moi.

- C'est bêta tout ça à la veille de Noël. Heureusement notre révérendissime est bien présent envers ceux qui souffrent parmi ses sujets. Tenez, voilà un bon d'achat pour acheter des piles. Avec l'unique obligation de ne regarder que BFM-tv.  Ils ont des journalistes, des économistes et des tutti quanti au top niveau pour expliquer ce qu'Emmanuel Macron veut pour son bon peuple de France.

- C'est comment votre nom que je puisse porter votre message ce soir au cours du réveillon avec mon chien à table?

- Benjamin Griveaux. Avant mai 2017 j'étais socialiste. C'était con de ma part. Depuis mai 2017, j'ai changé de patron et j'ai été adoubé ministre de la propagande. Enfin, on ne dit plus ça ainsi. Je suis porte-parole du gouvernement avec rang de ministre.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Le gouvernement des riches et du Capital: les petites lignes SNCF ne fermeront pas

CAPTURE D'ECRAN SUR FB PUBLICATION DE LE CHEMIN DE FER EN MOSELLE EST ET PROCHE ALSACE

Mais voilà, au point kilométrique 26-1, le rail a été tronçonné  avec mis en place des traverses. Une histoire se termine sous Manu 1er et sa bande au service du Capital et de l'UE, l'outil politique et économique du capitalisme sur notre vieux continent. Une histoire ferroviaire s'achève entre Sarreguemines et Sarre-Union

A 19h27, le dernier TER venant de Sarre-Union a circulé. Ce 21 décembre 2018, le trafic voyageur Sarreguemines/Sarre-Union et retour est définitivement rompu.

Seul subsiste le FRET Solvay a une vitesse en 2019 de 40 km/h: ouahou, le progrès technique!

A la sortie de la gare de Sarralbe, direction Sarre-Union, le rail est donc sectionné.

La ligne reliant Sarrebourg à Sarreguemines, via Berthelming et Sarre-Union, a été mise mise en service le 1er novembre 1872 par la Direction générale impériale des chemins de fer d'Alsace-Lorraine, l'Allemagne occupant l'Alsace-Moselle depuis 1870. 

Le 21 décembre 2018, la SNCF d'Emmanuel Macron a enterré cette ligne.

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
répression policière et protestations CGT, PCF, RUFFIN ... à AMIENS notamment
Manifestement le pouvoir accompagné du chœur des médias a décidé de franchir un pas dans la répression du mouvement social.
 
Quitte à falsifier les faits comme avec la scène des 3 policiers pris à partie sur les champs Elysées diffusée en boucle sur les médias des milliardaires mais aussi sur les médias publics et qui ne montre que la phase finale de l'épisode sans montrer qu'AVANT cela ce sont les policiers qui ont lancé des grenades contre la foule qui défilait tout à fait pacifiquement.
 
VOIR la vidéo "La manipulation médiatique "complète à l'adresse :
 
https://assawra.blogspot.com/2018/12/au-service-de-la-verite.html
 
 
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SOURCE : Le Courrier Picard
 

GILETS JAUNES


Cinq gardes à vue prolongées à Amiens

 
Libérez nos camarades ! Libérez nos camarades ! » Au lendemain de la manifestation des gilets jaunes qui s’est soldée par une vingtaine d’interpellations pour l’essentiel à Amiens mais aussi à Glisy, une soixantaine de personnes se sont rendues devant le commissariat de police pour réclamer la libération de leurs camarades ou de leurs proches et l’arrêt des poursuites judiciaires. Au total, 26 personnes ont été interpellées au cours de la journée de samedi marquée par des affrontements entre gilets jaunes et forces de l’ordre et de nombreux actes de vandalisme. Avant minuit, trois personnes avaient été libérées. Sur les 23 personnes placées en garde à vue ce dimanche, 18 ont finalement été libérées entre 11h30 et 15 heures.
 
Les manifestants interpellés libérés au compte-gouttes
 
Cela ne veut pas dire un classement sans suite, souligne d’emblée le procureur de la République Alexandre de Bosschère : « Elles font toutes l’objet d’une enquête pour délit d’attroupement (puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende). Par ailleurs, s’il s’avère qu’elles ont participé à des violences, elles seront poursuivie s. » Les enquêteurs ont confisqué tous les téléphones afin de visionner photos et vidéos prises durant la manifestation. Les images des caméras de la vidéosurveillance de la ville seront également exploitées.
 
Le maire a porté plainte
 
Sachant que le maire Brigitte Fouré a finalement porté plainte pour dégradations volontaires sur le mobilier urbain et du matériel de chantier. M. de Bosschère a décidé de prolonger la garde à vue de cinq personnes : quatre majeurs et un mineur de 17 ans. L’un des majeurs avait été interpellé dans la matinée sur le rond-point de Glisy pour jets de projectiles sur les forces de l’ordre. Les trois autres majeurs ainsi que le mineur ont, eux, été interpellés rue Saint-Honoré vers 17h30.
 
Jaunes et bleus s’affrontent à Amiens
 
Selon le procureur, ces quatre personnes (toutes de la Somme hormis un habitant de Breteuil) ont reconnu leur implication dans des jets de projectiles en direction des CRS qui déploraient au moins deux blessés légers dans leurs rangs. Aucun d’entre eux ne faisait partie des gilets jaunes… « Ils se sont agrégés à la manifestation pour visiblement en découdre avec les forces de l’ordre », explique M. de Bosschère. Tous les cinq seront déférés au parquet ce lundi matin. Les quatre majeurs seront jugés dans la foulée en comparution immédiate pour violences sur personne dépositaire de l’autorité publique, délit d’attroupement et dégradations. le mineur sera convoqué devant un juge pour enfants pour les mêmes délits. Plus tôt dans la matinée, militants associatifs, syndicaux et politiques (Génération.s, La France insoumise, PCF, FSU, Solidaires, CGT, Ligue des droits de l’homme, Ensemble 80, Alternative libertaire, SNES…), accompagnés de proches de gilets jaunes interpellés, avaient manifesté leur colère devant l’hôtel de police. « On n’arrête pas les gens pour un simple délit, politique, de non-dispersion. C’est sans précédent ! », s’indignait Kevin Crépin, secrétaire général de l’Union départementale de la Somme CGT. Pour la conseillère départementale Dolorés Esteban (PCF), qui a rencontré brièvement un commissaire de police samedi soir avec le député de la Somme François Ruffin (LFI), la police doit expliquer dans quelles conditions se sont déroulées les interpellations. Elle et M. Ruffin doivent s’entretenir avec le directeur départemental de la sécurité publique David Preud’homme cette semaine.
 
 BAKHTI ZOUAD
 
Publié par FSC
 

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VOTRE CGT VOUS SOUHAITE DE BONNES FETES DE FIN D'ANNÉE
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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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