SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Ils peuvent raconter ce qu'ils veulent pour masquer leurs objectifs et leurs pratiques : Dans le cadre de l'Union européenne vouée à la concurrence c'est la recherche du profit maximum et des minis salaires qui est la boussole des entrepreneurs et des politiques à leur service!

********************

SOURCE : Centre Presse

Fenwick fait appel à des travailleurs détachés tchèques
A Cenon, l'usine Fenwick accueille trois travailleurs tchèques. Selon la CGT, 22 autres vont arriver. Uniquement en ultime recours, répond la direction.
L'usine Fenwick de Cenon emploie 600 personnes plus 150 intérimaires actuellement.
L'usine Fenwick de Cenon emploie 600 personnes plus 150 intérimaires actuellement.
anthony floch

 

Dans un communiqué adressé hier, le syndicat CGT du fabricant de chariots élévateurs Fenwick-Linde, à Cenon-sur-Vienne (600 salariés), affirme que la direction a annoncé le 21 juin, en comité d'entreprise, « l'intégration de 25 salariés du groupe Kion en provenance de la ville de Stribro, en République Tchèque - où est implantée une autre usine du groupe - afin de renforcer le besoin en main-d'oeuvre sur la partie soudure et montage ».

Trois ont pris leur poste cette semaine. 22 autres doivent être intégrés avant la fin de l'année, affirme le syndicat sur la base d'un document transmis au CE par la direction.

"Une mesure
additionnelle
parmi d'autres"

Ce document (que nous avons pu consulter) mentionne le recrutement de « cinq monteurs de Stribro » aujourd'hui, et de « dix soudeurs et dix monteurs de septembre à mars 2019, à définir en fonction des recrutements intérim réalisés ». 
Ce qui inspire à la CGT cette remarque: « Il est inadmissible » que l'entreprise - « qui emploie plus d'une centaine d'intérimaires depuis plusieurs années et prévoit d'en augmenter le nombre jusqu'à la fin de l'année » - ne « favorise pas l'emploi local ». 
Contacté, le directeur du site Fenwick-Linde de Cenon, Pierre Paineau, dément le chiffre avancé par la CGT: « Nous accueillons non pas 25, mais trois salariés de Stribro, pour un parcours d'intégration en vue d'une éventuelle intégration sur la ligne de montage. » 
Le dirigeant l'explique ainsi. Depuis fin 2017, l'entreprise de Cenon a dû faire face - à cause d'un « problème avec un fournisseur » - à des « difficultés d'approvisionnement » qui ont eu pour effet de « limiter la capacité de production de l'usine ». Cette difficulté est« en passe d'être réglée » et Fenwick a engagé un « plan de rattrapage ». « Notre ambition est de rattraper sur le second semestre une grande partie de ce retard. » 
« Pour atteindre cet objectif, ajoute Pierre Paineau, il nous faut mobiliser un maximum de ressources. Les premières mesures consistent à mettre en place une équipe de nuit (depuis début juin) et à solliciter notre agence de travail temporaire partenaire. La venue des trois travailleurs détachés est, elle, une mesure additionnelle parmi d'autres. » 
Le directeur du site rappelle que « l'entreprise a recruté en CDI 60 opérateurs depuis trois ans ». 
Il ne nie pas l'existence du document cité par la CGT, mais assure l'avoir pondéré « à l'oral » lors du CE: « Nos besoins, sur la partie montage-soudure, sont bien de 25 personnes. Mais j'ai expliqué lors de la réunion qu'on allait privilégier au maximum le recrutement de gens issus du bassin d'emploi, du département, voire d'autres régions de France... Dans l'absolu, si cette solution ne fonctionnait pas et si le groupe Kion me présentait des possibilités de faire venir des travailleurs issus d'autres usines du groupe, alors j'activerais cette dernière option. »

 

Anthony Floc'h

PAR FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
+ O,7% pour les allocations chômage: du pognon de dingue toujours pour les riches et le patronat

0,7% d'augmentation d'allocation chômage, ce n'est pas avec cette miette que les sans-emploi achèteront de la vaisselle à la manufacture de Sèvres, où se paieront une piscine gonflable même dans un discount. De toute façon, seulement 42,8% des demandeurs d'emploi sont indemnisés. Et parmi ceux qui le sont, 37% des chômeurs, soit 3 millions de personnes survivent en dessous du seuil de pauvreté.

Et le gouvernement de droite et de droite n'envisage aucune loi sociale de progrès pour le peuple de France. Il est conforté en cela par les forces de l'argent et le patronat.

Communiqué de la CGT: Malgré l’unité des organisations syndicales, le patronat bloque une vraie augmentation

Le conseil d’administration de l’Unedic du 29 juin 2018 a abordé, comme chaque année, la revalorisation des allocations chômage.
La CGT a rappelé que seuls 42,8% des demandeurs d’emploi sont indemnisés. Cela nécessite de revoir complètement les règles d’indemnisation et d’instaurer enfin une sécurité sociale professionnelle, pour assurer un revenu de remplacement pour toutes et tous.
Notre délégation a également rappelé que la très grande majorité des demandeurs d’emploi indemnisés le sont à un niveau d’indemnisation faible. Ainsi, 37,6% des chômeurs, soit 3 millions de personnes, se situent en dessous du seuil de pauvreté.
De plus, nous continuons de dénoncer l’augmentation de la précarité, encore démontrée par les chiffres du chômage de mai, fruit de la politique de flexibilisation de l’emploi voulue par les différents gouvernements et le patronat.
Dans un contexte de remise en cause des droits des salariés privés d’emploi par la loi cyniquement appelée « liberté de choisir son avenir professionnel » et d’annonces de remise en cause des minima sociaux par le gouvernement, la CGT a demandé d’augmenter toutes les allocations de 4 euros par jour, ce qui correspond à un (petit) repas moyen.
Après une interruption de séance et une nouvelle demande unitaire minimale des organisations syndicales d’une augmentation à 1%, le patronat, parti de 0,3%, est resté bloqué à 0,7%. Cela ne correspond qu’à un trimestre d’augmentation des prix !
Les organisations syndicales se sont abstenues pour ne pas risquer de rester à 0% de revalorisation.
La CGT salue les demandeurs d’emploi et travailleurs précaires qui se sont mobilisés et dénonce l’attitude du patronat, emmené par le Medef, qui continue de baisser en euros constants les allocations, comme il empêche l’augmentation nécessaire des salaires !

PAR le-blog-de-roger-colombier.com

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Généralisons vite l'opération

par exemple :

abaissons la durée du travail

Un peu de logique. si passage de  90 à 80 => moins de tués sur les routes

Si le gouvernement attend une diminution du nombre de morts en abaissant la vitesse  de 11,1 % , pourquoi ne pas faire de même pour diminuer le nombre de morts au travail ?

En reprenant les même barèmes que ceux décrétés par sa suffisance Touthenmakron 1er, ce taux de 11.1 % appliqués à la durée du travail conduit à la semaine de 31 heures et le nombre des tués au travail, hors accidents de trajet et maladies professionnelle, à organisation du travail équivalente. passerait d'après les chiffres officiels de 550 à 488 par an.

Certes à vaincre sans péril on triomphe sans gloire mais le triomphe sera au rendez-vous.

Poussons plus loin : selon "La Tribune", qui n'est pas la Nouvelle Vie Ouvrière mais un des organes patronaux porteurs de la Medeflangue,  il y a eu en France  626.227 accidents de travail par an (dont 53 % lié à de la manutention).

Cette diminution de 11.1 % du temps de travail  à organisation constante de celui-ci, supprimerait mécaniquement  70 200 accidents de travail soit 280 par jours ouvrés.

En voilà une avancée sociale plus efficaces. Et là, pas besoins de remplacer des panneaux 35h par des panneaux 31h devant chaque entreprise.

A ce demander si ce pauvre Doudou Philippe, pour ne pas y avoir pensé tout seul, n'est pas bousculé par son contrecoup qui depuis la grille du Coq lui inflige des cadences infernales qui pourraient le conduire à un burnout ? Surmenage professionel que les députés de sa majorité ont refusé de reconnaître comme pathologie et risque d'accident lié au travail.

Mais passer de 35 à 31h pour économiser des vies, des drames et améliorer les comptes de la protection sociale, déjà une belle performance que la CGT à coup sûr sera prête à soutenir.

Aller Doudou, encore un effort ! 

Rédigé par Canaille Lerouge

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
 
oisehebdo.fr
 
VEUILLEZ CLIQUER SUR LE LIEN CI-DESSOUS POUR PRENDRE CONNAISSANCE DE LA VIDEO !
 

PAR CGT COMPIEGNE FACEBOOK

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Vidéo. Ce 28 juin à Paris, les CRS répriment le cortège cheminot

En pleine manifestation à Paris, ce 28 juin, les CRS étaient de sortie. L'objectif ? Isoler le cortège cheminot du reste de la manifestation ! Une répression qui n'a pas entamé le moral des grévistes, la preuve en images !



PAR REVOLUTION PERMANENTE

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
CRISE SOCIALE DANS LES GROUPES EDF ET ENGIE : Que se passe-t-il dans le secteur de l’énergie ?

Certains pensaient que la déstructuration du secteur énergétique permettrait d’étouffer les revendications et les mobilisations des salariés, aiguisant l’appétit des actionnaires privés et permettant le développement du Monopoly de l’énergie.

En réalité de plus en plus de salariés se mobilisent pour la défense du service public, de sa qualité et de leurs conditions de travail.

Les seules réponses qui sont faites par les directions d’entreprises se sont des assignations au tribunal ! Belle preuve de dialogue social… Inacceptable, la FNME CGT ne peut qu’encourager les salariés à amplifier les mobilisations et les blocages de sites.

Les salariés de la distribution de l’électricité (ENEDIS) et du gaz (GRDF), filiales d’EDF et d’ENGIE, occupent plus d’une centaine de sites à l’échelle nationale, revendiquant plus d’emplois, plus de reconnaissance de leurs compétences, de meilleures conditions de travail et de salaire pour pouvoir assurer leurs missions de service public. Ils s’insurgent aussi face à la réforme de l’astreinte que veut imposer la direction.

Les salariés de la production d’électricité hydraulique, charbon et nucléaire continuent de se mobiliser pour la défense des barrages, l’arrêt de la fermeture des centrales charbon et nucléaires et surtout pour que l’avenir de la production soit sous maîtrise publique. Des actions ont lieu dans certaines centrales nucléaires et sur des sites hydrauliques comme à Grand’Maison demain (Plus grand site de production d’électricité hydraulique de France).

Les salariés du Groupe ENGIE sont appelés à une grande journée de mobilisation le 26 juin 2018 pour l’avenir du Gaz en France, quand le choix d’ENGIE est d’abandonner cette énergie. Cette journée fera aussi l’écho à l’annonce du gouvernement de la privatisation totale d’ENGIE.

Côté RTE, les salariés se mobilisent contre la fermeture des dispatchings régionaux (Sites de pilotage régionaux des lignes électriques). La direction de RTE ayant décidé que tout devait être piloté depuis Paris, peut-être que son PDG désire lui-même actionner les disjoncteurs depuis son bureau à la Défense !

La FNME CGT soutient fortement l’ensemble des travailleurs de l’énergie qui sont dans la lutte et qui décident de reprendre en main leur outil de travail. L’avenir du service public de l’électricité et du gaz en France se joue dans les mois à venir. La lutte pour un service public de l’énergie est une bataille pour servir l’intérêt général et non les intérêts privés.

Les travailleurs du secteur sont appelés à continuer les mobilisations

Les travailleurs du secteur énergétique continueront de se mobiliser car l’avenir de l’énergie, notre bien commun, est trop importante pour le laisser entre les mains de saltimbanques !

SOURCE:

 

VOIR ÉGALEMENT LE LIEN CI-DESSOUS:

PAR EL DIABLO

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

C'est dans Le MEDIA que cet interview a été réalisé alors que dans les médias officiels c'est la campagne pour justifier la contre-réforme du pouvoir qui a seulement droit de cité et que la lutte des cheminots est présentée comme un échec ... selon leurs critères et selon ... leurs souhaits.

MAIS

PAR FSC

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Une première victoire, maintenant des garanties !

 

Le président du Conseil départemental de la Somme vient d’annoncer le report de sa décision pourtant « définitive », pourtant « indiscutable », pourtant « irrévocable » de fermer trois collèges dans le département de la Somme.

 

Il annonce une commission d’enquête afin d’y associer les élus, les équipes éducatives, les parents d’élèves…

 

Grâce au réveil du Peuple Picard Libre, à coup de manifestations, de rassemblements et d’études solides et argumentées, le président du Conseil départemental n’avait pas d’autre choix que de reculer.

 

Cette commission d’étude, nous la réclamions.

 

Et c’est avec sérieux et application que nous y participerons.

 

Pour que soit enfin posée cette question : comment rattraper nos 50 % de retard en difficulté de lecture sur le reste du pays ?

 

Comment faire pour que la Picardie ne soit plus la région où la chance d’obtenir le baccalauréat soit la plus faible ?

 

Nous adressons nos félicitations aux parents d’élèves et enseignants de Domart, Feuquières et Guy Mareschal.

 

Ainsi qu’aux militants de Picardie debout !

 

Cette victoire, c’est la leur. Et à la fin c’est nous qu’on va gagner !

 

François Ruffin et son équipe.

 

PAR EL DIABLO

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Menace de fermeture de Ford à Blanquefort : les ouvriers multiplient les actions

Délégation à Cologne, envahissement de réunions, les ouvriers de Ford multiplient les démonstrations de résistance suite à l’annonce, le 7 juin dernier, de la fermeture définitive de l’entreprise si aucun repreneur ne se présente et ainsi le lancement du plan social dit PSE (Plan de Sauvegarde de l’Emploi).

Trois réunions PSE sans avancée réelle

Ce mercredi 27 juin se tenait la troisième réunion concernant le « Plan de Sauvegarde de l’Emploi » (PSE), sous forme d’un comité d’entreprise extraordinaire, elle fait suite à la première journée de discussion du mardi 26 juin, comme annoncée [dès le 7 juin, jour de l’annonce du lancement du PSE→https://www.revolutionpermanente.fr/Ford-Blanquefort-fermeture-de-l-usine-et-plan-social-Chronique-d-un-scandale].

La première réunion du mardi s’est déroulée durant toute la journée. De nouveau, sans grande avancés, avec dans l’après midi l’annonce des modalités du « Le projet de licenciement collectif pour motif économique », que l’on peut retrouver sur le site de la CGT Ford, ces modalités sont évidemment de faible compensation contre la vie ruinée des 900 ouvriers et leurs familles.

Ce mercredi, les salariés de l’usine ont donc fait entendre leur voix durant cette troisième séance de planification de fermeture, en débrayant puis allant envahir le comité d’entreprise extraordinaire. Cette action, suivie par une centaine d’ouvrier a interrompu la production quelques heures, mais a surtout rappelé une nouvelle fois la détermination des militants à lutter contre la fermeture de l’usine. Il s’agit aussi de jouer un rôle dans la prise de décision et de ne pas se contenter de négocier des primes de départ. Seuls les représentants CGT ont quittés la réunion pour discuter avec leurs collègues, obligeant la direction à envoyer un porte- parole (le chef du personnel) aux salariés. Sans pour autant parvenir à répondre à leurs questions !

Une nouvelle dynamique

L’annonce définitive de la fermeture, qui est annoncée pour fin aout 2019, avec des premiers départs en janvier 2019, a relancé la détermination des ouvriers.
Il faut souligner le périple qu’a effectué une délégation jusqu’à Cologne, le 20 juin, pour se rendre au siège de la direction. Voyage qui a été ponctué par de nombreux moments de solidarité, que ce soit en gare de Paris avec des cheminots, ou une fois sur place avec des syndicalistes de l’usine Ford local.

Vidéo du collectif Raffut, qui a suivi la délégation partie pour Cologne

Plus récemment, la projection de l’excellent film « En Guerre », a réuni plus de 200 personnes à Blanquefort lors d’une soirée de soutient, durant laquelle HK est une nouvelle fois venu chanter !

Perspectives à venir !

Les Ford seront évidemment présents à la manifestation inter-pro de ce jeudi 28 juin, mais il faudra surtout allez les soutenir lors de la seconde manifestation à leur initiative, ce samedi 30 juin !

Une journée de démonstration collective, soutenue par de nombreux collectifs et partis politiques : l’UD CGT 33, la Fédération CGT métallurgie, l’USTM 33, Solidaire 33, Sud PTT 33, la CIP, AC !, Attac33, CIPG, Ensemble, LO, NPA, le PCF … Philippe Poutou et Olivier Besançenot, porte-paroles du NPA et tous deux ex-candidats aux présidentielles seront également présent.

Rendez vous donc à 14h place Pey Berland à Bordeaux pour faire de cette journée une réussite, mais surtout une démonstration et un premier pas pour la riposte qui doit continuer à s’organiser contre cette fermeture annoncé !

PAR REVOLUTION PERMANENTE

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Les violations des droits humains s'accumulent chez Coca-Cola !
Les violations des droits humains se multiplient chez The Coca-Cola Company - au sein de ses opérations en propre en Irelande, et au sein de son système d’embouteillage en Haïti, Indonésie, aux Philippines et aux États-Unis. La société se rend ainsi systématiquement coupable en échouant à respecter les droits humains de ses employé-e-s et à prendre des mesures pour corriger ces atteintes aux droits.
 
Coca-Cola Company n'a pas réussi à traduire ses belles paroles en des pratiques qui garantissent l’accès des travailleurs-euses à leurs droits fondamentaux au sein du système. L’incapacité systématique de TCCC à faire preuve de diligence raisonnable en matière de droits humains la rend complice de ces abus, et en fait un auteur à part entière d’atteintes aux droits.
 
Si vous n'avez pas encore envoyé un message à The Coca-Cola Company, CLIQUEZ ICI POUR ENVOYER UN MESSAGE, demandant instamment à la société d’agir pour remédier au nombre croissant de violations des droits humains au sein du système Coca-Cola.
 

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Résultat de recherche d'images pour "QUESTIONS"
 
Voici les questions de la CGT pour le prochain CE/DP vendredi 29 juin 2018 :
 

Questions CE :

Volume à date SHAMPOING/DENTAIRE et comparaison par rapport à l’année dernière

Part de marché shampoing/dentifrice et point promo publicité et budget

Point SUR

Point sur les embauches

Point sur les renouvellements des CDI I et point sur le cabinet de recrutement ?

Point intéressement

Comment la direction peut-elle expliquer un tel écart de salaire, avec les mêmes fonctions et anciennetés entre les salariés ? Comment compte-t-elle réduire ces écarts ?

Détails des investissements sur la ligne 13 suite au nouveau format Monsavon et montant de la Capex ? Que reste-t-il à faire ?

Etat d’avancement des témoins sur les nouvelles formules Zaha

Point sur le projet de faire du DOVE 200ml sur la ligne 16 ?

Mise à jour de l’organigramme

Organisation des ateliers pour juillet/août

 

Questions DP :

Points sur les modifications des nouveaux lèves palettes ?

Point sur la leçon ponctuelle créée le 25 mai 2018 « position connecteur stand trailers », nous demandons que la direction prenne une décision claire sur les remorques ?

Coût de la location du compacteur au local maintenance ?

Retour sur la planification des matchs de foot de l’équipe de France ?

Est-il prévu de mettre des glaces à la disposition des salariés ?

Divers

Ci-dessous l'ordre du jour :

Voir les commentaires

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
2 000 € pour un an de travail. Quatre bûcherons marocains surexploités

Arrivés il y a un an dans le Sud de l’Indre, deux Marocains, rejoints quelques mois plus tard par deux autres travailleurs, se sont fait exploiter par leur patron pendant des mois.

Crédits photo : NR, Thierry Roulliaud

Leur histoire est relatée dans le quotidien La Nouvelle République (LNR). Ces quatre bûcherons sont originaires de Ouaoumana, un village du centre du Maroc, à quarante kilomètres de la ville de Khenifra. Les premiers sont arrivés à Aigurande, dans le sud de l’Indre, en juin 2017. 

Ils se sont fait embaucher en CDI par un homme qu’ils connaissaient, bientôt rejoints – en février 2018 – par deux autres travailleurs en CDD originaires du même village marocain. En semaine, ils devaient travailler dix heures par jour avec uniquement 20 minutes de pause-déjeuner, à couper du bois aux quatre coins de la région.

« Puis, il vient nous chercher pour nous ramener à l’appartement, racontent-ils aux journalistes de LNR. Le week-end, il nous faisait travailler dans le restaurant rapide qu’il est en train de retaper… ».

Ils se trouvent aujourd’hui dans une situation d’extrême précarité. Locataires d’un petit logement, tous les quatre ont vu leur patron déchirer leurs contrats de travail sous leurs yeux. Les premiers arrivants n’ont touché que 2 000 € pour le travail titanesque effectué en un an, tandis que les deux autres n’ont perçu que 330 € pour les quatre mois qui se sont écoulés depuis leur embauche.

S’ils poursuivent leur employeur avec l’aide de la CGT et le soutien de la mairie, cette histoire est surtout particulièrement révélatrice de la situation de la majorité des travailleurs immigrés. Pour les patrons ils ne représentent que de la main d’œuvre bon marché et corvéable à merci. Le fait qu’ils ne connaissent souvent personne en arrivant en France garantit bien souvent aux employeurs un isolement des travailleurs qu’ils exploitent, qui s’assurent ainsi de pouvoir les réduire en esclavage en toute impunité.

PAR REVOLUTION PERMANENTE

Voir les commentaires

Visiteurs

520655

 

Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

Archives

Articles récents

Hébergé par Overblog