SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Baisse des PÉAGES autoroutiers....ENCORE UN ENFUMAGE !
Baisse des PÉAGES autoroutiers....ENCORE UN ENFUMAGE !

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[jpg] CGT-TRANSPORTS-PEAGES-23JANVIER2019

Publié par EL DIABLO

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Sanctions - Délais de paiement

Depuis 2009, la loi plafonne strictement les délais de paiement contractuels interentreprises. Ces délais ne doivent pas dépasser 60 jours à compter de la date de la facture, ou 45 jours fin de mois (article L. 441-6 du code de commerce), des délais spécifiques étant prévus pour certains produits ou services (article L. 443-1 du code de commerce).

Pourtant les retards de paiement restent nombreux. Or, ils sont gravement préjudiciables à la rentabilité des entreprises créancières parce qu’ils leur imposent d’obtenir des financements de court terme auprès de leur banque. Ces retards ont un impact négatif sur leur trésorerie, sur leur compétitivité, voire, pour les plus fragiles d’entre elles, sur leur existence.

La DGCCRF est chargée de contrôler le respect des règles du code de commerce relatives aux délais de paiement. Les articles L. 441-6 et L. 443-1 du code de commerce prévoient la sanction du non respect des règles légales relatives aux délais de paiement par une amende administrative d’un montant maximal de 75 000 euros pour une personne physique et 2 millions d’euros pour une personne morale. Cette sanction est  publiée.

Le montant de l’amende est doublé en cas de réitération du manquement dans un délai de deux ans à compter de la date à laquelle la première décision de sanction est devenue définitive.

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03/01/2019 - Amende de 283 000 € prononcée à l’encontre de la société UNILEVER France HPC INDUSTRIES (numéro de SIRET 50156959400044)

 

En application des articles L. 441-6 VI et L. 470-2 du code de commerce, une amende de 283 000 € a été prononcée par la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRECCTE) d'Ile-de-France à l’encontre de la société UNILEVER France HPC INDUSTRIES pour des retards dans le paiement des factures de ses fournisseurs. La constatation de ces retards a été effectuée par les services de la DIRECCTE dans le cadre d’une enquête lancée par la DGCCRF sur le respect des règles du code de commerce en matière de délais de paiement.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Bouquet final pour Carlos Ghosn. Une démission et 800 000€ de retraite par an !

Ce jeudi 24 janvier prend officiellement fin le long règne de Carlos Ghosn à la tête de la multinationale Renault qu’il dirigeait depuis 2005. Le cost-killer, surnom qui lui été attribué suite à ses vagues de licenciement de masses pour réduire les coûts, n’aura finalement pas réussi à sortir indemne de ses nombreuses escroqueries.

Patrons voyous !

Photo : © AP Photo / Thibault Camus

Après avoir passé près de 10 ans à détourner des millions d’euros en ne déclarant qu’une partie de ses nombreux revenus, faisant travailler dans des conditions déplorables les salariés et en continuant à licencier des milliers d’entre eux, il se voit désormais dans l’obligation de céder la place au milliardaire Vincent Bolloré et à son acolyte, président du groupe Michelin, Jean Dominique Sénard qui dirigeront l’entreprise en tandem.
Reste cependant désormais à poser la question des indemnités que recevra Carlos Ghosn pour son départ bien qu’étant en prison et encourant une peine de 15 ans pour avoir détourné l’équivalent de millions d’euros depuis au moins 2010.

Carlos Ghosn est déjà assuré de toucher son salaire fixe de 2018 soit l’équivalent d’un million d’euro, ainsi qu’une somme encore indéterminée de salaire variable indexé sur la présence dans l’entreprise où il n’a pas été depuis le mois de novembre, à cause de son emprisonnement au Japon. Cependant cette part de salaire variable peut s’élever jusqu’à 100% de son salaire fixe, soit de nouveau un million d’euro dans les poches de l’ancien PDG de Renault.

Mais ce n’est pas tout ce à quoi peut prétendre Carlos Ghosn ; en effet, début mars il fêtera ses 65 ans et pourra donc bénéficier de sa retraite qui sera au minimum de 800 000 euros par ans. Selon Loic Dessaint, membre du cabinet Proxinvest qui conseille les actionnaires de Renault, il ne voit aucun motif qui pousserait le conseil d’administration à lui refuser ses droits de retraites, cette somme s’agrège donc à son million d’euro et à son potentiel autre million.

Mais Carlos Ghosn bénéficiera surement également d’une prime de non-concurrence de la part du conseil d’administration de Renault, pour ne pas qu’il aille offrir ses services et donc divulguer des informations confidentielles à un concurrent, lorsqu’il sortira de prison. Cette prime pourrait s’élever jusqu’à 4 millions d’euros supplémentaires.

Enfin il reste à ajouter la part d’action gratuite qui lui avait été promise, ces actions cumulées atteindraient une somme d’un montant approximatif de 20 millions d’euros. Cependant, l’état français qui est actionnaire majoritaire chez Renault semble être réticent à lui accorder ses parts, en effet, se rendant compte de la situation actuelle et de l’impact que de telles sommes pourraient provoquer au sein du mouvement des gilets jaunes, sa décision est encore inconnue. Le discours médiatique cherchant à montrer les réticences de l’État a pour but d’essayer de feindre que le gouvernement fait des efforts et entend la misère sociale alors que, sans compter les dites primes, Carlos Ghosn pourrait partir avec la somme de 7 millions d’euros.

Toutes ces primes, hormis la retraite, lui seront accordées ou seront rejetées, à l’issue de l’assemblée générale des actionnaires qui aura lieu en juin.

Carlos Ghosn n’a donc pas fini de faire parler de lui et les suites de son affaire pourraient bien engendrer encore plus de colère au sein des gilets jaunes qui approchent déjà de leur 11ème semaine de mobilisation sans faiblir et avec même une remontée du nombre de personnes en manifestation après un léger affaiblissement durant les fêtes de fin d’année. Les décisions de l’État quant à ses primes, pourraient donc avoir leur importance au sein du mouvement.

Publié par EL DIABLO

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Automobile. Départ en or pour Carlos Ghosn

L’Humanité, 24 janvier 2019

Le patron de Renault devrait se faire remplacer ce jeudi, avec des millions d’euros d’indemnités.

De 5 à 15 millions d’euros, voilà l’ultime pactole auquel pourrait prétendre Carlos Ghosn en quittant Renault, tandis qu’il est incarcéré au Japon, sous le coup d’accusations de malversations. Son entourage le dit prêt à démissionner « pour ne pas être un obstacle ni à Renault, ni à l’Alliance » du constructeur français avec Nissan, mais pas sans que ses avocats aient pris ses dispositions pour lui assurer sa retraite dorée.

La fourchette est large parce que le salaire du prochainement ex-patron de Renault est compliqué à calculer. Il gagne un million d’euros en fixe, complété par de nombreux bonus, principalement versés en actions, selon les résultats du groupe. Ghosn veut prétendre à la totalité des titres qui lui avaient été attribués jusqu’en 2022, la fin initialement prévue de son mandat. En outre, une retraite est prévue dans le contrat du PDG, dépassant les 60 000 euros par mois… Ceci fait actuellement l’objet de négociations. Les regards se tournent vers l’État qui, en tant que premier actionnaire de Renault avec 15 % du capital, sera amené à se prononcer sur l’octroi d’un parachute en or au PDG. « Ghosn a commis une faute grave, il a trahi son entreprise et ses salariés, pourquoi recevrait-il 15 millions d’euros d’indemnités et 60 000 euros par mois de retraite ? Ce type doit être sanctionné comme tout salarié ayant été pris la main dans le sac en volant son entreprise », s’est insurgé l’ex-responsable PS Gérard Filoche.

Le conseil d’administration devrait acter son remplacement

Les syndicats du constructeur ne sont pas non plus prêts à passer l’éponge sur un parachute doré, surtout que les négociations annuelles sur les salaires vont débuter la semaine prochaine et qu’elles s’annoncent compliquées.Le conseil d’administration, qui se réunit ce jeudi matin au siège de Renault à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), devrait en tout cas acter son remplacement. Le duo composé de Thierry Bolloré, adjoint et dauphin désigné de Carlos Ghosn, et de Jean-Dominique Senard, patron de Michelin et proche d’Emmanuel Macron, devrait prendre la suite. Le premier comme directeur général, après avoir assuré l’intérim de ce poste depuis fin novembre, le second devrait prendre la présidence du conseil d’administration. Le ministre de l’Économie avait déclaré, mardi, que Jean-Dominique Senard « ferait un excellent président de Renault. Le président s’occupe de la stratégie de long terme, le directeur général de l’entreprise au jour le jour ».

Pierric Marissal

Publié par anti-k.org

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EXIGEONS L'AMNISTIE DES GILETS JAUNES : SIGNEZ LA PETITION !
EXIGEONS L'AMNISTIE
DES GILETS JAUNES :

SIGNEZ LA PÉTITION

Ils n’étaient pas venus à Paris, Bordeaux, Toulouse, et tant d’autres villes, pour en découdre avec les forces de l’ordre. Ils étaient venus pour défendre leurs vies menacées, dégradées par la précarité, mises en joue par un pouvoir prêt à faire les poches de leurs parents retraités comme de leurs enfants étudiants, afin de valoriser le patrimoine financier des plus riches. Ils étaient venus pour protéger leurs droits fondamentaux, et aussi une certaine conception de la justice sociale, qui a longtemps fait l’honneur de la France.

La stratégie de la tension, délibérément choisie par le pouvoir, ne leur a pas laissé la chance d’une protestation pacifique. Gazage, nassage et brimades en tout genre, puis au fil des semaines, matraquages, tirs de flashballs et grenades mutilantes, pour la première fois de leur existence, beaucoup de « Gilets jaunes » ont été confrontés à des brutalités policières indignes d'une démocratie, que des organisations comme Amnesty international ont elles-mêmes dénoncées.

On ne compte désormais plus le nombre de manifestants, au casier vierge, mis en garde à vue, condamnés en comparution immédiate, ou aujourd’hui en instance de jugement. Certains connaîtront la prison, qui détruit, qui humilie. D’autres ne retrouveront jamais d’emploi. Un grand nombre d’entre eux verront leurs vies brisées à jamais. Nous ne pouvons accepter qu’une protestation contre une politique massivement rejetée par la population détruise ainsi des êtres pris pour boucs émissaires. Nous ne pouvons accepter qu’un pouvoir, qui a sciemment fait le choix de la confrontation, se serve d’eux pour intimider tout un peuple. Nous ne pouvons accepter l’idée d’une vengeance d’Etat.

C’est pourquoi nous appelons le Président de la République, Emmanuel Macron, et son Premier Ministre, Edouard Philippe, à mettre à l’ordre du jour une loi d’amnistie en faveur des hommes et des femmes aujourd’hui persécutés, mis en examen, ou détenus pour avoir participé à ce mouvement social d’ampleur historique. C’est pourquoi nous appelons dès aujourd’hui à l’arrêt des procédures en cours, à l’effacement des peines prononcées, et à ce qu’une réponse enfin politique, et pas seulement sécuritaire et judiciaire, soit donnée aux événements hors du commun que la France est en train de vivre.

Une telle amnistie est prévue par l’article 133-9 du Code pénal et légitimée par la tradition française, de nombreuses lois d’amnistie ayant ainsi été votées depuis le début de la 5ème République, notamment dans le cadre d’activités protestataires.

Un tel geste serait seul en mesure de commencer à rendre au pays l’apaisement qu’il ne saurait retrouver sur fond de persécutions pour l’exemple. « Nous ne reprendrons pas le cours de nos vies », disiez-vous Monsieur le Président, le 10 décembre 2018. Nous ne reprendrons pas le cours de nos vies tant que nos concitoyens n’auront pas pleinement retrouvé la leur.

LES PREMIERS SIGNATAIRES

  • Isabelle Alonso (écrivaine)
  • Alain Badiou (philosophe)
  • François Bégaudeau (écrivain)
  • Juan Branco (avocat)
  • Stéphane Brizé (réalisateur)
  • Mathieu Burnel (ex-inculpé dans l’affaire Tarnac)
  • Annick Coupé (secrétaire générale d’Attac)
  • Alain Damasio (écrivain)
  • Eric Drouet (gilet jaune)
  • Annie Ernaux (écrivain)
  • Gérard Filoche (membre de la CGT, Attac, fondation Copernic)
  • Bernard Friot (sociologue et économiste)
  • Thomas Guénolé (politologue)
  • Eric Hazan (éditeur)
  • Anasse Kazib (délégué Sud Rail)
  • Zoé Konstantopoulou (avocate, ex-présidente du parlement grec)
  • David Koubbi (avocat)
  • Mourad Laffitte (réalisateur)
  • Aude Lancelin (directrice de publication Le Média)
  • Franck Lepage (éducateur populaire)
  • David Libeskind (avocat, collectif « robe noire et gilet jaune »)
  • Frédéric Lordon (économiste et philosophe)
  • Henri Maler (fondateur d’Acrimed)
  • Jean-Claude Michéa (philosophe)
  • Gérard Mordillat (réalisateur)
  • Maxime Nicolle (gilet jaune)
  • Gérard Noiriel (historien)
  • Osons causer (YouTuber)
  • Gilles Perret (réalisateur)
  • Pierre Perret (auteur-compositeur-interprète)
  • Thomas Portes (PCF, syndicaliste CGT-cheminots)
  • Bernard Stiegler (philosophe)
  • Assa Traoré (comité Adama)
  • Eric Vuillard (écrivain)
  • Joseph Andras (écrivain)
  • Fabien Archambault (historien)
  • Dorian Astor (philosophe)
  • Marc Belissa (historien)
  • Yves Bernanos (réalisateur)
  • Olivier Berruyer (fondateur du blog « Les Crises »)
  • Olivier Besancenot (porte-parole du NPA, facteur)
  • Alain Bihr (professeur émérite de sociologie)
  • Laurent Binet (écrivain)
  • Irène Bonnaud (metteuse en scène, traductrice)
  • Véronique Bontemps (anthropologue, CNRS)
  • Yannick Bosc (historien)
  • Alain Boscus (historien)
  • Youcef Brakni (comité Adama)
  • Gérard Bras (philosophe)
  • Mathieu Brunet (enseignant chercheur)
  • Gael Brustier (écrivain)
  • Emmanuel Burdeau (critique de cinéma)
  • Pascal Buresi (historien, CNRS)
  • Vanessa Caru (historienne, CNRS)
  • Martial Cavatz (enseignant)
  • Vincent Cespedes (philosophe)
  • Alexis Charansonnet (historien)
  • Yves Cohen (historien)
  • Francis Combes (poète, éditeur)
  • Sergio Coronado (militant écologiste)
  • Mirabelle Cruells Thouvenot (attachée territoriale)
  • François Cusset (écrivain)
  • Sonia Dayan-Herzbrun (sociologue)
  • Laurence De Cock (historienne, fondation Copernic)
  • Christine Delphy (sociologue, CNRS)
  • Martine Derrier (spectacle vivant)
  • Dany-Robert Dufour (philosophe)
  • François Dumasy (historien)
  • Bertrand Dumenieu (ingénieur)
  • Mireille Fanon-Mendès-France (ancienne experte de l'ONU)
  • Pascale Fautrier (écrivaine)
  • Christian Ferrié (enseignant)
  • Jean-Louis Fournel (italianiste)
  • Geneviève Fraisse (CNRS)
  • Bruno Gaccio (scénariste et producteur)
  • Fanny Gallot (historienne)
  • Isabelle Garo (philosophe)
  • Susan George (présidente d’ATTAC)
  • Laurence Giavarini (universitaire)
  • Boris Gobille (sciences politiques)
  • François Godicheau (historien)
  • Maurizio Gribaudi (historien)
  • Nacira Guénif (sociologue)
  • Pierre Guéry (auteur)
  • André Gunthert (historien)
  • Elie Haddad (historien, CNRS)
  • Florence Johsua (politiste)
  • Leslie Kaplan (écrivaine)
  • Sam Karmann (acteur)
  • Pierre Khalfa (syndicaliste)
  • Stéphane Kipfer (politiste, géographe, Toronto)
  • Isabelle Krzywkowski (universitaire, SNESUP-FSU)
  • Jérôme Lamy (historien)
  • Dany Lang (économiste)
  • Mathieu Larnaudie (écrivain)
  • Olivier Le Cour Grandmaison (universitaire)
  • Gildas Le Dem (journaliste)
  • Frédéric Lebaron (sociologue)
  • Marie-Thérèse Lenoir (MRAP migrations)
  • François Lescure (mathématicien)
  • Michel Letté (historien)
  • Ivan Marin (mathématicien)
  • Céline Martin (historienne)
  • Marion Messina (écrivain)
  • Régis Meyran (chercheur en sciences sociales, journaliste)
  • René Monzat (auteur, réalisateur)
  • Dominique Natanson (union française des juifs pour la paix)
  • Heitor O'Dwyer de Macedo (psychanalyste)
  • Ugo Palheta (sociologue)
  • Willy Pelletier (sociologue, fondation Copernic)
  • Roland Pfefferkorn (sociologue)
  • Emmanuelle Posse (professeur de philosophie, mère d'un gilet jaune condamné)
  • Raphaël Pradeau (porte-parole d'ATTAC)
  • Olivier Rabourdin (acteur)
  • Jacques Rancière (philosophe)
  • Eugenio Renzi (critique de cinéma, professeur de philosophie)
  • Fabrice Riceputi (historien)
  • Michèle Riot-Sarcey (historienne)
  • Laurent Ripart (historien)
  • Juliette Rousseau (militante, autrice)
  • Arnaud Saint-Martin (citoyen)
  • Catherine Samary (économiste)
  • Benoît Schneckenburger (agrégé de philosophie)
  • Todd Shepard (historien)
  • Patrick Simon (revue Mouvements)
  • Danielle Simonnet (conseillère de Paris)
  • Yves Sintomer (sciences politiques)
  • Eyal Sivan (cinéaste)
  • Arnaud Skornicki (politiste)
  • Joy Sorman (écrivain)
  • Catherine Stern (PCF - 28 Migrations)
  • Federico Tarragoni (sociologue)
  • Julien Théry (historien)
  • Enzo Traverso (historien)
  • Yves Vargas (professeur de philosophie)
  • Eleni Varikas (professeur de théorie politique)
  • Nicolas Vieillescazes (éditeur)
  • Xavier Vigna (historien)
  • Julien Vincent (historien)
  • Fabrice Virgili (historien)
  • Louis Weber (éditeur)
  • Hela Yousfi (universitaire)
  • Sophie Zafari (syndicaliste)
  • Jean-Claude Zancarini (italianiste)
  • Michelle Zancarini-Fournel (historienne)

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CLIQUEZ CI-DESSOUS

https://amnistiegj.fr/

  • ILS ONT DEJA SIGNE
44 563
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RT France

 

Emmanuel Macron et Angela Merkel, réunis à Aix-la-Chapelle pour signer un nouveau franco-allemand, ont été accueillis ce 22 janvier matin par les huées de quelques dizaines de personnes, dont certaines vêtues de gilets jaunes.

Emmanuel Macron et Angela Merkel se sont rapidement engouffrés dans la prestigieuse mairie d'Aix-la-Chapelle (Allemagne), ce 22 janvier, pour signer un nouveau traité franco-allemand. Plusieurs dizaines de manifestants, munis de sifflets et de vuvuzelas, ont accueilli les deux dirigeants avec des huées, criant «Merkel muss weg» («Merkel doit partir») et «Macron démission», comme l'ont constaté un de nos reporters ainsi qu'un journaliste de l'AFP.

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Personnels psychiatriques révoltés : grèves et manifestations pour “des soins plus humains”

Ce mardi, de nombreux rassemblements de personnels psychiatriques en grève ont eu lieu à Rennes et à Paris après que la profession ait été secouée par plusieurs luttes ces derniers mois, comme le campement installé devant Pinel à Amiens, une grève de la faim à Rouen et l’occupation du toit des urgences psychiatriques au Havre.

Casse de la psychiatrie

Crédit photo : Philippe LOPEZ / AFP

Cela fait quelques mois que les médecins, infirmières et autres personnels des établissements psychiatriques se mobilisent. Le collectif “Pinel en Lutte”, à l’origine d’une grève à l’hôpital Philippe-Pinel d’Amiens, a appelé à un rassemblement Place de la République à 11h, avant une marche en direction de l’Assemblée Nationale. Plusieurs collectifs et syndicats ont répondu à l’appel, notamment “la Psychiatrie parisienne unifiée”, les syndicats de psychiatres (SPH, USP), Sud Santé et la CGT. Le collectif « Pinel en Lutte » a déclaré être “renforcé par cette convergence des luttes”.

Toutes et tous réclament les mêmes choses. Comme il est relayé dans Le Figaro, ils réclament plus d’effectifs pour “des soins plus humains” et veulent “alerter la population de la situation dramatique de la psychiatrie publique”. Les manifestants dénoncent le nombre trop faible de personnels (“deux infirmiers pour trente patients”) ainsi que la “dynamique industrielle” qui a comme seul objectif celui de faire sortir les patients le plus vite possible pour libérer des lits au risque de les voir revenir “parce que le travail de fond n’a pas été fait”.

La diminution du nombre de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, 60% entre 1976 et 2016 selon l’Igas, n’a pas été compensée par l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés, tandis que les besoins s’accroissent. Les psychiatres, mal répartis sur le territoire, fuient l’hôpital public, où « 30% des postes de PH (praticiens hospitaliers ) sont vacants », explique le président du SPH, le docteur Marc Bétremieux, sur LCI.

Le collectif “Pinel en lutte” affirme qu’il y a aujourd’hui, une absence de parole, considérée comme le premier outil d’un hôpital psychiatrique. Il y a un recours plus facile aux médicaments qu’à la médiation thérapeutique : un exemple, un projet de potager a été refusé par manque de budget. Comme l’affirme la psychologue Isabelle Basset sur France Bleu bien décidée à manifester malgré l’obtention de 30 postes supplémentaires dans son établissement au terme d’une grève qui a duré sept mois : “On ne soigne pas un schizophrène comme on soigne une jambe cassée, ce n’est pas quantifiable”. « On veut suffisamment de personnels pour pouvoir écouter les patients et éviter des situations dramatiques où l’on se retrouve contraint de les enfermer, de les contentionner », ajoute Oriane Cayard, infirmière au GHU Paris psychiatrie et neurosciences. « Quand j’ai commencé en psychiatrie il y a 14 ans, les conditions n’étaient déjà pas top, mais je connaissais les patients, ils me connaissaient, j’arrivais à anticiper les situations de crise. Maintenant on n’arrive plus à retenir leur nom de famille », déplore-t-elle.

Le professeur Antoine Pelissolo déclare au Figaro : “Les personnels ont l’impression d’être là pour donner des médicaments et faire du gardiennage, en contradiction avec leur vocation ». Les praticienshospitaliers veulent accueillir et soigner les patients dignement. Les mobilisés critiquent aussi les délais d’attente importants pour des consultations ou le manque de places d’hébergement dans les centres médico-sociaux, ce qui contribue à l’encombrement des services.

Un autre problème posé est l’inégal financement des hôpitaux en fonction des régions, 120 psychiatres dans un courrier à Agnès Buzyn, ministre de la Santé, alertent sur les budgets dédiés qui ne sont pas toujours intégralement alloués aux services psychiatriques des hôpitaux généraux et universitaires.

La ministre a elle-même qualifiée la psychiatrie de “parent pauvre de la médecine” et a déclaré qu’elle manque d’attractivité et d’effectifs. Les professionnels sont déçus par la feuille en route sur la santé mentale présentée par la ministre en juin ; selon eux, la rallonge de 50 millions d’euros est “une paille”, très loin des besoins d’une discipline “en état d’urgence républicaine”, affirment l’UPS et le SPH.

Cette journée de grèves et de manifestations est un fruit de mois de mobilisations. En mai, sept soignants de l’hôpital du Rouvray, près du Havre, se sont lancés dans une grève de la faim et durant l’été, sept soignants sont montés sur les toits pour se faire entendre, ce qui a donné lieu à la création du collectif “Perchés du Havre”.

Après plus de 2 mois de mobilisations des Gilets Jaunes, les blouses blanches doivent se lier aux mouvements et porter leurs revendications, qui rentrent en parfaite adéquation avec la question de la vie chère, des manques de moyens et de la désagrégation des services publics et contre le gouvernement et la politique menée par Macron.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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SOURCE : Le Populaire du Centre

CGT de Bellac et Gilets jaunes de Saint-Junien ENSEMBLES contre la discrimination syndicale à la poste !

Depuis lundi 21 janvier au matin, le syndicat de La Poste Fapt Nord, l'union locale CGT Bellac et les Gilets jaunes de Saint-Junien occupent l'entrée du centre de tri de Bellac pour dénoncer  la « discrimination syndicale » d'un collègue en CDD.
La distribution du courrier a été perturbée au centre de tri de Bellac, lundi 21 janvier au matin, par l'occupation des membres du syndicat de La Poste Fapt Nord qui empêchaient l'entrée des camions sur le site, avec le concours de l'union locale CGT de Bellac et des Gilets jaunes de Saint-Junien. 

Installés sous un barnum, ils ont occupé l'entrée du centre de tri pour dénoncer la « discrimination syndicale d'un de leurs collègues, en CDD, qui représente la CGT au CHSCT ».

Contexte tendu

Le contrat du collègue en question, lequel remplace une personne titulaire arrêtée pour longue maladie, se terminait ce lundi. Son renouvellement n'avait pas été envisagé par la direction. Selon les syndicats, cette décision était la conséquence d'une « discrimination syndicale » dans le contexte tendu d'une réorganisation au centre de tri de Bellac - suppression de quatre tournées et de cinq CDD - laquelle commence de manière effective à partir de mardi 22 janvier. 

Le directeur du centre de tri a informé, en fin de matinée, que La Poste prolonge le contrat en CDD de l’agent jusqu’au 20 février, date à laquelle le comité médical de l'entreprise doit à nouveau se réunir pour statuer sur la durée de l’absence de la personne remplacée par ce contrat. 

Une « première avancée »


Pour les syndicats, ce n'est qu'une « première avancée ». Ils ont décidé de poursuivre le mouvement, dans l'attente de nouvelles décisions concernant l'avenir du salarié en CDD. « La direction s'est engagée verbalement à prolonger le contrat de notre collègue jusqu'en 2020 dans le dispositif de la réorganisation qui prévoit une tournée de renfort et un poste en conséquence. Pour nous, la finalité serait de basculer son contrat en CDI », explique Bernard Lestieux de l'union locale CGT de Bellac.


De son côté, la direction de La Poste reconnaît que la chronologie des faits liés à la réorganisation du centre de tri de Bellac pourrait faire penser à une discrimination syndicale, mais qu'en réalité, elle n'est pas actuellement en mesure de connaître la date de retour de la personne en maladie, remplacée par l'agent dont le cas oppose les syndicats et la direction. 

Soutien de la mairie


Concernant la réaorganisation, la direction rappelle qu'« un accord social sur les régimes de travail a été signé par la CFDT et FO en octobre 2018 et s’accompagne du recrutement de trois personnes en CDI, une tournée de renfort distribution pendant une durée d’un an minimum, un poste de facteur polyvalent pour les absences des agents en temps partiel. »

Dans ce cadre, une personne a été recrutée en CDI ce lundi 21 janvier à Magnac-Laval.

Devant une situation jugée « peu satisfaisante », les syndicats, soutenus par la mairie de Bellac, maintiennent leur mobilisation demain mardi 22 janvier et ont déposé ce lundi un préavis de grève qui prendra effet dans une semaine. 
 

Aline Combrouze

Publié par FSC

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NAO 2019 Unilever France HPCI le meux

NAO 2019

Voici les dates des prochaines négociations sur le partage de la valeur ajoutée

20 février 2019

27 février 2019

12 mars 2019

 

NAO (Négociations Annuelles Obligatoires)

 

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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