SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Par FSC

On sait dans quelles conditions la loi El KHOMRI/VALLS a été adoptée.

Il a fallu à Valls déclencher TROIS, oui TROIS 49.3 pour imposer au parlement le 21 juillet dernier vantant dans la foulée une loi fruit  d'une « large concertation » ayant débouché sur « un compromis solide avec les organisations syndicales et de jeunesse réformistes », un texte « de progrès », porteur « de nombreuses avancées », « indispensable pour l'avenir de notre pays ».

A la rentrée le 15 septembre a été une puissante réplique à un gouvernement qui comptait sur la lassitude et la période estivale pour faire oublier sa forfaiture.

Depuis, malgré l'inscription aux objectifs de plusieurs mouvements locaux la revendication de l'abrogation de cette loi est passée au second plan, même si l'action juridique et les actions délocalisées pour qu'elle ne pénétre pas dans l'entreprise existent, timidement cependant.

Dans le présent contexte soumis au rouleau compresseur médiatique des primaires de droite et du PS il devient impératif que les luttes se développent -ce qui est le cas dans de nombreux secteurs-, que la QUESTION SOCIALE devienne incontournable et que la bataille pour l'ABROGATION de la loi reprenne.

D'autant qu'à l'initiative de sénateurs communistes un projet de loi vient d'être déposé qui doit être débattu en séance le 11 janvier prochain.

Abrogation de la « Loi Travail »

Proposition de loi visant à abroger la loi n° 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels, dite « Loi Travail » :

Objet du texte

Cette proposition de loi a été déposée au Sénat par Éliane ASSASSI, Dominique WATRIN, Annie DAVID, Laurence COHEN et plusieurs de leurs collègues, le 29 novembre 2016.

Estimant notamment que "l'absence de concertation avec les organisations syndicales en amont de [la loi du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels], et le refus d'entendre les millions de citoyennes et de citoyens qui se sont mobilisés dans des conditions difficiles de l'état d'urgence contre cette loi pendant des mois a démontré l'absence de légitimité démocratique de ce texte", les auteurs en demandent l'abrogation.

Nous n'oublions pas que cette loi est dangereuse pour tous les salariés!

Nous n'oublions pas qu'elle continue d'être condamnée par 70% de la population!

Nous n'oublions pas que des centaines de milliers de travailleurs sont descendus dans la rue pendant près de 5 mois!

Nous n'oublions pas les occupations des raffineries, les blocages de zones industrielles, les grèves reconductibles, les pétitions massives ...

Nous n'oublions pas la répression contre les manifestants et les provocations policières qui connaît actuellement une suite devant les tribunaux.

Faisons donc monter partout cette exigence !

Informons les travailleurs de cette initiative parlementaire pour le 11 janvier!

Que partout le mouvement syndical fasse entendre sa voix et exige la prise en compte des intérêts des travailleurs face à la démagogie électorale, les discours verbeux et mensongers OU la revendication revancharde d'une droite à laquelle le PS a ouvert largement la voie!

 

 

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Transformer le travail, une urgence sociale et économique

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La ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, a dévoilé le 5 décembre une stratégie nationale d’amélioration de la Qualité de vie au travail (QVT).

Elle annonce la création d’un observatoire dédié dès le début de l’année 2017.

Pour qualifier son action, elle annonce vouloir « Prendre soin de ceux qui nous soignent. »

Après les drames vécus, entre autres à Orange-France Télécom, à la Poste, dans les centres d’appels et les établissements de santé, l’aveuglement du gouvernement et de certains dirigeants d’entreprise est consternant.

À vouloir traiter les conséquences plutôt que de s’attaquer aux causes, on laisse le mal travail gangrener notre société.

C’est le travail qui est malade, pas les soignants !
• malades de l’intensification et de la densification des tâches ;
• malades des suppressions de postes ;
• malades d’un management autoritaire et dépourvu de tout respect ;
• malades des contraintes budgétaires qu’ont imposées les PLFSS successifs ;
• malades de la financiarisation de la santé ;
• malades de la satisfaction béate de ce gouvernement d’avoir réduit le déficit de la Sécurité Sociale sans analyser le prix à payer pour les professionnels et les patients ;
• malades d’une politique gouvernementale qui n’a pas atténué les inégalités d’accès aux soins concentrant tous les maux au sein du service public ;
• malades du mépris à l’encontre de celles et ceux qui sacrifient leur santé au service du bien commun, de l’intérêt général.

Pour toute réponse à cette crise du mal travail où valeur et éthique sont bafouées et la perte de sens du travail généralisée, un observatoire de la QVT pour 2017 !

Des bibliothèques entières de rapports d’expertises, des milliers de comptes rendus d’instances représentatives des personnels sont déjà disponibles. Ils illustrent cette montée de l’empêchement du bien travail et la dégradation de la qualité du travail.

Avant de parler de qualité de vie au travail, regardons la qualité du travail.

Pour cela, il faudrait considérer le travail comme une richesse et non comme un coût.

Pour cela, il faudrait instaurer de vrais lieux de négociations sur la qualité, le sens et l’organisation du travail.

Le mal travail coûte des milliards d’euros par an à la France. Madame Marisol Touraine, comme d’autres, doit revoir sa copie. Ce n’est pas d’un hygiénisme dont a besoin le monde du travail de ce pays.

Ce dont nous avons besoin : c’est d’un autre management basé sur la citoyenneté au travail plutôt que sur des chiffres dans des tableaux Excel niant totalement le travail réel.

La CGT va continuer à œuvrer auprès de tous et toutes les travailleurs- euses pour transformer le travail afin de s’y épanouir pour gagner une vraie citoyenneté au travail comme élément déterminant et indispensable à la refonte d’une démocratie de plus en plus malade.

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Après avoir massivement fait grève le 25 novembre dernier, les agents de la Banque de France étaient appelés à faire une nouvelle journée d’action unitaire (CGT FO SNA CFDT CFTC Syndicam) ce mardi 6 décembre, jour de la réunion du Comité central d’entrprise. A cette occasion, ils ont décidé d’envahir massivement le CCE.

Une très grande majorité des agents rejette deux projets majeurs du gouverneur Villeroy de Galhau : une reforme des carrières et un plan stratégique dénommé Banque de France 2020 qui vise à supprimer 2500 emplois.

Le projet de reforme des carrières dégradent très fortement le déroulement des carrières, génèrent une perte massive du pouvoir d’achat pour une majorité d’agents et organise la suppression des commissions paritaires laissant libre court à l’arbitraire.

Le projet Banque de France 2020 supprime 2400 emplois et s’attaque au cœur des missions de la Banque de France notamment celle affectée au service des particulier. Par exemple, le surendettement sera totalement déshumanisé au profit de l’industrialisation du traitement des dossiers, ce qui se traduira par l’abattage pour faire seulement du chiffre !

Aujourd’hui plus que jamais les agents sont déterminés à défendre leurs droits et garanties et les missions de la Banque de France au service de toute la société !

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Près de 75% des ouvriers du sous traitant MC Synchro sont en grève depuis lundi matin pour des augmentations de salaires. Ils assemblent les roues pour PSA.
Ils revendiquent 200 € d'augmentation générale des salaires et l'embauche des intérimaires.

Ils sont déterminés et ils ont toute notre solidarité !

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Communiqué commun des organisations syndicales CGT, FSU, Union syndicale Solidaires, Unef, UNL, Fidl

L’envers du décor suite : dans le Vaucluse et le Pas-de-Calais !

Il y a maintenant bientôt trois ans que nos organisations ont décidé ensemble de lutter contre l’extrême droite, ses idées et ses pratiques. Depuis le lancement de la campagne, le 29 janvier 2014, et notre volonté de travailler ensemble auprès des militant-e-s, au plus près des salarié-e-s, des initiatives communes ont été organisées sur tout le territoire, dans les régions.

Dans un contexte économique et social extrêmement tendu, à un moment où de scrutins en scrutins le vote pour l’extrême droite ne cesse de progresser dans tous les secteurs de la société, aussi bien en France que dans plusieurs pays occidentaux, nos organisations ont décidé d’organiser deux nouvelles réunions de l’observatoire national des politiques et des pratiques de l’extrême droite. Après Béziers en mai 2015 et à Knutange en octobre 2015, c’est à Monteux, commune du Vaucluse que l’observatoire se réunira le 15 décembre prochain. Puis le 28 février, c’est dans le Pas-de-Calais, à quelques encablures d’Henin Beaumont que nous nous réunirons à nouveau.

Dans quatre ateliers (Gestion des personnels municipaux — Sémantique de l’extrême droite — Politique sécuritaire — Éducation culture et milieu associatif) nos militant-e-s poursuivront le travail d’éclairage de la réalité des effets des politiques mises en œuvre par l’extrême droite.

Ensemble faisons une réussite de ces deux nouvelles étapes de la campagne commune « Ensemble uni-e-s contre l’extrême droite » en prise avec les salarié-e-s, les acteurs de terrain.

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Parce que l’entreprise, le travail, la richesse, ce sont les salariés. Pour respecter l’équilibre travail/ qualité de vie au travail...

Salariés des très petites entreprises, votez ! - Élections TPE du 30 décembre 2016 au 13 janvier 2017 2016

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Par FSC

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C'est un déferlement unanime contre les déclarations de Ségolène Royal à Cuba.

De la droite aux verts, de l'extrême droite au centre.

De Cohn-Bendit à Marion Maréchal Lepen, de Bayrou à Cioti.

Sans faire la moindre place à un autre avis contre cette véritable entreprise de désinformation à l'encontre du peuple cubain et de fidel Castro.

Sans un mot pour le blocus de plus de 50 ans et ses effets dévastateurs sur la population!

Sans un mot sur les centaines d'attentats d'origine US.

Sans un mot sur les centaines de tentatives d'assassinats de Fidel lui-même.

Sans un mot sur le bagne lieu de torture extra-judiciaire que constitue Guantanamo qu'ils avaient juré promis de fermer! Un territoire cubain occupé de surcroît de manière totalement illégale!

Sans pouvoir expliquer comment celui qui est censé avoir opprimé son peuple, à l'occasion de son décès est l'objet d'un immense et exceptionnel hommage.

Que nos dirigeants nabots seraient bien incapables de susciter!

Sans ...

Preuve que les grands médias de masse appartiennent TOUS à l'oligarchie et que le service public est coulé dans le même moule.

Ils peuvent dénoncer sans vergogne le manque de liberté d'expression à Cuba!

Nous revenons sur ce qui vient de se passer à l'occasion du décès du grand dirigeant révolutionnaire que fut Castro parce-que le feu roulant idéologique qui en est résulté dans notre pays est l'expression de la volonté des classes dirigeantes de s'opposer par tous les moyens à tout changement réel qui mettrait en cause leurs privilèges.

Dans la crise actuelle qui discrédite leur politique qui provoque chez de nombreux peuples la colère et le rejet de leurs représentants politiques, et cela jusque dans leur Union européenne, il leur faut tuer toute aspiration et tout espoir d'une véritable alternative politique en faveur des travailleurs, de leurs revendications et de leurs aspirations!

il leur faut impérativement disqualifier tout exemple des succès d'un peuple qui a choisit de manière indépendante des grandes puissances impériales une voie originale de développement.

Afin de tuer toute idée de la possibilité même d'une alternative à leur système d'exploitation et de domination!

La résistance populaire contre les effets de la politique mise oeuvre par le gouvernement socialiste qui a ouvert la voie aux surenchères de casse sociale de la droite et de Fillon est indispensable.

En même temps le mouvement syndical, la CGT doivent engager le combat contre les idées diffusées massivement dont le rôle est de légitimer les politiques d'austérité et de régression sociale.

Fillon considère qu'il peut enfin oser proclamer ses intentions d'engager une blitzkrieg contre les 35 heures, contre la sécu, contre toutes garanties et protection du droit du travail, ... PARCE QU'IL CONSIDERE AVOIR GAGNE LA BATAILLE IDEOLOGIQUE.

Faisons le donc mentir en menant de concert la résistance sociale et la bataille des idées!

______________

Ce que Ségolène Royal a déclaré à Cuba :

« C’est un monument de l’histoire, d’abord, Fidel Castro » et « c’est le symbole d’une amitié très profonde entre Cuba et la France »

« Grâce à Fidel Castro, les Cubains ont récupéré leur territoire, leur vie, leur destin. Ils se sont inspirés de la Révolution française sans pour autant connaître la terreur qu’il y a eue pendant la Révolution française »

« Ecoutez, il y a beaucoup de désinformation, ce que j’observe c’est que jamais les relations diplomatiques n’ont été coupées avec Cuba, y compris de la part de certains responsables politiques qui me critiquent, qui critiquent la France, jamais » « Il y a toujours du positif et du négatif dans les histoires, mais certains ne vont pas se rhabiller à bon compte au nom des droits de l’homme alors qu’on sait qu’ici, quand on demande des listes de prisonniers politiques, on n’en a pas. Eh bien fournissez-moi des listes de prisonniers politiques, à ce moment-là on pourra faire quelque chose ».

« Donc il faut savoir regarder les choses positivement même si ça dérange ».

« La France n’a pas à donner de leçon » à Cuba. « Je sais que ça dérange parce que justement voilà un pays insulaire qui protège son patrimoine, qui interdit les prédateurs, qui a réussi aussi à faire en sorte qu’il y ait une propreté, une sécurité vraiment remarquables, que l’on n’atteint pas dans beaucoup de pays qui donnent aujourd’hui des leçons de droits de l’Homme ».

Par FSC

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Hollande et Sarkozy à terre, voici que s'annoncent leurs premiers ministres Fillon, Valls, sans oublier Le Pen ou Macron… avec Fillon et Le Pen se rêvant tous les deux au deuxième tour des présidentielles.

 Face au « blitzkrieg » annoncé : Résistance populaire !!!

 Si Le Pen essaie toujours tromper les masses en se faisant passer pour la candidate des petites gens, cette héritière fortunée, anti-cégétiste de choc, a pour fonction de diviser les salariés au nom de la « race » ou de la religion (alors que tous ont le même intérêt face aux exploiteurs) pour écraser le mouvement ouvrier ! Son amitié revendiquée avec D. Trump devrait d'ailleurs vacciner les travailleurs prêts à céder à son message faussement anti-système et anti-UE : à peine élu, le milliardaire Trump s’empresse comme il était prévisible de nommer aux futurs postes de responsabilité tout ce que Wall Street compte de banquiers tout aussi milliardaires, féroces et véreux pendant que les milieux d'affaire exultent…

« Antisystème », François Fillon s'en est revendiqué aussi, lui le premier ministre de Sarkozy et qui fut ministre dès 1993 et sans interruption après 2002...

Fillon est le favori du Medef, du Cac 40 et de la droite la plus réactionnaire, revendiquant sa proximité avec les ultras catholiques de la « manif pour tous », comme en témoignent aussi ses scores aux « primaires » dans les beaux-quartiers de Neuilly ou Versailles.

Son programme : suivre la voie de Thatcher, grande amie de Pinochet et du régime de l’apartheid, en mêlant réaction ultra-conservatrice et thérapie de choc voulue par l'UE et par la BCE : retraite à 65 ans et casse de tous les régimes spéciaux, fin des 35 heures et durée maximum du travail à… 48h, fin du code du travail remplacé par la « négociation » en entreprise, totale liberté de licencier, réduction des droits des représentants du personnel, baisse des indemnisations chômage, baisse des impôts sur le capital et des « charges » sur les entreprises, suppressions de l'impôt sur la Fortune, enseignement professionnel livré au patronat, casse de la Fonction Publique, de l'Education Nationale et suppression de 500000 fonctionnaires, baisse voire fin du SMIC, privatisation de la Sécu, augmentation de la TVA, coupe de 100 milliards dans les budgets sociaux, approfondissement de l'Ue par un gouvernement économique de la zone euro et une Europe agressive de la défense...  !

Au final, une baisse massive du pouvoir d’achat de la classe des travailleurs salariés, des secteurs entiers du salariat condamnés à la tiers-mondisation accélérée, des petits artisans, commerçants ou paysans étranglés à leur tour par la ruine populaire. Comme c'est le cas en Grèce ! Et tout cela au profit des monopoles capitalistes gavés de profits milliards liés à la surexploitation et de centaines de milliards de subventions publiques !

Le tout dans une ambiance de réaction sur la ligne des ultra-catholiques de droite et dans un climat de guerre sociale contre les pauvres : comme l'expliquait tranquillement Fillon devant un parterre de patrons s'étranglant de plaisir en buvant du champagne, il s'agit de faire une guerre-éclair, un « blitzkrieg » (pour reprendre son terme emprunté aux… nazis) à coups d’ordonnances et de gouvernement d'exception contre tous les acquis sociaux et démocratiques arrachés par les luttes populaires, ceux de 1945, 1936, 1905 et 1789…

Face au danger grave et imminent de réaction versaillaise, les classes populaires ne pourront pas compter sur Valls ni sur le banquier Macron pour se défendre : ils ont préparé et ouvert la voie à la situation actuelle et ils partagent les mêmes engagements et amitiés patronales.

Il faudra bien sûr étudier durant la campagne les positions des candidats se réclamant du monde du travail.

Mais pour l'heure, les travailleurs doivent compter avant tout sur leurs propres forces pour déjouer les pronostics cauchemardesques des instituts de sondages et des médias aux ordres des puissants.

Les nombreuses manifestations et la bataille du printemps contre la loi travail, les grèves en cours dans de nombreux secteurs et entreprises contre les régressions et la répression anti-syndicale ainsi que les positions de luttes de nombreuses bases CGT, permettent de créer une force qui aurait le pouvoir de mettre la campagne électorale sous pression et le cauchemar annoncé en déroute.

 LA LUTTE TOUS ENSEMBLE, la construction DES CONVERGENCES,

c’est la seule façon de les faire reculer et de gagner.

LA RUE, LE TOUS ENSEMBLE, LA COORDINATION DE NOS LUTTES, le syndicalisme de classe et de masse,

ont toujours été la clé de la victoire

 LA CLASSE OUVRIÈRE N’EST PAS MORTE, la France de la Commune, du Front populaire, de la Résistance, de mai 68, ne sont pas mortes . NOUS ALLONS LE PROUVER aux revenants de Versailles et de Vichy !

PAR FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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