SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Vidéo. Ce que ces femmes "Gilets jaunes" ont à dire à Macron

Nous avons interviewé ces femmes "gilets jaunes" lors de l'acte V ce samedi. Mobilisées depuis le début du mouvement, elles ont enfilé leur gilet jaune pour lutter en tant que femme, travailleuse, mère - et avec détermination -, contre la vie chère, et pour de meilleures conditions de travail et de vie !

Je suis gilet jaune avant d'être gilet violet

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Vinci veut envoyer une facture aux automobilistes ayant bénéficié des opérations péages gratuits

Il fallait s’attendre à une réaction de Vinci à propos des Gilets Jaunes qui, avec leurs opérations péages gratuits, ont porté un gros coup au portefeuille de la société. Et leur réaction est plutôt ahurissante. En effet, Vinci a annoncé vouloir envoyer une facture aux automobilistes qui n’ont pas payé les péages lors des blocages des Gilets Jaunes.

Gilets Jaunes

Crédit photo : DDM / Morad Cherchari

Les péages sont le symbole des taxes injustes. Un racket organisé par l’État et Vinci qui attise la colère des Gilets Jaunes comme le montre les opérations péages gratuits et plus radicalement l’incendie de certaines barrières.
Vinci ne peut calculer les pertes dû aux opérations des Gilets Jaunes. Alors, le groupe a annoncé que les automobilistes dont les plaques d’immatriculation ont été détectées par les caméras installées à l’entrée et à la sortie des autoroutes recevront une facture par courrier.

Une provocation qui ne passera pas chez les Gilets Jaunes. De plus, dans Le Monde, on peut lire qu’un porte parole de Vinci va jusqu’à expliquer que son groupe est généreux et compréhensif. « Nous sommes conscients du caractère exceptionnel des événements qui ont touché le réseau depuis quatre semaines », « Nous avons donc décidé d’adapter nos procédures pour ne pas pénaliser les usagers en préjugeant de leur bonne foi. » C’est-à-dire que ça ne sera pas une amende. Vinci trop généreux.

Cette annonce ne passe pas pour le gouvernement qui tente coûte que coûte de calmer la grogne des Gilets Jaunes. François de Rugy, ministre de la transition écologique, a expliqué sur Europe 1 qu’« On ne peut pas faire cela. En réalité, sans doute que c’est l’État qui va devoir payer une grande partie de la facture, et donc, ça va être une dépense supplémentaire (…) ou sinon cela sera répercuté d’une façon ou d’une autre sur les tarifs d’autoroute, ce qui est bien dommage parce que les Français qui n’avaient rien à voir avec les casseurs ne devraient rien avoir à payer. »

Ainsi, par cette déclaration le ministre arrive d’une part à rassurer Vinci en le payant et à tenter de briser la popularité des Gilets Jaunes. De Rugy menace même d’une augmentation des tarifs autoroutiers comme conséquence des actions des Gilets Jaunes alors même que les Gilets Jaunes revendiquent la gratuité des autoroutes et son retour à la gestion publique.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Pourquoi MACRON a menti sur le SMIC ? Parce que le salaire est son ennemi

Par Gérard Filoche

Macron a menti devant 23 millions de citoyens, en direct à la télévision, et il a manœuvré pour ne pas augmenter le SMIC tout en laissant croire le contraire. La raison en est son hostilité au salariat, aux salaires et au SMIC. Pour lui, le salaire, net et brut, c’est l’ennemi. Il veut « une société post salariale ». Sa religion est donc que ce soit l’état qui verse des primes afin d’augmenter les marges des entreprises plutôt que les salaires.

 

C’est ce qu’a dit Edouard Philippe : « - Nous sommes contre la hausse du Smic, car nous voulons que le travail paie ». L’expression « pour que le travail paie » s’entend pour les seules marges des entreprises, pas pour les salariés. Ou Muriel Pénicaud « - Augmenter le SMIC c’est fabriquer du chômage ». Ce qui signifie : il faut baisser le SMIC pour faire de l’emploi ! Ce qu’elle a fait par ordonnances en cassant les droits des salariés pour que ça coûte moins cher de les exploiter.

 

Macron a menti parce qu’il ne peut pas avouer qu’il préfère une économie administrée où des primes sont versées par l’État qui se substitue aux employeurs ; c’est une forme d’assistanat aux patrons. D’autant que ces étranges primes sont conditionnées par des critères extérieurs au travail : impossible si on a un conjoint a plus de 1300 euros. Sur 1,65 million de smicards combien y auront droit ? Edouard Philippe répond déjà que 1,2 million sont au-dessus des critères.

 

A quoi tout cela rime-t-il, de la part de libéraux, qui veulent toujours « moins d’État » ?  Dans le cas des « heures supplémentaires désocialisées », Macron pousse les employeurs à multiplier ces heures pour ceux qui ont un boulot plutôt que d’embaucher ceux qui n’en ont pas. Ce qui augmente forcément le chômage en évitant aux actionnaires de baisser leurs profits. Car ces heures coûtent moins cher aux employeurs puisque Macron en supprime la partie du salaire brut, les cotisations sociales !

Mais qu’est ce qui compensera ces sommes sinon les impôts, entre autres, des salariés qui ne font pas d’heures supplémentaires ?  Étrange religion qui verse des primes et les cotisations sociales à la place des actionnaires et des patrons et « en même temps » prétend baisser les impôts. Ça ne passera pas.

Gérard Filoche

SOURCE :

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Ainsi le risque de bug renverrait l'effectivité de l'engagement ed Macron à plusieurs mois.
Pourtant le passage de 6,6 % à 8,3% n'a pas suscité le même souci et a été immédiate !
Alors complotisme ou suspicion justifiée; en tout cas cruelle réalité !  
 
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Pour les retraités à moins de 2000 euros de pension il faudra donc attendre juillet 2019 pour être remboursés !

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Dans sa plus pure tradition d'exploitation et d'esclavage Amazon traîne les pieds.
Plus que de répondre à l'évocation de Macron il s'agit de s'appuyer sur les exigences du mouvement populaire de mieux vivre afin de contraindre dans l'immédiat les multinationales de restituer un peu de leurs immenses profits !
 
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SOURCE :
 
la CGT du site Amazon de Saran réclame une prime exceptionnelle à la direction
 
"1 000 euros", c'est la somme réclamée par le syndicat qui a formulé sa demande par écrit dès le lendemain des annonces d'Emmanuel Macron.
AMAZON ... donne le pognon !

"On réclame 1 000 euros. C'est supportable pour une multinationale comme Amazon",

 

affirme Khaled Bouchajra, délégué CGT du site Amazon de Saran, au nord d’Orléans, dans le Loiret. France Bleu Orléans rapporte lundi 17 décembre que le syndicat a formulé par écrit à sa direction, dès le lendemain des annonces d’Emmanuel Macron, sa demande de prime exceptionnelle de fin d'année.

"On n'a pas encore de chiffres exacts mais à cause des ‘gilets jaunes’ et des blocages, le e-commerce a explosé de + de 40% ces dernières semaines. Et forcément, Amazon en profite bien."
 

"Il n'y a pas de raison qu'on ne touche pas cette 'prime Macron' nous aussi",

plaide le syndicaliste qui espère, ce qui n'est pas le cas pour l'instant, une réponse positive du géant américain de la vente en ligne qui représente près de 20% du marché.

Plusieurs grandes entreprises ont déjà dit oui.
Plusieurs grandes entreprises françaises, Total, Orange, Altice ou encore Carrefour, ont déjà répondu favorablement à l'appel lancé lundi dernier par le chef de l’État pour offrir une prime exceptionnelle de fin d'année à leurs employés. Cette prime peut atteindre les 1 000 euros pour les salariés gagnant moins de 3 600 euros nets par mois. Elle sera totalement défiscalisée et exonérée de toute charge sociale.

Le site Amazon de Saran compte 1 600 salariés à l'année et plus de 2 000 intérimaires sur la période de fin d'année.

Par ailleurs, la France prélevera la taxe Gafa (Google, Apple, Facebook, Amazon, etc...) sur les géants du numérique à partir du 1er janvier, a annoncé lundi le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire. Cette taxe "portera sur l'ensemble de l'année 2019 pour un montant que nous évaluons à 500 millions d'euros", a affirmé Bruno Le Maire, lors d'une conférence de presse à Paris.

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

SOURCE : La Voix du Nord

Béthune Avec ses palettes et des pancartes, la CGT est venue au Mc Do
Feu de palettes, pancartes et manifestation d’une cinquantaine de personnes… la fin de matinée a été animée sur le parking du Mc Do, vendredi. Par cette première action, la CGT entend dénoncer la dégradation des conditions de travail, la répression syndicale et « le manque de respect » envers des salariés.
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Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
"Tous ensemble ! Tous ensemble ! Mickael Wamen : QUE LA MANIF EST BELLE .... !
"Tous ensemble ! Tous ensemble ! Mickael Wamen : QUE LA MANIF EST BELLE .... !

Mickael Wamen : QUE LA MANIF EST BELLE .... ! 

Quelle ambiance, quelle envie de gagner, quelle motivation, quelle fraternité ....
Nous avons réussi à converger hier, nous avons réussi 
à échanger et nous avons surtout compris que nous étions au final toutes et tous des victimes du pouvoir et de la finance ....
Une ambiance incroyable de gens motivés, avec des slogans forts et une détermination à gagner !!!
Gilets jaunes, rouges, sans gilet, maïs toutes et tous ensemble ...
Une manif géniale, ou bcp de militants CGT étaient aux côtés d’autres personnes militantes ou non, aucun soucis de compréhension juste quelques remarques positives du genre : « Ca fait plaisir de voir la CGT a nos côtés ... »

Après y a les images qui ciblent uniquement de la casse, mais durant des heures pas une seule provocation, juste des gens exaspérés et en colère qui l’expriment en maintenant la pression....
Les injustices sociales, une politique uniquement au service du fric, voilà ce qui hier nous a réuni dans un cortège haut en colère !!!!
Nous allons continuer à la mise en œuvre de la convergence qui est le pire ennemi du gouvernement ...

Peu importe les prises de position de certains, nous en ferons abstraction, nous sommes la base et la base décide et agit !!!!

Vive l’unité.....Vive la convergence

Publié par canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Le salaire minimum va augmenter de 22% par décret...Mais c'est en Espagne ...
Le salaire minimum va augmenter de 22% par décret...Mais c'est en Espagne ...

Le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, lors d'une conférence de presse à l'issue d'une réunion extraordinaire du Conseil européen, le 25 novembre 2018 à Bruxelles.

RT France

 

Deux jours après le discours d’Emmanuel Macron en France, le socialiste espagnol Pedro Sanchez a annoncé une augmentation du salaire minimum par décret. Le Commissaire européen Pierre Moscovici a immédiatement réagi.

Après avoir annoncé au début du mois de décembre qu'il présenterait son budget en janvier prochain, Pedro Sanchez, le Premier ministre espagnol, a révélé le 12 décembre le calendrier de sa mesure phare. Dès le 21 décembre, il augmentera par décret le salaire minimum de 22%, le portant ainsi à 1 050 euros bruts mensuels l'an prochain.

Le lendemain, depuis le Sénat français où il était auditionné par les représentants de la commission des finances et de celle des affaires européennes, le commissaire européen Pierre Moscovici a estimé que cette hausse devait être «compatible» avec les équilibres budgétaires et «proportionnée» à la productivité du pays.

Prévenant une accusation d’ingérence, Pierre Moscovici a ajouté : «Le rôle de la Commission tel que je le conçois n'est pas de mettre les mains sous le capot des politiques économiques des Etats membres. Nous n'avons pas à juger». Mais il aussi estimé que cela n’empêchait pas la Commission européenne de faire des remarques «à travers les recommandations spécifiques par pays sur la politique économique suivie».

Selon le projet de budget espagnol publié en octobre, cette mesure coûtera 340 millions d'euros à l'Etat. Elle a été durement critiquée par l'opposition de droite, mais soutenue par le parti de gauche radicale Podemos.

En France, deux jours plus tôt, le président de la République, Emmanuel Macron, avait lui aussi annoncé des mesures en faveur des salariés payés au SMIC. Le SMIC ne sera pas précisément augmenté mais une revalorisation annuelle devrait le porter légèrement au-dessus de la barre des 1 500 euros brut pour une durée de travail calculée sur 35 heures hebdomadaires.

Revalorisation des salaires minimums : une tendance générale en Europe 

 

Les salariés payés au SMIC recevront en moyenne 70 euros mensuels de prime à l’emploi. Elle sera entièrement financée par le budget de l’Etat «sans qu'il n'en coûte rien à leur employeur», selon l’expression employée par Emmanuel Macron lors de son «adresse à la Nation» prononcée le 10 décembre. 

22 des Etats de l’Union européenne disposent d’une législation sur le salaire minimum qui varie de 261 euros en Bulgarie à 1 999 euros au Luxembourg, selon les 
dernières statistiques publiées par Eurostat. Selon les modes de calcul retenus par l'institut européen, la France arrive en cinquième position. Au sein de l'union, l’augmentation du salaire minimum au-delà du rythme de l’inflation est une tendance généralisée, en particulier dans les pays où il est le plus faible.

Les comparaisons entre salaires minimums donnent lieu à des controverses, tant sur les montants réellement perçus que sur leur coût éventuel pour les finances publiques. En effet, les montants bruts ne reflètent pas les écarts de revenus d’un pays à l’autre, compte tenu des différences de niveau des charges salariales ou, comme en France, des prestations sociales additionnelles.

Publié par canempechepasnicolas.over-blog.com

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
La PHRASE du JOUR

Publié par EL DIABLO

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Smic : le casse-tête de la prime de 100 euros
Smic : la prime de 100 € concernera 5 millions de foyers
Parmi les mesures annoncées par Emmanuel Macron, les 100 € supplémentaires versés aux salariés qui touchent le smic. (Illustration) LP/Zoé Berteloot
Dans une interview accordée aux Echos de ce lundi, le Premier ministre annonce que 5 millions de foyers vont finalement bénéficier du versement de 100 € promis par le président de la République. Indépendants et fonctionnaires seront également concernés.

Le compte à rebours est entamé pour le Premier ministre, qui doit présenter mercredi en Conseil des ministres le détail des mesures annoncées ce lundi par le Président de la République : versement d’une prime exceptionnelle de 1000 €, défiscalisation des heures supplémentaires, annulation de la hausse de la CSG pour une partie des retraités et versement de 100 € aux salariés au smic dès le 1er janvier.

Une prime versée le 5 février

Sur ce dernier point, le gouvernement a décidé frapper un grand coup. Dans une longue interview accordée aux Echos, Edouard Philippe confirme le principe général : cela passera par « une hausse massive de la prime d’activité ». L’objectif est d’aller vite. « Dès le 5 février, la prime sera versée pour compléter le salaire de janvier et atteindre ainsi la hausse de 100 € », précise le Premier ministre.

Autre point important, la prime concernera également « les indépendants et les fonctionnaires dont les rémunérations sont proches du smic ». Ces derniers avaient amèrement regretté d’être totalement écartés du dispositif de mesures présentées par Emmanuel Macron.

Les CAF en première ligne ?

Reste une question de taille. Qui versera cette prime le 5 février ? La prime d’activité est du ressort des Caisses d’allocations familiales (CAF) qui versent ses prestations le 5 du mois suivant. Mais, en fin de semaine dernière, la Cnaf (Caisse nationale des allocations familiales), chargée du versement de la prime d’activité avait alerté Bercy, prévenant qu’il lui faudrait jusqu’à six mois de délai pour que la mesure de versement des 100 € puisse être effective (voir nos éditions du 15 décembre)… soit au mois de juin 2019.

De source gouvernementale, durant le week-end, « la Cnaf a pris cher pour se mettre en ordre de marche ». Mais dans son entretien aux Echos, le Premier ministre ne précise pas si ce sont bien les CAF qui verseraient dans les temps cette super prime d’activité. Ce week-end, Isabelle Rauch, députée LREM, a aussi évoqué l’idée « de verser la prime de façon rétroactive ». Impensable pour l’exécutif dont la priorité est que cette somme parvienne dans le porte-monnaie des Français concernés dès janvier, conformément à l’engagement présidentiel.

L’autre scénario, qui tournait ce week-end, serait de faire appel aux entreprises qui pourraient être chargées de verser directement ces fameux 100 € à leurs salariés, fin janvier, avant de déduire cette somme de leurs charges dans leurs déclarations mensuelles à l’Urssaf. Ainsi, leur trésorerie ne serait pas impactée par ce versement entièrement pris en charge par l’Etat.

Publié par anti-k.org

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Gilets jaunes : les ÉDITOCRATES applaudissent MACRON et sifflent la fin de la récré

Lundi soir [10/12/2018], les chefferies éditoriales avaient les yeux rivés sur l’allocution d’Emmanuel Macron. Et sans grande surprise, ses annonces ont été applaudies. Les éditorialistes les plus en vue se sont rués sur les plateaux pour célébrer la parole présidentielle et enfiler les commentaires dépolitisants sur l’évolution du « style macroniste ». Ils ont également glosé autour du « virage social du gouvernement » [1]. Quitte à prendre quelques libertés avec les faits, notamment concernant la dite « augmentation du SMIC ». Mais là n’était pas tellement la question. En effet, cette séquence a surtout été un prétexte pour adresser un énième rappel à l’ordre aux manifestants : l’annonce de mesures doit désormais signer le coup d’arrêt de la mobilisation. Florilège en images.

[1] Voir notamment cet article d’Arrêt sur images.

 

SOURCE :

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Le groupe Unilever a inauguré ce dimanche 16 décembre une nouvelle unité de production de produits cosmétiques et d’hygiène corporelle, a annoncé l’entreprise dans un communiqué.

Cette nouvelle unité à Oran s’étale sur 26 000m² et devrait générer 800 emplois directs et indirects pour un coût d’investissement estimé à 1,35 milliard de dinars algériens. Selon Unilever, l’usine permettra d’atteindre « un objectif de production locale de 80% de sa gamme de produits, une gamme jusqu’ici importées ».

Il s’agit de la deuxième usine Unilever en Algérie, après celle lancée en 2002 pour la production de produits détergents en poudre. Unilever est présent dans 190 pays, et a généré un chiffre d’affaires de 53.7 milliards d’euros en 2017.

« Notre stratégie d’investissement sur le territoire reflète l’importance que nous accordons au marché algérien, un marché à grand potentiel. Nous sommes aujourd’hui très fiers d’élargir notre gamme de produits « Made in Algeria» réalisés au sein d’unités de production répondant aux plus hauts standards d’excellence industrielle et de durabilité, en parfait alignement avec notre programme environnemental global ‘zero waste to landfill’ soit zéro déchet envoyé à la décharge depuis 2015 », a déclaré Rana Sengupta, PDG d’Unilever Maghreb, cité par le communiqué.

Publié par tsa-algerie.com

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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