SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

notes d'information cgt unilever

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Pire que le coronavirus, le capitalisme et ceux qui le servent

Annulation des rassemblements de plus de 1000 personnes en milieu confiné, fermetures des écoles dans les foyers infectieux, interdiction des visites aux grands-parents, recommandations de gestes « barrières » individuels…Tout le monde voit bien que cela ne fait que retarder l’avancée de la progression de l’épidémie, que tout le monde redoute au vu de la crise que connaît déjà le système de santé. Et ce n’est pas ce gouvernement qui nous a menti sur Lubrizol, qui nous ment sur les retraites et casse les services publics, comme ceux qui l’ont précédé, qui va nous rassurer !

Toutes les raisons d’être inquiets et en colère

Non pas tant à cause de la gravité de ce virus, pas encore vraiment évaluée, mais parce que, s’il y avait des millions de malades et qu’il devenait nécessaire d’hospitaliser des dizaines de milliers de personnes, notamment les plus fragiles,
l’hôpital public serait incapable de contrôler la situation. Cela fait un an que tous les personnels hospitaliers tirent la sonnette d’alarme pour dénoncer les Urgences saturées, les services hospitaliers à flux tendu, les sous-effectifs chroniques et les déserts médicaux. Rien n’y a fait : le gouvernement a poursuivi sa politique consistant à siphonner l’argent des hôpitaux pour arroser le grand patronat, parce que les profits, les dividendes et les cours boursiers passent avant la santé publique !

Un virus symptôme d’un système capitaliste à bout de souffle

La progression du coronavirus un peu partout sur la planète n’a pas que des conséquences sanitaires. Les mesures de confinement et le ralentissement, voire la mise à l’arrêt de nombreuses usines en Chine pèsent sur toute l’économie mondiale.
Le jeu habituel des spéculateurs, qui amplifient le phénomène, fait dévisser toutes les Bourses mondiales, menaçant d’un nouveau krach financier. Les bourses mondiales ont connu ce lundi une chute spectaculaire de leurs cotations, la guerre économique entre les géants du pétrole est relancée de plus belle, le gouvernement nous annonce déjà une récession économique pour l’année prochaine… En attendant le gouvernement promet ici des millions d’aides aux entreprises « touchées par la baisse d’activité », mais ne permet pas aux travailleurs en danger d’exercer leur droit de retrait, n’annonce aucune mesure de maintien du salaire pour celles et ceux qui vont être touchées par des mesures de chômage partiel et ne garantit ni le maintien des droits des chômeurs et allocataires sociaux (avec suppression des procédures de contrôle et sans exigence de convocation), sans même parler d’une interdiction des licenciements et suppression d’emplois. Bref, on voit déjà qui va empocher de l’argent et qui va en perdre un peu plus encore.

Ne laissons pas la main aux puissants

En Italie, c’est le confinement généralisé mais dans le même temps de rendre au travail est toujours autorisé… En France, le ministre de la Santé répète que « la vie continue », comprenez la vie économique
car pour la bourgeoisie, coronavirus ou pas, seuls comptent les profits. Alors dans les entreprises qui font face au premiers cas de contamination, ils mettent tout en œuvre pour ne pas perdre un centime. 
Nous devons avoir des réponses collectives en particulier sur les lieux de travail. Face au manque de gel hydroalcooliques, de masques, de gants, de savon, de serviettes en papier, utilisons notre droit de retrait – que le gouvernement le veuille ou non – si les employeurs ne respectent
pas leurs obligations quant la protection de la santé des travailleurs. Et dès maintenant, il faut un plan d’urgence pour l’hôpital public.

Au milieu de l’inquiétude légitime suscitée par le coronavirus, on ne peut pas oublier que le gouvernement Macron-Philippe a dégainé en catimini le 49.3 pour imposer sa réforme des retraites. On ne peut pas ignorer que l’extrême droite en campagne électorale déverse sa propagande nauséabonde contre les migrants. On ne peut pas renoncer à faire entendre la forte colère sociale qui nous anime depuis plus d’un an et demi, depuis le mouvement des Gilets Jaunes jusqu’au mouvement toujours en cours contre la réforme de la retraite à points. Le gouvernement n’a pas encore osé interdire les manifestations à cause du coronavirus mais rien ne dit qu’il ne le fera pas… Quand on voit encore la violence dont il a usé contre certaines manifestations féministes du 7 et 8 mars, on sait qu’il ne recule devant aucune mesure liberticide. Soyons donc nombreux et nombreuses dès ce samedi 14 mars dans les rues de Paris pour manifester toutes et tous ensemble, Gilets Jaunes, syndicalistes, secteurs en lutte, jeunes, militants écologistes, contre l’ensemble de la politique du gouvernement et les méfaits du capitalisme. Et dimanche 15 mars, votons partout où c’est possible pour les listes des anticapitalistes et des révolutionnaires aux élections municipales, pour celles du NPA où il se présente, pour celles de Lutte Ouvrière partout ailleurs

Publié par anti-K

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Coronavirus. Les salariés au chômage partiel perdront 16% de leur salaire

Au moins 30 000 salariés de quelques 2000 entreprises sont d’ores et déjà contraints au chômage partiel. Présentée comme une solution par le gouvernement, les travailleurs concernés perdront au moins 16% de leur salaire, les intérimaires leur emploi, à cause de l’épidémie de coronavirus. Une mesure qui rappelle que pour le gouvernement, il est normal de faire payer la crise aux travailleurs.

TRAVAILLEURS EN PREMIÈRE LIGNE

Crédit photo : ESTELLE RUIZ / NURPHOTO / AFP

« Notre stratégie est d’être pragmatique. Il ne faut pas pénaliser la vie économique », réagissait sur BFM TV Muriel Pénicaud, ministre du Travail, dimanche 8 mars après l’annonce de la mise en quarantaine de Venise et Milan. Et celle qui a fait passer la loi travail XXL par ordonnances à l’automne 2017, la réforme de l’assurance-chômage en catimini ensuite, deux attaques très importantes sur les épaules des travailleurs d’ajouter, « des dispositifs économiques existent pour accompagner les entreprises ».

Recette miracle dans cette conjoncture marquée par une forte baisse de la demande ? Le fameux chômage partiel, dispositif simplifié pour l’occasion par le gouvernement. Le quotidien libéral Les Echos détaille le procédé : « l’entreprise, qui en fait la demande auprès du ministère du Travail, peut faire chômer ses salariés si l’administration l’accepte, et les payer à 70 % du salaire brut. Dans ce cas, l’Etat et l’Unedic indemnisent la société à hauteur de 8,04 euros par heure chômée, c’est-à-dire le niveau du SMIC. ».

Problème de taille, si le patronat est aidé par le gouvernement, les travailleurs quant eux, ne percevront que 84% de leur salaire net ! Une chute de salaire plus importante encore si l’on prend en compte les heures supplémentaires qui ne sont pas intégrées dans ce calcul et ne pourront être réalisées. Pire en ce qui concerne les emplois les plus précaires tels les intérims et autres CDD, en tant que variables d’ajustement du patronat, ils risquent purement et simplement le chômage… A la longue listes de ceux qui subiront ce choc, on pourrait d’ailleurs ajouter les intermittents du spectacle et les auto-entrepreneurs, qui verront également leur activité chuter. Une problématique d’autant plus importante que l’épidémie s’étend en France et risque de voir le nombre d’entreprises ayant recours au chômage partiel s’étendre.

La CFDT, la CGT et FO appellent à renoncer à la réforme de l’assurance-chômage

Face à cette situation, différents syndicats se sont positionnés contre l’entrée en vigueur au 1er avril prochain de la réforme de l’assurance-chômage. En effet, entérinant des conditions plus drastiques pour accéder à l’assurance et réduisant les allocations, elle risque d’entraîner une précarisation accrue pour des centaines de milliers de travailleurs privés d’emploi, dont certaines et certains ne pourront même plus toucher d’allocation. En effet, depuis le 1er novembre, pour ouvrir des droits à indemnisation, il faut avoir travaillé au moins six mois sur les 24 derniers mois, contre quatre sur les 28 derniers, avant le passage de la réforme. Le seuil permettant un rechargement des droits a été fortement durci.

Comme l’explique la CFDT dans un communiqué, ce mardi, la réforme de l’assurance chômage aura « de terribles conséquences pour des centaines de milliers personnes qui travaillent en cumulant des contrats de courte durée ». En effet, « les emplois précaires (CDD de courte durée, intérimaires…) sont la première variable d’ajustement ». « Des mesures sont annoncées pour soutenir les entreprises et les secteurs en difficulté" à cause du coronavirus, "qu’en est-il des demandeurs d’emploi et des travailleurs précaires ? », questionne à juste titre le syndicat réformiste, et de poursuivre : « la réforme de l’assurance chômage décidée par le gouvernement en 2019 aura des impacts redoutables », alors que les nouvelles mesures « de baisse des droits auront plus pour effet d’accentuer la précarité des demandeurs d’emploi que de les inciter à un retour plus rapide à l’emploi durable ».

Face à cette situation la CFDT demande de décaler la mise en œuvre « de cette modification des règles de calcul de l’allocation ». De leur côté, la CGT et FO demandent au gouvernement d’abandonner le décret du 26 juillet 2019 qui casse les droits à l’assurance chômage mode de calcul de l’allocation chômage.
La CGT en a appelé dans un communiqué à « la responsabilité du gouvernement et du patronat pour les travailleurs privés d’emploi et/ou précaires ». La centrale de Montreuil rappelle que « les salariés permanents sont déjà victimes de pressions inacceptables et pour les CDD, intérimaires, intermittents, CDI à temps partiel, notamment pour les femmes, c’est à nouveau la double peine : des contrats sont annulés et leur accès aux droits sociaux, assurance chômage ou sécurité sociale, est menacé » .

Pour FO, la réforme « conduirait dès le 1er avril prochain à réduire l’indemnisation pour nombre de demandeurs d’emplois, notamment les plus précaires, voire à mettre fin à ce droit à indemnisation », alors que le contexte actuel « risque de conduire à ce qu’un plus grand nombre de salariés se retrouvent en situation de demandeurs d’emplois et donc de subir les conséquences restrictives de ces mesures ».

Pour une rémunération à 100% en cas de chômage partiel et une internalisation des intérimaires et autres contrats précaires !

La revendication du retrait de la contre-réforme de l’assurance chômage, passée sans mobilisation du côté des directions syndicales, est une mesure juste. Pour autant, elle paraît minimale dans à une situation qui cherche à faire peser le poids des conséquences économiques de l’épidémie aux travailleurs.

Alors que le gouvernement joue la carte de l’unité nationale, le traitement économique apparaît marqué par un clivage clair entre les travailleurs, dont les droits de retrait sont refusés même lorsqu’ils sont les plus exposés au coronavirus comme à la RATP, et les entreprises auxquelles le gouvernement « tend la main ». En ce sens il faut refuser que les travailleurs paient les conséquences de l’épidémie !

Outre les mesures de sécurité sanitaire qui doivent être les plus importantes possibles, il n’est pas admissible que le chômage partiel s’accompagne de pertes de salaires. En outre, plus que jamais, la situation rappelle la nécessité de lutter pour l’embauche des intérimaires et l’intégration en CDI de tous les contrats précaires, pour s’opposer à ce que les travailleurs constituent des variables d’ajustement face aux crises.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Coronavirus : par manque de moyens, on laisse mourir les personnes âgées en Italie

L'Italie, principal foyer européen du coronavirus, fait état à l'heure actuelle de plus de 10 000 cas d'infection et de 631 morts. Face à cette crise sanitaire historique, une note confidentielle à destination des personnels des hôpitaux a été rendue publique par un groupe de médecins : elle préconise de ne pas traiter les personnes âgées en priorité.

LES HÔPITAUX DÉBORDÉS

Crédits photo : AFP
L’Italie est le pays européen le plus touché par l’épidémie de coronavirus, avec plus de 10 000 cas recensés et plus de 630 morts. Des mesures drastiques ont été prises par le gouvernement pour faire face à la pandémie, avec notamment la mise sous quarantaine de l’ensemble du pays, et de nombreuses restrictions en termes d’activités, de déplacement, de sortie, etc.

Cette mise en quarantaine historiquement exceptionnelle s’accompagne d’annonces du gouvernement sur le soutien à l’économie de la part de l’État, avec un déblocage de 25 milliards d’euros, ce qui ferait pâlir le plus keynésien des économistes dans cette période de libéralisme aiguë et de privatisation des services publics, dont l’hôpital public.

Ce lundi 9 mars, près de 733 personnes étaient en unité de soins intensifs, et ont donc besoin de matériel d’assistance respiratoire pour être maintenus en vie. Or, la dégradation perpétuelle du service public hospitalier, conséquence des politiques autoritaires néolibérales appliquées en Italie, en partie promues par l’Union Européenne, donne lieu à une situation où il n’y a pas assez de matériel pour prendre en charge le nombre croissant de personnes en situation grave.

Dans ce contexte, une note confidentielle produite par un groupe d’experts et de médecins a été envoyée à l’ensemble des établissements de soins pour répondre à cette problématique comme le rapportait ce lundi le docteur Christian Salaroli, anesthésiste-réanimateur en Lombardie, dans un entretien au Corriere della Sera.

Quelle solution est apportée ? C’est simple, la note fait état de 15 critères de sélection des patients à placer sous assistance respiratoire de manière prioritaire. Ces critères qui portent notamment sur l’âge des patients, sachant que l’Italie a la moyenne d’âge la plus élevée d’Europe. Cela signifie en réalité, que les soignants doivent faire des choix sur les patients à sauver et ceux qu’il faut laisser à leur sort.

Une responsabilité effroyable pèse donc sur les hospitaliers, qui se sont engagés pour sauver des vies et se retrouvent à faire des choix coûtant la vie à de nombreuses personnes, conséquence dramatique de la destruction permanente de l’hôpital public. La solution apportée par la fameuse note ne fait que dévoiler la logique profondément capitaliste qui guide la prise en charge des patients : laisser mourir ce qui ne sont plus utiles au capital, qui ne peuvent plus travailler et qui en plus sont coûteux pour l’État au niveau des pensions de retraites.

Cette inadmissible réponse à la crise sanitaire, faisant reposer la responsabilité du choix de vie ou de mort sur les personnels de soin, fait éclater au grand jour la logique que le gouvernement italien défend : soutenir l’économie avec injection de 25 milliards d’euros, et laisser mourir ceux qui ne peuvent plus soutenir cette économie capitaliste. Evidemment, tout cela sur fond de crise de l’hôpital public générée par la logique capitaliste.

Aussi, face au discours médiatique dominant en France, se voulant rassurant vis-à-vis de l’hôpital public, il est important de pointer du doigt la crise profonde de notre milieu hospitalier qui n’a rien à envier au système italien ; le personnel hospitalier s’est d’ailleurs mobilisé depuis plusieurs mois, notamment au niveau des urgences, contre leurs conditions de travail et la casse de l’hôpital, dont le gouvernement Macron est l’un des principaux responsables. L’évolution de la situation en France n’est pas encore écrite, mais l’on peut aisément imaginer qu’en cas d’aggravation, la crise engendrée par le coronavirus sera du même ordre que celle qui sévit actuellement en Italie.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les médias nous bassinent à longueur d'antenne sur les précautions sanitaires prises contre le coronavirus par les privilégiés gravitant autour du palais présidentiel, ainsi que par son révérendissime locataire. Mais qu'en est-il partout ailleurs parmi la population?

L'EHPAD de Louveciennes, dans les Yvelines, appartenant au groupe privé Korian, annonce le décès de deux résidentes ce mardi 10 mars. Depuis dimanche, 4 pensionnaires de cette maison de retraite avaient été infectés par le covis-19.

"C'est un personnel soignant de remplacement, qui avait travaillé au sein de la maison de retraite à la fin du mois de février qui en est visiblement à l'origine. C'est d'ailleurs lui qui a donné l'alerte, après avoir été lui-même diagnostiqué positif et confiné à son domicile", écrit le Parisien du lundi 9 mars 2020.

Et le journal poursuit: "Depuis dimanche, 15 heures, l'établissement est totalement fermé au public. Les familles de tous les résidents ont été contactées directement pour les informer de la situation. Les personnes infectées n'ont pas été hospitalisées mais continuent de séjourner au sein de cet établissement médicalisé. Leur état de santé ne serait pour l'heure pas inquiétant. Comme les autres résidents, elles sont confinées dans leur chambre. Des prises de température sont effectuées à raison de plusieurs fois par jour. Le personnel a été équipé en conséquence et fait également l'objet d'une étroite surveillance."

Oui, vous avez bien lu, "les personnes infectées n'ont pas été hospitalisées". Et le mardi, deux pensionnaires décédaient du coronavirus.

Deux poids deux mesures, ou selon que vous serez puissant ou misérable?

Et que dire de cette politique de remplacement des soignants dans les EHPAD ? Où sont les moyens financiers et humains en concordance avec les résidents des maisons de retraite dans le privé comme dans le public?

Ce soir, une fois encore, un ex-banquier d'affaires, logeant dans le palais de l'Elysée, se présentera en père de la nation contre l'épidémie du coronavirus. Avec un toubib particulier attaché à ses basques chaque jour sonnant au calendrier.

Mon médecin traitant prend sa retraite fin mars à Mantes-la-Jolie, ville où la désertification médicale s'intensifie et dans laquelle l'hôpital public est en grande souffrance. Je suis, comme ils disent, un patient fragile puisque subissant deux pathologies chroniques. Mais pour les notables de Mantes-la-Jolie, ne craigniez rien, ils se dénombrent parmi les puissants.

Retraité, je vais être à mon 3e médecin traitant et mes recherches sont pour l'instant vaines. Mais c'est vrai, j'étais un privilégié lorsque j'étais en activité à la SNCF. Et je le suis toujours à la retraite selon le capital, ses commis: la droite de Macron, celle de Sarkozy-Fillon et leur extrême.

Quant à du savon et du papier-toilette dans l'éducation nationale, c'est plutôt également le capitalovirus.

Coronavirus: c'est selon que vous soyez puissant ou misérable?

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Fin de conflit pour le personnel Sodexo à l'usine Le meux, Unilever

Après 2 jours de grève, les salariés Sodexo ont obtenu satisfactions à leurs revendications.

La direction Sodexo a cédé face à la détermination des salariés.

Les salariés ont obtenu en moyenne une augmentation de 6% du salaire de base, plus le renfort d'une personne pour leur secteur de travail.

Un grand Bravo aux salariés Sodexo, la preuve encore une fois que, 

 

Seule la lutte Paie !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les échanges entre les salariés et les responsables de la direction n'ont rien donnés. 

Malgré la pression exercée par les responsables Sodexo, les salariés restent catégoriques sur leurs revendications. Ils veulent un renfort Humain pour alléger la charge de travail qui n'a cessé d'augmenter, et une augmentation de salaire, ce qui est plus que légitime !

En dépit des menaces, les salariés ont décidé de reconduire le mouvement.

Les salariés ont toutes les raisons d'être en colère et ils sont déterminés à ne rien lâchés !

Bravo à eux.

SODEXO c'est :

Chiffres clés (au 31 août 2019)
22,0 milliards d’euros de chiffre d’affaires consolidé
470 000 collaborateurs
19e employeur privé mondial
67 pays
100 millions de consommateurs chaque jour
15,8 milliards d’euros de capitalisation boursière (au 8 janvier 2020)

Sodexo: bénéfice net 2018/2019 en hausse de 2,2%.

Le numéro deux mondial de la restauration collective Sodexo a publié jeudi un bénéfice net en hausse de 2,2% à 665 millions d'euros pour son exercice 2018/2019, pendant lequel sa rentabilité a été conforme à ses objectifs.

Grève du personnel SODEXO chez Unilever Le meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Pour notre direction, l'inflation est de 0,9% et elle se base sur l'indice INSEE.

Pour nous, voici en photo l'inflation réel pris sur le site. Ci-dessous et le lien : 

https://www.insee.fr/fr/statistiques/4283706

Pour cette deuxième réunion suite à nos revendications, la direction est d'accord sur certains accessoires, mais sans en dire plus !

Concernant les propositions sur l'AG des organisations syndicales, pour la direction, nous sommes hors sujet.

Nous en serons plus lors de la troisième réunion, le 24 mars 2020.

Litige sur l'inflation...

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Comprendre le krach pétrolier qui provoque un « lundi noir » sur les marchés financiers

Le prix du baril de brut a chuté de 30% en un jour, la plus forte baisse depuis 1991, au moment de la guerre du Golfe. Comment expliquer cette chute ?

VERS UNE CRISE ÉCONOMIQUE ?

Le prix du baril de brut a chuté de 30% en une journée, une baisse déclenchant un krach pétrolier sans précédent depuis la première guerre du Golfe, en 1991. Cet effondrement est devenu le nouveau déclencheur de la chute des marchés boursiers, une tendance baissière qui avait commencé la semaine dernière avec la prise de conscience par les marchés financiers de l’impact économique du coronavirus sur la croissance mondiale. Une chute qui, si l’on se base sur un scénario "optimiste" avec une expansion du virus contenue d’ici le milieu de l’année, pourrait peser sur la moitié de la croissance mondiale.

Quelle est la raison de la baisse du prix du baril de pétrole ? Ici, les principales clés.

Baisse de la demande de l’économie chinoise

L’économie chinoise a chuté de 12 % ou plus en février, par rapport au même mois en 2019. Au mieux, si le gouvernement chinois met fin aux restrictions prises en janvier et prend en outre des mesures de relance, le premier trimestre de l’année se terminera par une baisse d’un point ou plus sur la croissance de cette année. Certains analystes affirment que le PIB de la Chine ne pourrait augmenter que de 2,5 % cette année, soit moitié moins qu’en 2019, et même un quart de la croissance d’il y a quelques années.

Cette paralysie partielle de l’économie chinoise, combinée à la chute du trafic aérien lié à la propagation du virus à l’échelle mondiale, ont induit une chute de la demande de pétrole au niveau mondial risquant ainsi d’accentuer les excédents de pétrole brut sur les marchés. En effet, la Chine, qui est le plus gros importateur mondial de pétrole, aurait baissé de 20 % sa demande en pétrole selon des chiffres provisoires.

Ce jeudi, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a précisé que la demande mondiale de pétrole peut chuter au premier trimestre, pour la première fois depuis plus de dix ans. « La demande a été durement touchée par le nouveau coronavirus et l’arrêt généralisé de l’économie chinoise », explique l’AEI ; avant de continuer, « la crise est en cours et, à ce stade, il est difficile d’être précis sur son impact ». Dans ses précédentes prévisions, l’AIE annonçait une croissance de 825 000 barils par jour contre une contraction de 435 000 bpj, ce qui donne une idée de l’ampleur de la détérioration.

Mais si le virus apparaît comme le déclencheur de ce krach pétrolier, il n’est que le catalyseur de la tendance d’une demande mondiale déjà en berne. La crise du coronavirus n’est que « la dernière goutte d’eau qui s’ajoute à un certain nombre d’éléments qui étaient négatifs sur le marché », comme l’affirme Philippe Chalmin, économiste. Il précise : « au lendemain de la mort du général iranien Soleimani, le prix du baril de pétrole était monté au-delà de 70 dollars. Aujourd’hui, nous sommes à 55 dollars... La principale raison, c’est que le marché est largement excédentaire. On estimait déjà avant le coronavirus que l’excédent était d’environ 1 million de barils par jour (sur un marché d’environ 100 millions de barils par jour) ». Une crise larvée à laquelle se rajoute le coronavirus.

La "guerre" entre la Russie et l’Arabie Saoudite

Face à ce scénario de baisse de la demande, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et dix autres pays exportateurs de brut ne sont pas parvenus à s’entendre sur une nouvelle baisse de la production pour s’adapter à la demande. L’Arabie saoudite qui dirige l’OPEP, n’a pas réussi, la semaine dernière, à conclure un accord avec d’autres pays non-membres du cartel dirigé par la Russie. La réduction de la production aurait permis de diminuer la pression sur les prix, évitant ainsi la saturation du marché mondial. La Russie a refusé une nouvelle réduction collective de 1,5 million de barils par jour de la part des 23 pays qui constituent les partenaires de l’OPEP plus, (dite OPEP+), comme le proposaient les Saoudiens.

Selon les médias russes, la délégation de la Russie n’était pas convaincue d’une nouvelle réduction de la production et souhaitait prolonger l’accord, en vigueur depuis le début de 2017, par lequel les membres de l’OPEP+ s’étaient déjà engagés à retirer du marché 1,2 million de barils par jour. Il se pourrait que ce soit pour Vladimir Poutine une volonté de riposter aux sanctions américaines contre les groupes pétroliers et gaziers russes. En effet, la chute des cours du pétrole risque de lourdement pénaliser les producteurs de schiste américains.

En conséquence, et après l’échec des négociations, l’Arabie Saoudite a décidé d’augmenter sa production ce qui a conduit à la plus forte baisse du prix du baril depuis 20 ans. Une production qu’elle bridait volontairement depuis près de quatre ans pour défendre ses positions sur les marchés en Europe et aux Etats-Unis. Selon les experts de la Société Générale, la réaction de l’Arabie saoudite serait « une tentative pour punir et faire pression sur la Russie tout en attaquant le secteur du schiste aux Etats-Unis et beaucoup d’autres producteurs qui ont des coûts élevés ».

Cette fin de l’alliance entre l’Arabie saoudite et la Russie constitue un retournement stratégique majeur à l’échelle géopolitique, comme l’affirme le journal Les Echos : « Depuis 2016, l’Opep et dix autres pays exportateurs de brut s’étaient mis d’accord pour limiter leur production, ce qui avait permis de faire remonter les cours. Le but était de contrer le boom du pétrole de schiste aux Etats-Unis. Ce chapitre de l’histoire de l’or noir s’est clos ce week-end : l’axe Riyad-Moscou a volé en éclats, en tout cas pour son volet pétrolier ».

Après la guerre commerciale ouverte entre les Etats-Unis et la Chine, ce pourrait être un nouveau front ouvert au sein de l’économie mondiale, dans un jeu à plusieurs bandes. En effet, dans le viseur, le premier producteur de pétrole au monde, les Etats-Unis. C’est ce qu’affirme Artem Abramov, analyste chez Rystad Energy : « Avec la guerre des prix qui est lancée, Moscou comme Riyad veulent clairement tuer les producteurs de schiste aux Etats-Unis ».

Un krach pétrolier qui pourrait enflammer la scène financière mondiale

La chute des marchés boursiers qui a débuté la semaine dernière s’est accentuée lundi, sous l’effet de la chute des prix du pétrole. Les marchés financiers traversent quotidiennement des séances boursières sans précédent depuis 2008, au plus fort de la crise financière qui a marqué le début de la Grande Récession.

La semaine dernière, la Réserve fédérale américaine, la banque centrale du pays, a annoncé une baisse d’urgence de 0,5 point des taux d’intérêt. Loin d’apaiser les marchés, ce geste a été pris comme un signe que l’entité présidée par Jérôme Powell était elle aussi en proie à la panique.

Dans un monde qui vit sous perfusion de la dette, et où tous les « fondamentaux » donnent depuis longtemps des signes que nous sommes au bord d’une récession des grandes économies mondiales, les « cygnes noirs », comme le coronavirus, peuvent devenir des déclencheurs de chocs qui accélèrent la détérioration de l’économie.

Aujourd’hui, le FMI a appelé à une coordination entre les pays pour répondre à la panique financière. En période de « guerres commerciales » et de tensions avec les partenaires historiques de l’impérialisme américain, et avec Donald Trump et sa rhétorique "America First", il est beaucoup moins probable que le Trésor américain prenne la tête d’une réponse coordonnée à un choc mondial comme cela s’est produit en 2008 avec la crise qui avait ce pays comme épicentre.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les personnels de santé sont au front faisant passer la lutte cotre le virus avant tout autre considération.

La parole officielle se fait mielleuse vantant le caractère exceptionnel de notre système de santé, sa robustesse, sa réactivité ...

Le pouvoir compte sur la priorité cruciale que le personnel donne à son engagement dans la véritable guerre contre le virus pour que passe au second plan sa responsabilité dans l'état dans lequel se trouve le système de santé et le fait que depuis des mois il a refusé de redresser la situation et de lui donner véritablement les moyens pour un fonctionnement normal.

Situation qui hypothèque fortement sa capacité à faire face sereinement à la crise actuelle.

Mais la propagande actuelle qui présente la gestion de la crise par le pouvoir comme exemplaire et qui prétend séparer les difficultés et les risques de la situation comme totalement indépendants du sort qui a été et est réservé à l'appareil de santé ne résiste pas à un examen sérieux des réalités et au témoignage direct des personnels de santé.

Ainsi, ne peuvent donc  être totalement masquées les responsabilités du pouvoir politique, des ministres de la santé comme cela s'est passé hier au soir (tard) sur la chaîne du Sénat (LCP) dans l'émission " Allons plus loin " animée par Rebecca Fitoussi lorsqu'on donne la parole aux hospitaliers.

Avec la participation notamment de Gérald Kierzek urgentiste et de Thierry AMOUROUX porte-parole du Syndicat National des Professionnels Infirmiers SNPI CFE-CGC qui n'ont pas mâché leurs mots eux.

EXTRAITS :

" à l'heure actuelle il y a pénurie de masques et les médecins libéraux n'ont toujours pas reçu de masques pour se protéger de la maladie,

... " ce qu'on dénonce depuis des années, on est face à ça : la paupérisation d'un système de santé équivalent au système italien ... il y a environ 6000 lits de soins intensifs, de lits de réanimation dont on va avoir besoin pour les formes les plus graves et qu'on n'a déjà pas en  période normale puisqu'on on est en flux tendus en permanence. ... Le vase est plein, le corona c'est la goutte d'eau qui risque de faire déborder le vase.

... on va pouvoir s'adapter, le problème c'est que les respirateurs, les services de réanimation c'est pas en claquant des doigts que vous allez les sortir de votre chapeau. A un moment donné on a paupérisé le système, d'ailleurs àa fait des mois que les services d'urgence sont en grève, ils stopent  la grève évidemment ... on  risque d'avoir un certain nombre de patients où si on a besoin de soins très techniques de réanimation, on risque d'être coincés comme on est coincé chaque hiver avec les bronchiolites, comme on est coincé chaque été avec les canicules ou chaque hiver avec la grippe. je vous rappelle que la grippe c'est 10.000 morts par an! Il y en a un certain nombre qu'on pourrait sauver; sauf qu'ils restent sur des brancards! C'est pas nouveau, on découvre pas  ... C'est ce qu'on dénonce à chaque fois.

 

 

Quand le président de la République va à la Pitié Salpétrière la semaine dernière et il rencontre un médecin, notamment François Salachas  qui est neurologue et qui lui dit monsieur le président ça ne va pas ... et que le président de la République balaye d'un revers de main de Naples quelques heures après en disant il est neurologue, ça n'a rien à voir avec la crise de l'hôpital! pardon, on le voit bien en Italie ou on le voit bien potentiellement en France, c'est la crise de l'hôpital qui va être un problème si jamais il y a un stress test .. ou un crash test

 

"l'hôpital est asphyxié progressivement par les coupes budgétaires, cet hiver on a été obligé d'envoyer des enfants qui avaient une maladie infectieuse pulmonaire qu'on ne pouvait pas traiter en Ile-de-France , on les a envoyé à 200 kilomètres ... et c'est toujours la colère par rapport à l'attitude du gouvernement qui est totalement totalement irresponsable...BUZYN 

Pour les masques de protection on découvre que les commandes ont été stoppées. ...

D'abord il y a la décision irresponsable de ne pas constituer de stock. Ensuite Agnès BUZYN envoie 17 tonnes de matériel en Chine dont ces masques là (FFP2) après il faut qu'elle s'en aille pour que le nouveau ministre se décide à commander des masques en urgence fin février qui n'arriveront pas avant la mi-avril [ Thierry AMOUROUX y voyant non pas de l'amateurisme mais de l'irresponsabilité ]

Il faut s'équiper par rapport à des virus forts alors là on a baissé la garde !

Et qui plus est, on est effectivement  avec un système hospitalier dont on a retiré 10% du budget sur les 10 dernières années; 8,4 milliards d"économies alors que le budget des hôpitaux c'est 84 milliards!

___________________

Le dilemme italien effrayant rapporté par La Croix

 

 

La France à l'abri de ce dilemme alors que ce sont les mêmes politiques d'inspiration des directives de l'Union européenne qui sont mis en oeuvre de part et d'autre des Alpes ?

La solution d'urgence et d'avenir :

" les leçons à tirer : c'est qu'il faut redonner les moyens aux hôpitaux, parce que quand même la France merveilleuse que vous décrivez [il s'adresse à ceux qui sur le plateau minimisent les risques] elle a fermé 20% de ses lits en 20 ans, moi je travaille à l'APHP, on a fermé 3500 postes en 4 ans, donc si aujourd'hui on n'arrive pas à faire face au quotidien, c'est parce que les gouvernements successifs nous ont coupé les vivres progressivement ...

Et là ça leur éclate à la figure ! [ intervention de l'animatrice de l'émission]

VIDEO notamment autour des quarantièmes minutes

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Grève du personnel SODEXO chez Unilever Le meux

Lundi 9 mars à 15H00, le personnel Sodexo qui s’occupe du nettoyage et de l’entretien des pompes dentaire ont décidé de se mettre en grève.

Cela fait plusieurs semaines qu’ils tirent la sonnette d’alarme mais il ne se passe rien !

Alors que la charge de travail ne cesse d’augmenter, les salariés réclament un renfort pour leur secteur de travail et une reconnaissance financière.

Les salariés Sodexo ont décidé de se réunir demain tous ensemble, pour remettre ça et obtenir satisfaction de leurs revendications.

En fin d’après-midi à la suite d’échanges téléphonique, la direction Sodexo est d’accord pour se mettre autour de la table et de faire un point sur la situation. L’entretien avec les salariés et les responsables est prévu demain à 08H00.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
CORONAVIRUS : le droit de manifester une exception ?

C'est donc sur TOUT le territoire national que les rassemblements de 1000 personnes sont interdits.

Et voilà ce que déclare le ministre de la santé (pas bien sûr ni le premier ministre, ni le ministre de l'intérieur) à l'issue du conseil de défense de ce dimanche :

" A l'échelle nationale TOUS les rassemblements de plus de 1000 personnes sont désormais interdits. 

Les préfets, les ministères, feront remonter une liste d'évènements considérés comme utiles à la vie de la nation.

Je précise que les manifestations, en feront partie, tout comme les concours par exemple ou encore le recours aux transports en commun qui sont des activités utiles à l'activité de la nation.

Je rappelle que tous les rassemblements sont interdits sur décision des préfets dans les zones à forte activité virale comme l'Oise et le Haut Rhin ... "

 

Subtilité et ambiguïté d'une telle déclaration.

En effet, l'affichage selon lequel la seule motivation du pouvoir en rapport avec les  décisions relatives à l'épidémie serait le souci exclusif de la préservation de la santé des français peut être mis en doute.

Car à y regarder de plus près (comme d'ailleurs l'a fait remarquer un auditeur sur France Inter ce matin) les autorisations de rassemblement des préfets sont à géométrie variable entre les matchs de foot par exemple et les manifestations événementielles.

Laissant entrevoir donc d'autres motivations (intérêts économiques celles là) que la seule sécurité sanitaire des français.

La règle et l'exception ... et la nécessaire vigilance

Et que d'autre part la règle c'est l'interdiction des rassemblements de plus de 1000 sur l'ensemble du territoire national.

Et les manifestations du type manifestations contre la contre-réforme des retraites par exemple constituant à présent une exception à la règle.

Exception soumise à la constitution par le préfet d'une liste " d’événements considérés comme utiles à la vie de la nation ".

La vigilance s'impose donc pour empêcher le pouvoir de s'en prendre au droit de manifester et à la répression de ce droit comme on a pu le voir précisément dans l'Oise à Compiègne avec la convocation au commissariat du secrétaire de l'Union locale CGT pour avoir appelé à une manifestation le mardi 3 mars.

Voir : 

http://www.cgt-unilever-hpc-france.com/2020/03/virus-de-la-revolte.html

Publié par FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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