SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
PSA : la prime de 4100 euros pour les bas salaires est un mensonge !

Alors que PSA engrange des bénéfices records, les médias font leurs choux gras de la prime d’intéressement que le groupe a annoncé verser à ses salariés. Mais il s’agit en réalité d’une grande arnaque.

3,584 MILLIARDS DE BÉNÉFICES

Crédit photo : ER

Le groupe PSA vient d’annoncer un record encore plus important que l’année dernière en termes de bénéfices, qui s’élèvent à plus de 3 milliards. Les médias n’ont de cesse d’évoquer le versement d’une prime annoncée pour ses salariés, en faisant croire à leurs lecteurs que PSA s’engage à verser une prime énorme à l’ensemble des salariés du groupe. Mais en réalité, il s’agit d’une grande arnaque. Les critères d’attribution de la prime vont exclure une bonne partie des salariés intérimaires et les sous-traitants, qui ne sont pas salariés chez PSA mais qui travaillent quotidiennement pour le groupe. Ces critères excluent également les travailleurs malades puisque le versement dans la prime d’intéressement est conditionnée au présentéisme. En clair, si tu es trop malade dans l’année ou en grève, tu perds sur ta prime.

Autant dire que dans les ateliers, l’annonce n’a pas déclenché d’explosions de joie. Car si, évidemment, cet argent est en réalité l’argent des salariés et non pas celui de PSA, et qu’il devrait nous revenir de droit, ce qu’il faudrait ce sont de véritables augmentations de salaires, et non pas des primes aléatoires.

Ils nous donnent des miettes

En effet, le 25 février s’est déroulée la deuxième réunion sur les salaires durant laquelle, au bout de plusieurs heures de discussion, PSA a annoncé 1,6 % d’augmentation générale. Pour un salarié qui touche 1300 euros par mois, c’est 21 euros net en plus. Et bien entendu plus tu gagnes, plus l’augmentation est élevé, ce qui relève d’une injustice flagrante. C’est pourquoi la revendication d’une hausse de salaire uniforme est toujours la meilleure, puisque le pourcentage nuit aux petits salaires. Et avec des profits aussi élevés que ceux de PSA, c’est 400 euros de plus qu’il faut, pour tout le monde, pour vivre mieux. Une revendication qui paraît juste, puisque le salaire de Carlos Tavares, lui, va encore augmenter… et pas de 1,6 %. Le montant exact de son augmentation sera dévoilé fin mars.

La prime pour les uns et la déprime pour les précaires et les sous-traitants

Mais la campagne menée par PSA dans les médias autour de la prime vise surtout à faire oublier les plans de suppressions d’emplois. Plus de 20 000 salariés ont dû quitter l’entreprise et des usines ont fermé leurs portes : voilà aussi ce qui explique le chiffre d’affaires toujours aussi bons. Il s’agit désormais de faire des voitures avec toujours moins de monde et une précarisation des postes en chaînes de montage où les conditions de travail sont dignes du Moyen Âge.

En ce qui concerne la prime d’intéressement et son versement, il s’agit de regarder ce qu’elle recouvre dans les détails. Et c’est tout de suite moins intéressant que ce que rapporte Carlos Tavares aux journalistes. Tout d’abord, les fameux 4100 € sont en brut, et englobent la « prime Gilets jaunes » de 600 €, qui va être intégralement remboursée par le gouvernement au groupe PSA. Prime Gilets jaunes à laquelle les intérimaires du groupe vont certes à avoir droit… à condition qu’ils aient travaillé du 1er mars 2019 au 29 février 2020. En réalité, au vu du nombre de licenciements d’intérimaires, très peu d’entre eux vont la toucher.

Si l’on retire ces 600 € de prime, remboursée par le gouvernement, des 4100 € annoncés, on tombe déjà à 3500 € bruts, soit 3164 € nets. Et comme il s’agit d’une prime d’intéressement, qui baisse en fonction des absences pour maladie notamment, ça veut dire zéro absence sur toute l’année pour ceux qui espèrent toucher ces 3164 €. Une somme que les intérimaires, dans tous les cas, ne toucheront pas puisqu’ils ne sont pas salariés chez PSA.

Avec ces rapides calculs, c’est la propagande de PSA qui en prend un coup, quand le PDG parle d’une prime pour les bas salaires, alors que les moins bien lotis sont précisément les intérimaires, dont le salaire s’élève en moyenne à 1100 euros. Des intérimaires qui sont exclus de cette prime, alors même que chez PSA, un salarié sur trois est en intérim. Il s’agit en réalité d’un mensonge de la part du patronat et des médias, en ce qui concerne les plus démunis et les précaires, à l’instar des sous-traitants qui travaillent dans les usines – tels que ISS, STPI et bien d’autres – et qui ne percevront rien non plus.

Mais pour les actionnaires tout va bien

Avec ce nouveau record en termes de profits, les grands gagnants sont les actionnaires qui eux ne triment pas sur les chaînes pour faire les voitures. Pour le groupe PSA, le dividende par action va passer de 0,78 euros a 1,23 euros soit +58% , ce qui fait que les actionnaires vont se partager le petit magot de 1,1 milliards, au lieu de 750 millions en 2019. Cet argent extorqué par l’exploitation est une déclaration de guerre contre l’ensemble des salariés, fixes comme précaires, qui eux n’arrivent pas à boucler les fin de mois alors que l’argent coule à flot.

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La réforme 100% santé : une usine à gaz pour notre système de sécurité sociale

Depuis le 01 janvier 2020 nos lunettes et bridges sont mieux remboursés mais à quel prix ? La réforme "100% santé" est pensée pour un système de santé qui donne de plus en plus de place aux assureurs de santé privés qui comptent bien prendre leur revanche sur le système de sécurité sociale. Explications.

À COUPS DE RÉFORMES
Règle n°1 : quand le gouvernement Macron fait une réforme, il faut toujours se méfier

C’était déjà le cas pour la réforme de l’Aide Adulte Handicapé (AAH). Début 2019, dans un contexte d’indignation exprimé à travers le mouvement des Gilets Jaunes, Macron arguait, pour sa défense, d’une réforme contenant l’augmentation de l’aide perçue par les personnes en situation de handicap - restant toujours sous le seuil de pauvreté -. En fait, cette même réforme impose aux bénéficiaires vivant en couple une baisse significative de leur allocation, voire une suppression de l’aide si les revenus du conjoint dépassent 2 243 € nets par mois.

Un petit pas en avant, trois pas en arrière...

100% santé : le compromis de la mutualité et la pression des assureurs privés à but lucratif

Le système de sécurité sociale n’a pas fini de prendre les coups du gouvernement. En effet, la ministre de la santé Agnès Buzyn nous offre la réforme « 100% santé ». Nous pouvons nous réjouir d’une marche en faveur de « l’accès de tous les citoyens à des soins de qualité » par la prise en charge de certains soins par nos mutuelles (aussi appelées complémentaires santé) qui rembourseront d’ici 2021 certaines lunettes à 100% (montures et verres), certains soins dentaires (bridges et couronnes) et une baisse de 250€ supplémentaire du reste à charge sur les prothèses auditives.

« Mutuelles »… vous avez dit mutuelles ?! C’est en fait une torsion du gouvernement pour piller toujours plus notre système de santé. Pour rappel historique, en 1947, seulement deux ans après la construction du système de protection social, les mutuelles ont gagné une bataille qui leur a permis d’assurer la protection complémentaire santé. C’était alors un premier compromis avec le secteur privé.

La problématique autour des mutuelles est qu’elles ne permettent pas une contribution de chacun selon ses moyens et une prestation à chacun selon ses besoins, ce que permet la « sécu ». À quoi sert un nouveau dispositif de remboursement si les malades n’y ont pas tous accès ? « Ce développement de l’assurance privée est préjudiciable au patient. D’abord parce que certains patients sont dépourvus d’assurance complémentaire car ils ne peuvent pas se la payer. C’est encore le cas de 4 % des assurés. Ensuite parce que tout le monde n’a pas la même assurance privée. Les individus ne s’assurent pas en fonction du risque, mais en fonction de leur capacité de paiement. Ce sont les plus hauts revenus qui ont les assurances les plus couvrantes » selon un article d’Alternatives Economiques.

D’autant que cette belle publicité aux complémentaires leur permet de justifier une augmentation moyenne de 10% des cotisations. Comme le dit l’économiste Frédéric Bizard, (expert en protection sociale et santé) au micro de France Inter : « C’est l’assureur privé qui va financer une partie du reste à charge [plus de 90%, la sécurité sociale ne prenant à charge que 4% de l’optique, 1/3 des dépenses du dentaire et moins de 50% de l’audioprothèse] en reportant cette dépense sur les primes des contrats payées… par les Français ».

En plus de creuser les inégalités face à la santé, les mutuelles (sociétés à but non lucratif) sont de plus en plus diluées par les sociétés d’assurances privées à but lucratif, qui comptent bien prendre le relais : « Les mutuelles ont perdu leur identité et s’alignent aujourd’hui sur les techniques des sociétés d’assurance privées. Les directives européennes et la sacralisation de la concurrence ont eu raison de la spécificité mutualiste. La mutualité perd continuellement des parts de marché au profit des sociétés d’assurance à but lucratif. Elle cherche à résister à la concurrence par des mouvements de concentration et d’alliances de très grande ampleur entre mutuelles, mais aussi entre mutuelles et opérateurs privés comme des banques » toujours selon l’article d’Alternatives Economiques. Ceci à lieu depuis 2001 lors d’une modification du Code de la Mutualité au profit des intérêts du patronat, au nom de la «  concurrence loyale et non faussée  ».

Des choix de classe : en marche vers le système de santé américain

Ceci dans un contexte de « crise » économique bien connu. En 2019, le CAC 40 a versé en dividendes de quoi financer 12 « trous de la sécu » selon le magazine Frustration. D’autant que depuis l’élection de Macron, le patronat est exonéré des cotisations sociales – et non « charges » sociales - causant une perte de financement de la sécurité sociale de 63 milliards d’euros en 2019 !

En d’autres termes, ces remboursements pourraient être financés par le système de santé en se refusant de créer une stratification des soins et une médecine à plusieurs vitesses. Ces choix politiques en défaveur de la sécurité sociale - garante d’un système de justice sociale face à la santé - sont des choix de classe : il s’agit de privilégier les intérêts du capital au détriment de l’intérêt général. Nous devons exiger la gratuité des soins pour toutes et tous par un remboursement à 100% par la sécurité sociale et par la taxation du patronat et non son exonération.

Crédit photo : Fred TANNEAU / AFP

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Le ministre de l’agriculture arrache le micro d’un journaliste après une question sur les abattoirs

Au salon de l'agriculture Didier Guillaume a été mis en difficulté par un journaliste à propos de la maltraitance animale dans l'abattoir Sobeval à Boulazac, en Dordogne.

ABATTOIR SOBEVAL

La bourgeoisie a décidément un problème avec la réalité des faits. Toute l’énergie qu’elle déploie paraît inéluctablement orientée vers le fait de dissimuler coûte que coûte la vérité, alors même qu’elle est prise le mensonge sur le bout de la langue.

C’est ainsi que le ministre de l’agriculture Didier Guillaume, une seconde après avoir arraché le micro des mains d’un journaliste de C-à-vous décidément frontal dans ses questions, déclare sous les yeux des caméras «  je vous ai pas arraché le micro... »

Nous sommes alors curieux d’apprendre quelles questions ont réussi ce mercredi 26 février, au salon de l’agriculture, l’exploit de « déborder le fan de rugby », selon Arthur Berdah du Figaro, et de libérer chez lui de tels instincts sportifs ?

Rien de moins que des questions à propos de son « double-langage », qu’il dénie naturellement. Depuis quelque temps en effet notre ministre se trouve englué dans la polémique de l’abattoir de veaux Sobeval de Boulazac et des révélations sur les traitements illégaux infligés aux animaux par souci de productivité.

Le jeudi 20 février dernier l’association L214 rend publiques des vidéos qui rendent évidentes la non-conformité des méthodes d’abattage Halal et Casher pour lesquelles Sobeval est habilité. On y voit des animaux non-étourdis égorgés, contre les règles donc qui stipulent qu’un tel traitement ne peut-être appliqué à une bête qui n’a pas été assommée préalablement.

Or nous savons désormais que le ministère était au courant de tels manquements à la réglementation et de telles pratiques ordinaires qui ne font aucun cas de la souffrance animale.

C’est depuis le ministère que par erreur sont envoyés les mails échangés en interne à l’association L214 qui communique régulièrement avec ce dernier. Cette erreur contient l’aveu de la part du ministère qu’ils étaient au courant des non-conformités (NC) : « J’ai fait la liste des NC indéniables, voire majeures relevées ! », d’après le courriel rendu public le 20 février.

Ils savaient, contrairement à ce que laissait entendre le ministère dans son communiqué officiel la semaine dernière. Tout comme la préfecture de Dordogne qui, face aux vidéos, refuse d’admettre les non-conformités, et Didier Guillaume d’affirmer que les faits et les images ne sont pas concluantes. Mais pour la classe dominante, tant que ses intérêts sont préservés, peu lui importe que les animaux soient torturés, que la terre entière brûle ou s’effondre.

Publié par REVOLUTINO PERMANENTE

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Macron interpellé : “Il faut sauver l’hôpital public, en train de flamber à la même vitesse que Notre-Dame”

Alors que, selon Macron lui-même, on se prépare à « une épidémie qui arrive », le Président de la République a tenté un coup de com’ à la Salpêtrière, où est mort le premier patient français atteint du coronavirus. Il s’est rapidement fait interpeller par un médecin, sur la crise de l’hôpital et la casse de la santé.

OPÉRATION SÉDUCTION À LA PITIÉ-SALPÊTRIÈRE

Alors que, selon Macron lui-même, on se prépare à « une épidémie qui arrive », le Président de la République a tenté un coup de com’ à la Salpêtrière, où est mort le premier patient français atteint du coronavirus. Il s’est rapidement fait interpeller par un médecin, sur la crise de l’hôpital et la casse de la santé.

Opération séduction pour un Macron qui cherche à redorer son blason. Avant de décoller pour l’Italie, il a organisé une visite surprise à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, où est mort le premier patient français atteint du coronavirus. Accompagné de son nouveau ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Véran, l’objectif était simple : se montrer à la fois rassurant et responsable quant à l’épidémie. « On a devant nous une crise, une épidémie qui arrive, a-t-il déclaré. Cela suppose de s’organiser et de l’affronter au mieux avec la vie qui continue... »

Un coup de com’ mis à mal par l’interpellation du président par un médecin, dénonçant la casse de l’hôpital public, fortement aggravée par la politique de Macron. « Quand il a fallu sauver Notre-Dame, il y avait beaucoup de monde pour être ému. Là il faut sauver l’hôpital public, qui est en train de flamber à la même vitesse que Notre-Dame a failli flamber. Ça s’est joué à rien et là, en ce moment, ça se joue à rien »

Car pour endiguer l’épidémie qui s’étend, comment faire confiance à un gouvernement qui joue les pompiers-pyromanes, quand dans le même temps les budgets alloués à l’hôpital et à la santé sont drastiquement réduits, quand les soignants travaillent à flux tendus ?

« Vous pouvez compter sur moi, a conclu le neurologue face à Macron. L’inverse reste à prouver. »

La crise ouverte autour du coronavirus vient surtout servir de nouveau révélateur des attaques successives des services publics, et de la situation désastreuse dans laquelle sont plongés les hôpitaux. La Macronie, artisane de l’austérité dans la santé, est bien mal placée pour s’ériger en salvatrice.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Depuis ce lundi, payer l'impôt chez un buraliste est possible dans quelque 600  bureaux de tabac de 10 départements (Corrèze, Côtes-d'Armor, Corse du Sud, Gard, Loire, Marne, Oise, Haute-Saône, Yvelines, Vaucluse). Procédé étendu à toute la France au 1er juillet prochain. Alléluia, s'exclame Philippe Coy, le patron de la Confédération nationale des buralistes, "très heureux d'être attributaire de ce marché public et de donner plus de proximité aux usagers" .

Euh, et pour le fonctionnement de ce système et la confidentialité de la chose entre l'achat d'un paquet de clopes, d'un journal, d'un café, d'un jeu à gratter et pourquoi pas d'un billet de train, le tout dans un espace confiné et dans un milieu marchand pas toujours silencieux?

Pour la confidentialité, le patron des patrons des bureaux de tabac a balayé cela plus vite qu'on se brûle la langue en avalant fort cher une goutte de café sur le zinc. Les buralistes volontaires passeront un examen. Après une formation de 20 minutes sur la confidentialité, la lutte contre le blanchiment et la contrefaçon, etc, etc, ils devront réussir un test pour valider leur agrément. Euh, prêteront-ils serment question confidentialité comme un agent des impôts? Et question lutte contre le blanchiment et la contrefaçon, 20 minutes c'est pas trop pour être formé autant qu'un agent des Douanes?

Roger, t'es con ou pas? Macron et son sous-ministre Olivier Dussopt, ex-député socialiste élu en 2017, veulent sabrer largement dans la fonction publique!

En tout cas, c'est gling gling dans le goret pour les buralistes avec 1, 50 euro HT par opération. Et cette opération sera faite sur les écrans de la Française Des Jeux, laquelle qui ne fait rien gratuit, recevra de l'argent public.

La Française Des Jeux est cotée en bourse depuis novembre dernier et sa privatisation a été votée par le Nouveau monde de Macron dont Gilles Le Gendre est le patron des députés.

Et devinez qui a été nommée à la direction de la Française Des Jeux avant sa privatisation?  Madame Le Gendre, l'épouse dudit Gilles Le Gendre. Attention, la Déontologue de l'Assemblée nationale a édicté qu'il n'y avait là aucun conflit d'intérêts. Non mais, vilains démocrates qui voyaient le mal partout! Et gling gling dans le goret des époux Legendre.

La morale de tout cela, c'est qu'il n'y en pas. Normal, le nouveau monde ressemble comme deux gouttes d'eau au vieux monde capitaliste. Non?

Et en attendant, un dessin:

Payer ses impôts: le gros lot pour les bureaux de tabac et la Française Des Jeux

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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Les techniques de manipulation de l'opinion publique

A l’heure où le gouvernement prépare les esprits à l’utilisation du 49.3 pour faire passer en force son projet de réforme des retraites, il est utile de rappeler les différentes stratégies appliquées pour influencer l'opinion à des fins politiques et économiques.

Les techniques sont multiples et plus subtiles que le recours à la force. Il s'agit de modifier à tout ou partie de la population sa perception du réel. Le champion toutes catégories de ces pratiques est le capitalisme avec tous ses relais : élus et organisations politiques, médias, lobbies, réseaux sociaux, structures de formation, instituts de sondage, etc. Non content de mettre ses mains dans nos poches, il les met dans nos cerveaux.

Mensonge d’État

Ces manipulations sont si quotidiennes qu'elles sont banalisées et presque plus perceptibles. L’omniprésence des médias et des réseaux sociaux dans notre vie nous livre du « prêt à penser » qui, à la longue, amoindrit notre capacité de réflexion et notre sens critique. Nous sommes soumis à la désinformation, à la fois noyés dans un flot continuel de nouvelles insignifiantes et matraqués lors d'événements médiatiques (compétitions sportives, fêtes diverses à visées commerciales, événements tragiques, etc.). Le but est d’imprégner progressivement le subconscient des individus pour modifier leur système de valeurs et leurs comportements.

Fabriquer de l’émotion…

L’émotion permet de faire diversion, en passant sous silence des événements importants de la vie démocratique, tout en exacerbant les peurs, les désirs et les réactions individuelles. Elle utilise systématiquement par les médias lors des mouvements sociaux pour mettre en exergue les réactions de colère des usagers envers les grévistes et éluder ainsi le motif et les vrais responsables de la grève.
C'est aussi la tasse de thé des concepteurs d'émission de téléréalité qui font l'apologie de la médiocrité laissant moins de place à la culture.

…et provoquer des événements à réaction

Il s'agit de créer des situations qui conduisent l'opinion publique à demander aux gouvernants de prendre des mesures contraires aux intérêts de la population. Exemples : provoquer ou laisser faire un état de violence urbaine qui générera une demande de mesures sécuritaires privatives de liberté ; profiter d'une crise économique ou en amplifier l'impact pour faire reculer les droits sociaux.

Tripoter les sondages

La multiplication des sondages, très sensible aux moments des échéances électorales, vise à créer un mimétisme ou une résignation vis à vis d'une opinion présentée comme majoritaire. La forme des questions posées induit la réponse attendue par celui qui finance le sondage. Mais, malgré la mauvaise opinion qu'ont les Français de ces questionnements, l'impact est non négligeable.

Les « Experts »...de l’enfumage

Faire appel à des intermédiaires, présentés comme experts indépendants, pour contourner la méfiance de l'opinion envers le discours officiel, verrouille le débat public tout en créant l'illusion qu'il a eu lieu. Cela renvoie le citoyen à son ignorance et à sa soumission à « ceux qui savent » menant à l'infantilisation. C'est particulièrement vrai pour les débats sur l'économie.

Yolande Bachelier


Exemples

Utiliser la progressivité
Faire accepter des réformes sous prétexte que leur application n'interviendra que progressivement sur une longue durée, laissant croire que ces décisions néfastes ne touchent que les salariés ou les bénéficiaires dans les années à venir, en fixant une échéance lointaine, cela doit laisser le temps aux citoyens de s'habituer à l'idée du changement et de s'y résigner. C'est l'exemple même de la réforme des retraites.

Jouer sur la culpabilisation
C’est détourner les sentiments d'injustice et de révolte d'un individu contre lui-même. S'il a la conviction d'être responsable de la situation dans laquelle il est, l'individu n'est pas en capacité d'agir. Exemple : faire croire aux chômeurs qu'ils sont responsables de leur situation par manque d'intelligence, d'aptitude ou de motivation n'engendre qu'un état dépressif peu propice à la défense de leurs intérêts. Ou encore faire croire que les retraités sont des privilégiés pour justifier la baisse des pensions.

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Le professeur Didier Raoult, chercheur spécialiste des maladies infectieuses, a fondé l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée à la Timone. PHOTO DR

Le professeur Didier Raoult, chercheur spécialiste des maladies infectieuses, a fondé l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée à la Timone. PHOTO DR

Afin de préparer le système de santé à des cas de coronavirus en France, le ministère a demandé aux Agences régionales de santé (ARS) de mettre en place une « plateforme de veille et d’urgence renforcée ». En Paca, les cas dits « possibles » sont orientés vers l’IHU à la Timone, dirigé par le professeur Didier Raoult, spécialiste international des maladies infectieuses. Un établissement spécialement conçu pour faire face à ce type d’épidémie, qui « ne doit pas susciter d’inquiétude majeure ».

 

La Marseillaise : Le coronavirus Covid-19 est-il plus dangereux qu’un virus responsable d’une épidémie de grippe saisonnière ?
Didier Raoult : Il ne l’est pas. Il y a eu dans la zone de Wuhan une mortalité relativement élevée que les Chinois ont estimé à 5,6 %. Si vous sortez de cette zone, la mortalité est plus proche des valeurs de 0,5 à 0,6 %, ce qui est la mortalité que l’on observe chez des patients qui arrivent à l’hôpital de la Timone atteints d’une infection virale respiratoire. Lors du début d’une épidémie, on ne détecte, par définition, que les cas graves : ce qui attire l’attention, c’est lorsqu’un patient meurt et que son médecin tombe malade. Cette chaîne de transmission montre que la maladie est contagieuse et qu’elle est grave. Cela justifie que l’on fasse des investigations qui soient extraordinaires, au sens étymologique du terme, c’est-à-dire inhabituelles.
Par ailleurs, la surmortalité pour les formes sévères dans la zone de Wuhan est liée, d’après la Chine, à un niveau d’équipement hospitalier insuffisant,
c’est pourquoi ils ont construit un hôpital en dix jours. Il y aurait donc une surmortalité liée à une mauvaise prise en charge médicale, et il est vraisemblable que ce scénario se soit répété ailleurs. Le traitement d’une telle crise nécessite de porter le plus grand soin au personnel soignant. C’est le personnel de soin qui est le plus exposé aux maladies transmissibles.

 

« L’éventualité d’une augmentation de la virulence du coronavirus Covid-19 n’a pas plus de raison d’apparaître que pour un autre virus de sa catégorie »

La contamination respiratoire s’effectue par des rapports très proches, moins d’un mètre. On l’avait mesuré avec l’épisode de grippe H1N1 où on avait beaucoup travaillé sur la transmission intrahospitalière. On avait montré que dans les services de maladies anti-infectieuses qui ont l’habitude de gérer la transmission de la maladie, il y avait trois fois moins de cas secondaires que dans les services de médecine interne. L’entraînement évite de faire des erreurs. Le plus grand foyer infectieux qu’on avait observé à Marseille était la radiologie, donc à l’IHU, on ne fait plus de radiologie sur les patients que l’on sait contagieux. Nous disposons de notre propre système de radiologie par échographie que l’on effectue au lit du malade.


Quel est le dispositif sanitaire envisagé ?
D.R. : Depuis le début, on préconise de traiter cet épisode de manière très moderne, et c’est ce qu’a mis en place le nouveau ministre de la Santé, Olivier Véran. Il s’agit d’être efficace sur le diagnostic, par l’utilisation des tests de biologie moléculaire, pratiqués en routine et permettant de détecter en trois heures la présence du génome viral à partir de prélèvements respiratoires. Ce diagnostic permet de différencier les personnes contagieuses de celles qui ne le sont pas. C’est une stratégie qui est en train de se mettre en place, et d’être diffusée. Ce genre de test est déjà pratiqué pour au moins 40 types de germes. Dans mes services, on peut effectuer jusqu’à 1 000 tests par jour.

Est-ce que ce virus peut évoluer et muter, avec le risque d’augmenter sa virulence ?
D.R. : Globalement ce groupe de virus mute tout le temps. L’éventualité d’une augmentation de sa virulence n’a pas plus de raison d’apparaître que pour un autre virus de sa catégorie. C’est un phénomène sporadique, imprévisible, mais rare.

Quelle stratégie thérapeutique vous semble la plus adéquate pour lutter contre le virus ?
D.R. : Concernant les vaccins, ils sont destinés à prévenir de vraies maladies, qui concernent des centaines de milliers de cas. J’attends plutôt des Chinois qu’ils testent chez les patients le médicament le plus simple et le moins toxique au monde qu’est la chloroquine, dont ils ont prouvé l’efficacité en laboratoire. Ce serait le meilleur candidat, plutôt qu’un nouveau médicament qui nécessiterait plusieurs années avant une autorisation de mise sur le marché. C’est le grand enjeu du repositioning, c’est-à-dire utiliser d’anciennes molécules contre des agents sur lesquels elles n’ont jamais été testées.

Cette épidémie ne semble pas vous inquiéter outre mesure ?
D.R. : Comme je l’explique souvent, en tant que directeur du pôle d’infectiologie, je ne me trouve pas à distance. Toutes les semaines, j’observe de quelles maladies infectieuses les gens meurent. On dénombre 50 à 60 décès par semaine à l’AP-HM. 16 décès imputables à un virus respiratoire ont été observés à Marseille depuis le début de l’année. Près de 2 500 patients ont contracté un virus respiratoire, dont 500 infections à coronavirus (pas la souche chinoise) depuis le début de l’année. Et on ne représente qu’1 % du champ opératoire national. Par ailleurs, on a comptabilisé 6 morts par Clostridium difficile, une bactérie très virulente, et 4 morts par le virus respiratoire syncitial, dont personne ne parle. Ces germes m’inquiètent, car ils tuent, et j’observe plus les agents qui tuent que ceux qui pourraient tuer. Mais nous sommes prêts à faire face aux crises sanitaires. Nous n’avons aucun retard en la matière, mais il faut pondérer la situation au regard de la réalité observée.

Le système hospitalier français, malgré la crise qu’il traverse, est-il capable de faire face à une éventuelle épidémie de ce type ?
D.R. : Je suis attaché aux chiffres. Par rapport aux hôpitaux français, il y a un problème d’organisation à appréhender et de gestion d’argent. Ce n’est pas normal que des gros CHU soient autant endettés. Ce qui empêche de recruter. En France, il y a moins de médecins et d’infirmières dans les hôpitaux en moyenne que dans les autres pays de l’OCDE, la population médicale vieillit terriblement, et il n’y a pas assez d’étudiants.
Les personnels soignants sont également moins bien payés, alors que la France est le pays qui dépense le plus d’argent dans la santé, qui a plus de lits que dans la moyenne des pays de l’OCDE, donc il y a un problème de fond.

Entretien réalisé par Benjamin Grinda

 

 
 

Publié par EL DIABLO

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Et si un banal traitement contre le paludisme était la clef contre le coronavirus ?

Une étude clinique de trois chercheurs chinois révèle qu'un traitement très simple à la chloroquine, utilisé contre le paludisme, a obtenu des résultats significatifs pour traiter le coronavirus. Ce médicament est d'ailleurs peu cher et sans danger.

Alors que le coronavirus se propage à travers le globe, un banal traitement donne de l'espoir à la communauté scientifique. Il s'agit d'un traitement à la chloroquine – médicament couramment utilisé contre le paludisme – qui a montré des signes d'efficacité contre ce virus.

«Nous savions déjà que la chloroquine était efficace in vitro contre ce nouveau coronavirus et l'évaluation clinique faite en Chine l'a confirmé», explique Didier Raoult, directeur de l'Institut Méditerranée Infection à Marseille, en commentant la première publication sur cette étude clinique de trois chercheurs chinois dans la revue BioScience Trends. «Finalement, cette infection est peut-être la plus simple et la moins chère à soigner de toutes les infections virales», ajoute le professeur Raoult, spécialiste renommé des maladies infectieuses.

L'article publié en ligne le 19 février tire ses résultats d'un essai clinique mené dans plus de dix hôpitaux chinois (à Wuhan – épicentre de l'épidémie – Pékin et Shanghaï notamment) pour mesurer «l'efficacité de la chloroquine sur le traitement de pneumonies associées au Covid-19».

«Un médicament peu cher et sans danger»

«Les résultats obtenus jusqu'à présent sur plus de 100 patients ont démontré que le phosphate de chloroquine était plus efficace que le traitement reçu par le groupe comparatif pour contenir l'évolution de la pneumonie, pour améliorer l'état des poumons, pour que le patient redevienne négatif au virus et pour raccourcir la durée de la maladie», précisent les chercheurs chinois.

La brève étude ne quantifie toutefois pas cette différence d'efficacité. «Les capacités antivirales et anti-inflammatoires de la chloroquine pourraient jouer dans son efficacité potentielle à traiter des patients atteints de pneumonies provoquées par le Covid-19», poursuit l'article sur l'étude menée par les professeurs Jianjun Gao, Zhenxue Tian et Xu Yang, de l'université de Qingdao et de l'hôpital de Qingdao. 

Une nouvelle d'autant plus intéressante que «la chloroquine est un médicament peu cher et sans danger, utilisé depuis plus de 70 ans», insistent encore les auteurs. Selon les chercheurs chinois, un traitement de 500 mg de chloroquine par jour pendant dix jours serait suffisant. «C'est une extraordinaire nouvelle ce traitement qui ne coûte rien», a insisté le professeur Raoult, se félicitant du travail des chercheurs chinois pour trouver un médicament efficace, voire à privilégier selon lui plutôt que la recherche d'un vaccin qui ne pourrait de toute façon pas être disponible avant de longs mois.

Interrogé sur BFMTV depuis Rome sur ce traitement, le ministre français de la Santé Olivier Véran a assuré s'être entretenu à plusieurs reprises avec Didier Raoult : «Il m'a fait part de ses observations et des études qu'il mettait en évidence, que j'ai fait remonter à la direction générale de la santé qui est en train de faire toutes les analyses.»

«On sait qu'il y a des études intéressantes en effet sur un impact in vitro mais les études sur le patient restent encore à déterminer», a encore affirmé le ministre. 

Publié par RT france

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

 

"On a un principe fondamental à la CGT : dès qu'on touche à un militant, c'est toute la CGT qui se mobilise." Sur les marches du tribunal de grande instance d'Orléans, Sébastien Ménesplier sourit en voyant les drapeaux rouges de la CGT s'agiter dans les airs. Il est secrétaire général de la Fédération nationale des mines et de l'énergie CGT et a fait spécialement le déplacement depuis Paris pour venir soutenir ses camarades.

Près de 200 manifestants se sont rassemblés devant le bâtiment, alors que les deux syndicalistes devaient être jugés devant le tribunal correctionnel ce mardi. Ils avaient été arrêtés le 10 janvier dernier, pris en flagrant délit, en essayant de couper l'alimentation d'un transformateur de la Place d'Arc à Orléans.

Lors de l'audience, les avocats de deux prévenus, qui comparaissaient pour tentative de dégradation d'un bien destiné à l'utilité publique, ont demandé le renvoi de l'affaire, notamment parce qu'une des avocates n'avait pas toutes les pièces de la procédure. Une nouvelle date de procès a donc été fixée au 8 avril à 14 heures.

Nouvelle manifestation de soutien le 8 avril

"L'épreuve de force d'aujourd'hui ne suffira pas", explique Sébastien Ménesplier. "Mais nous serons là aussi le 8 avril, en organisant pourquoi pas une manifestation nationale, en mobilisant les militants, les salariés de l'énergie mais aussi d'autres professions." Le responsable syndical rappelle aussi que de nombreux militants ont été arrêtés, placés en garde à vue et aussi poursuivis en justice depuis le début du mouvement de protestation contre le projet de réforme des retraites, le 5 décembre dernier.

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Les grèves de masse sont de retour aux États-Unis

Près d’un demi-million, 425 000 pour être précis. C’est le nombre de travailleurs ayant participé à des débrayages de masse en 2018 et 2019, selon le bureau des statistiques du ministère du Travail américain qui comptabilise les grèves concernant plus d’un millier de personnes à la fois. Soit une très forte progression par rapport à l’année 2017 qui avait été l’une des plus basses depuis l’après-guerre, avec seulement 25 000 travailleurs en grève. Quatre grèves de masse ont marqué les États-Unis durant cette période : un dans le secteur de l’automobile et trois dans celui de l’éducation.

L’an dernier, 46 000 employés de General Motors ont cessé le travail pendant 40 jours pour obtenir des augmentations de salaires, notamment pour les nouveaux embauchés soumis à une grille salariale inférieure depuis le sauvetage de l’entreprise en 2009. Mais la grève de masse la plus importante a eu lieu en Caroline du Nord en 2018. Là, 92 700 enseignants des écoles publiques ont réclamé une augmentation du budget consacré à l’éducation après dix ans de coupes budgétaires. En Virginie-Occidentale, ce sont 36 400 enseignants qui ont cessé le travail pendant deux jours et obtenu le retrait d’un projet de financement public des écoles privées. En Californie, la grève de 33 000 enseignants pendant six jours a contraint la ville de Los Angeles à augmenter de 6 % le budget pour les écoles publiques et à réduire le nombre d’élèves par classe.

Si le bureau des statistiques du ministère du Travail enregistre un retour des grèves de masse, celles-ci n’égalent pas les grands mouvements de travailleurs du 20e siècle aux États-Unis. À titre de comparaison, l’année 1949 avait enregistré 2,5 millions de travailleurs en grève. Cependant, l’augmentation constatée ces deux dernières années marque une rupture dans un contexte où le taux de chômage est faible : 3,6 % de l’autre côté de l’Atlantique.

Publié par anti-K

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Philippe Poutou, devant l'usine de Ford Blanquefort, en Gironde, le 26 février 2019. (MEHDI FEDOUACH / AFP)

Philippe Poutou, devant l'usine de Ford Blanquefort, en Gironde, le 26 février 2019. (MEHDI FEDOUACH / AFP)

 

 

Philippe Poutou, très en forme, après avoir dépassé LREM, s'attaque au maire sortant Nicolas Florian sur son train de vie ✊🏾

(À regarder jusqu'au bout)

 

Publié par anti-K

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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