SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Réunions de CE et DP
CE/DP vendredi 30 mars 2018

Ci-dessous les questions de la CGT :

Questions CE :

  • Volume a date SHAMPOING/DENTAIRE
  • Part de marché shampoing/dentifrice
  • Effectif
  • Point sur les embauches
  •  La semaine 19 est-elle fermée?
  • Comment un cadre (wcm) peut-il s’avancer sur la rapidité d’évolution des salariés du site ?
  • A-t-il eu un quick Kaizen pour l’installation de l’écran extérieur et quel est son cout ?
  • La direction est-elle consciente du mal être de nombreux salariés dans l’entreprise ?
  • Point sur l’hygiène, douche, cantine….nous demandons que le personnel du process dentaire/shampoing puisse partir plus tôt pour se doucher (en fin de poste) ?
  • Point sécurité, comment la direction justifie-t-elle ce chiffre de 720 jours sans accident ?
  • Point de la direction sur le maintien des primes lors des heures supplémentaires du samedi ou lors de la cinquième nuit ?
  • Détail et explication du montant du crédit d’impôt recherche en 2017 ?
  • Nous demandons l’ouverture d’une négociation suite aux ordonnances loi travail « CSE » ?

Questions DP :

  • Peut-on remettre en état les frigos de la cantine ?
  • Que fait-on du caddie SAMSARA fractionné depuis le mois de novembre ? (les matières sont-elles toujours bonne et quand est-il programmé?)
  • Est-il possible d’avoir un transpalette électrique pour Sodexo au nettoyage des cuves et des pompes ?
  • Quel est le but de la leçon ponctuelle concernant la purge avant transfert mixeur ? La question est surtout pourquoi reste-il de l’eau dans le soutirage ?
  •  Notre responsable de sécurité peut-elle ignorer la règle concernant le dispositif interdisant l’utilisation du chariot élévateur par une personne non autorisée ? (type clé)
  •  Notre responsable du service qualité sait nous parler de "lactalis" mais pourquoi ne vient-elle pas voir les conditions de travail des fractionneurs shampoing ?
  • Quand est prévue la remise en conformité de la cabine a flux du fractionnement shampoing ?
  • Est-ce une volonté de la direction de ne pas avoir mis de douche sécurité et rince œil au nouveau fractionnement, est-ce par soucis d’économie ?
  • Point sur les modifications unimix 2 (diamètre de recirculation), a-t-on des résultats concluants, peut-on fabriquer toutes les recettes ?
  • Nous demandons la mise en place d’une grille de salaire Unilever HPC pour les cadres et ingénieurs, actuellement application convention collective Chimie, en terme de salaire celui-ci ne correspond même pas à un salaire coefficient 300 sur la grille HPC. Débuter à partir de notre grille entre le coeff 340 et 360.

 

Ci-dessous l'ordre du jour CE/DP vendredi 30 mars 2018? VEUILLEZ CLIQUER SUR LE LIEN POUR PRENDRE CONNAISSANCE DU FICHIER :

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
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Pour prendre connaissance du tract en PDF, veuillez cliquer ci-dessous.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Un syndicat anglais appelle les travailleurs à ne pas casser la grève des cheminots en France

Alors que la SNCF a démenti et assure n'avoir lancé aucun appel à de la main d'œuvre provenant de Grande-Bretagne pendant les jours de grève, pour assurer la maintenance des Eurostar, il semble que RMT, syndicat frère de la CGT, a adressé une lettre aux travailleurs pour leur demander de ne pas casser la grève des cheminots en France. Comme illustration de la solidarité internationaliste, nous relayons la traduction ainsi que le courrier original adressé aux travailleurs anglais.

Cher collègue,

Il a été porté à mon attention par notre syndicat frère français, la CGT, qu’ils mènent une action syndicale dans les mois à venir concernant les plans du gouvernement français de privatiser la SNCF et de modifier le statut cheminot.*

Ci-dessous, un calendrier des grèves à venir et vous verrez qu’elles sont assez nombreuses.

Le RMT a été informé qu’Eurostar International tente d’inciter des membres à travailler en France au dépôt du Landy, ce qui pourrait avoir un effet négatif sur la grève déclenchée par nos collègues syndicalistes.

Par conséquent, je demanderais que les employés ne travaillent que selon leurs conditions et ne se portent pas volontaires pour des tâches supplémentaires qui pourraient miner les grèves.

Je suis sûr que vous voudrez également partager vos bons vœux et votre solidarité avec vos collègues et je les transmettrai à la CGT.

Sincèrement votre,

Mick Cash,
Secrétaire général

Solidarité internationaliste

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Macron entend imposer une réforme libérale du système des retraites par ordonnances

Alors que les retraités ont massivement manifesté les 15 et 22 mars dernier, Macron répond par une nouvelle attaque ! En effet, avec sa réforme du système des retraites, le « président des riches » entend ouvrir la porte à un financement par le biais des marchés financiers.

Dans son édition du 27 janvier, Le Parisien a dévoilé les dessous de la nouvelle réforme des retraites, inscrite dans le cadre de la loi PACTE. La réforme viserait à réorienter l’épargne des retraités vers des placements plus risqués dans les entreprises pour « rebooster l’économie ».

L’essence même de cette réforme vise à privilégier la perception des retraites sous forme de capitaux plutôt que sous la forme d’une rente, c’est à dire par un versement mensuel. Cela impliquerait l’impossibilité de débloquer son épargne en cours de route et de recourir à des placements directs des retraites sur les marchés. En d’autres termes, si les libéraux mettent en avant la possibilité de « gagner plus », c’est surtout les risques « de tout perdre » qui guettent les retraités, notamment les plus modestes.

L’autre idée explorée par le gouvernement pour cette réforme concerne la fusion des produits d’épargne. Ainsi, PERCO (dispositif d’épargne salariale par accord d’entreprise et ouvert à tous les salariés) pourrait se voir fusionner avec PERE, Madelin et PERP. La aussi, il s’agit d’une attaque contre les plus modestes, car fusionnant les dispositifs des plus précaires avec ceux des cadres par exemple, entraînant des risques au moins aussi forts, pour des « bénéfices » moins élevés.

La logique de cette nouvelle réforme du système de retraite tend à ouvrir grand la porte à une libéralisation totale. Comme à son habitude, le gouvernement entend passer en force, en imposant cette réforme par ordonnance. Cette libéralisation du système de retraite est attendue de longue date par les classes dominantes, et s’inspire ouvertement des libéralisations ayant déjà eu lieu ailleurs dans le monde, avec des résultats plus que désastreux. Aux États-Unis par exemple, le modèle libéral du système des retraites a creusé le déficit, qui augmente année après année et qui a atteint 3400 milliards de dollars. Qu’on se le dise, c’est bien ce modèle qui sert de boussole à Macron, entraînant la mort programmée d’un système de retraite socialisé.

Voici donc la « réponse » du « président des riches » à la colère légitime des retraités, qui se sont massivement mobilisé les 15 et 22 mars dernier contre la hausse de la CSG. Une « solution » libérale qui tend à précariser les plus modestes, tout en présentant sa réforme sous le vernis délavé d’un modernisme qui n’en est pas un. Quoi de plus logique, après tout, puisque Macron a annoncé ne pas avoir entendu la colère des retraités au lendemain du 15... Passage par ordonnances et attaque directe contre les retraités, il apparaît comme vital que les retraités poursuivent leur mobilisation, dans la convergence avec l’ensemble des autres secteurs en lutte, et notamment les cheminots.

Photo : Flickr - Julen Landa.

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Pression, lock-out, diffamation… Jusqu’où ira la SNCF pour casser la grève des cheminots ?

Alors que les cheminots sont massivement descendus dans la rue jeudi dernier et qu'ils ont prévu de se mettre en grève à partir du 3 avril contre la réforme du rail, la SNCF s'organise de son côté afin de mâter la contestation qui commence à s'exprimer. Pressions, intimidations, diffamations, pratiques illégales, tous les coups sont permis pour tenter de tuer dans l’œuf la contestation naissante et de casser la grève.

La direction de la SNCF est aux abois, et il faut dire qu’il y a de quoi. En effet, depuis l’annonce de la réforme du rail qui va détruire le statut des cheminots et privatiser la SNCF, la colère des cheminots ne retombe pas. Le 22 mars, ils étaient nombreux dans la rue, le taux de gréviste s’élevant quant à lui à 35 % alors que seul Sud Rail, suivi de l’Unsa, avaient appelé à la grève. De quoi mettre la pression sur le gouvernement qui, face à cette configuration, joue dorénavant davantage la carte du dialogue social et des négociations qu’auparavant. Face à cette pression mise sur le gouvernement, qui est toujours aussi « déterminé à mener cette réforme essentielle », la direction de la SNCF tente d’organiser une riposte et de briser la contestation naissante des cheminots et leur grève.

Méthode classique, celle-ci commence à remuer du côté des cadres pour que ces derniers remplacent les grévistes. La direction pousse en effet des cadres, qui n’y connaissent rien en trains, à suivre des formations techniques, allant de quelques heures à quelques jours. Leur rôle sera entre autre d’« encadrer » les conducteurs et autres personnels non grévistes. La SNCF a dès lors distribué massivement un « Appel à la candidature ».
Cependant, on peut se poser la question de l’efficacité de cette stratégie de sabotage de grève, à l’heure où, chose plus ou moins historique, une part non négligeable de cadres est mobilisée contre la casse du statut de cheminot. Leur taux de grévistes était en effet important jeudi dernier. Face à cette réalité, qui met une fois de plus la SNCF en difficulté, la direction ne recule pas et joue à l’intimidation et à la pression auprès des cadres pour qu’ils ne se mettent pas en grève, comme le dénonce la CGT-cheminots, qui parle même de la mise en place de lock-out de bâtiments de la direction dans le but d’imposer aux cadres de remplacer les grévistes.

Autre pratique de sabotage de la grève, la direction a fait venir au technicentre du Landy, en Seine Saint-Denis – bastion très combatif qui a organisé une Assemblée Générale le 22 et a voté la reconductible à partir du 3 – des travailleurs de la filiale anglaise pour remplacer les grévistes sur l’Eurostar. Une pratique courante bien que totalement illégale, qui va à l’encontre du principe du droit de grève ! Le tout accompagné de mensonges, puisque la direction de la SNCF a nié totalement ces faits.

Le 22, cette même direction a également tout fait pour limiter la présence des cheminots dans le cadre de la montée nationale appelée par la CGT. Arrêt de lignes permettant de rejoindre les grands axes, suppression des trains amenant les grévistes sur Paris...

A côté de ça, les menaces financières. Ainsi, dans le cadre de la grève perlée, deux jours sur cinq, appelé par la CGT, l’Unsa et la CFDT, la direction considère celle-ci comme une seule et unique grève, et non plusieurs. Ainsi, les jours de repos en période de grève seront systématiquement décomptés, même s’ils font suite à des jours travaillés. La SNCF enlèvera alors les repos comme si c’était une reconductible.

A côté de toutes ces pratiques, la bataille du côté de l’opinion publique se poursuit. Le cheminot bashing, avec la récente campagne de publicité mensongère contre les soi-disant privilèges des cheminots, représente lui aussi une attaque visant à discréditer et à briser la contestation cheminote. Une propagande pas directement lancée par la SNCF, mais approuvée par un silence complice. Lors des différents conflits, les cheminots ont été habitués à la violence de la direction de la SNCF, qui, encore une fois, remet ces pratiques sur la table. Des pratiques qui témoignent de l’importante fébrilité et de la difficulté dans laquelle la direction de la SNCF, mais aussi le gouvernement, se trouvent.
Dans ce bras de fer et face à ces difficultés, leur réponse est toujours la même, répressive. Une logique à laquelle se heurtent tous ceux qui tentent de relever la tête et qui se mobilisent contre ce gouvernement et ses contre-réformes - la répression qui se mène actuellement dans les universités en témoigne. Mais à l’image des étudiants, qui depuis la répression de leur mouvement par le gouvernement, les forces de l’ordre et même des groupuscules fascistes se mobilisent de plus en plus, en témoignent les assemblées générales massives dans les facs, la logique répressive pourrait avoir un effet contraire sur les cheminots que celui escompté par le gouvernement et la SCNF. Gageons que leurs AGs seront massives elles aussi au matin du 3 avril.

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

PAR EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Ce lundi 26 mars, Tropicana a annoncé sa volonté de se séparer de son usine basée à Hermes, au cours d’un comité d’entreprise.

Tropicana veut se séparer de son usine à Hermes et ses 98 emplois
Les enseignes Tropicane, devant l’usine de Hermes, pourraient être un lointain souvenir.

L’annonce est tombée ce matin. Lors du comité d’entreprise, la société Tropicana a fait part de son souhait de céder l’usine.

«  Le processus de recherche d’un repreneur est la priorité  », fait savoir un porte-parole de l’entreprise qui appartient au groupe Pepsi.

Actuellement environ 120 personnes travaillent sur le site d’Hermes, dont 98 CDI. L’usine, la seule unité de production de France, fabrique essentiellement des jus de fruits frais dans des bouteilles en carton, et du gaspacho.

Changement des habitudes de consommation

Ce sont les difficultés rencontrées dans ce secteur d’activités qui expliquent la cession du site, explique ce porte-parole. «  Une baisse des volumes de production a été constatée depuis plusieurs années. En cause, le durcissement de la concurrence avec l’arrivée des jus Innocent, et la demande des consommateurs en faveur des bouteilles plastique.  » Or, l’unité de production de Hermes est spécialisée dans les bouteilles cartonnées.

«  Les consommateurs ont évolué, pas nous  », commente Sébastien Jabouille, délégué CGT de l’usine. Il pointe le manque d’investissement des dernières années. «  Il y a une usine à Zeebruges, en Belgique, qui fait des bouteilles en plastique. Pas nous. On espérait des financements. Mais non. Pourtant, le groupe Pepsi a les reins solides. On parle de milliards d’euros de chiffre d’affaires.  »

Une baisse de la production sur le site

«  La production s’est contractée de 25 millions de litres ces cinq dernières années  », poursuit le porte-parole de l’entreprise. En 2017, ce sont 64 millions de litres de jus qui sont sortis de l’usine. «  La recherche d’un repreneur doit permettre d’éviter la fermeture du site  », enchaîne Tropicana.

«  C’est un coup de massue et on ne peut que respecter la crainte des salariés  », commente Grégory Palandre, maire de Hermes. Il tient tout de même à se montrer confiant. «  C’est un site avec beaucoup de qualité, très flexible, avec des équipes très qualifiées. Cela va intéresser des repreneurs de l’agro-alimentaire, ou d’autres secteurs.  »

De l’avis d’un ancien salarié, la décision était attendue. «  La société Pepsi utilise de plus en plus de sous-traitant. Pour nous, à Hermes, les plus grandes parties des jus arrivaient de Zeebruges. Souvent par citernes. On les mettait ensuite dans les bouteilles en carton. Mais aujourd’hui, le jus est rapatrié à Dijon, auprès d’un sous-traitant, qui s’occupe du conditionnement.  »

CE extraordinaire

Un comité d’entreprise extraordinaire doit se tenir en fin de semaine. «  Tout va se négocier en CE extraordinaire. La société a mandaté un cabinet d’audit qui va assurer la reconversion. Je fais confiance en l’expertise du directeur du site pour mener à bien cette cession reconversion  », explique l’élu.

Mais l’inquiétude est tenace. «  C’est sûr, il y a des compétences sur place et les produits sont sains. Mais on se demande combien de personnes seront reprises. On attend le CE pour avoir la feuille de route de l’entreprise  », confie Sébastien Jabouille.

PAR courrier-picard.fr

Vu sur le site cgt compiegne facebook

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
CSG sur les retraites, qui la paie à taux plein, à taux réduit, en est exonéré ?

Gare à la confusion : le seuil qui permet d'échapper ou pas à la hausse de 1,7 point de la CSG est le revenu net imposable du foyer fiscal et non le montant mensuel de la retraite. Nouveaux taux de la CSG sur la retraite et cas d'exonération.

Pour comprendre pourquoi l’augmentation de la CSG de 1,7 point sur les retraites n'est pas populaire chez les retraités et fait l'unanimité de leurs syndicats contre elle, quelques chiffres et les nouveaux taux de la CSG sur les retraites. N'oublions pas les pensions d'invalidité qui en sont elles aussi impactées "de 25 à 100 euros par mois", selon l'APF

Pourquoi ça coïnce en quelques chiffres ?

1.- Cette hausse de 1,7 point correspond à une augmentation de 25% de la CSG pour 9 millions de retraités, soit une ponction dans leurs portes-monnaies de 4,5 milliards d’euros par l'Etat.

2.- Seuls les retraités percevant plus de 1 200 euros nets  par mois sont théoriquement concernés par cet « effort  en faveur des salariés ». Or il faut savoir que le plafond en dessous duquel les retraités échappent à la hausse de la CSG est basé non pas sur la retraite mais sur le revenu fiscal de référence (net imposable) 2016 dont le montant pour 2018 a été arrêté à 14 404 euros pour une part de quotient familial (1 200 euros nets par mois) + 3 846 euros par demi-part supplémentaire (320 euros nets par mois). Ce qui veut dire que ce barème peut très vite être dépassé selon la situation familiale (notamment pour les couples), des revenus supplémentaires tout particulièrement les retraites de réversion etc. Ce qui change tout et qui explique que, faute d'information, beaucoup de retraités ont cru que seule leur retraite personnelle était prise en compte.

Quelques exemples :

- Anne, ancienne infirmière, perçoit 970 euros nets de retraite et son mari Jean, ancien employé municipal 1 010 euros nets, tous deux en limite du seuil de la pauvreté se voient ponctionner sur leur revenu commun 34 euros par mois et non pas 0 euro chacun.

[…]

LIEN VERS LA SUITE DE L’ARTICLE CI-DESSOUS :

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ATTENTIVEMENT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Muriel Pénicaud autorise le licenciement de Gaël Quirante : tous devant le ministère lundi 19h !

Muriel Pénicaud a décidé de ne pas suivre l'avis de l'inspection du travail et le rapport de la contre-enquête qui reconnaît une discrimination syndicale, et d'autoriser le licenciement de Gaël Quirante, syndicaliste à la Poste du 92. Un rassemblement est appelé ce lundi 26 mars à 19h devant le ministère du travail : soyons nombreuses et nombreux pour dénoncer cette répression anti-syndicale inadmissible !

Il s’agit bien d’une décision politique qui tourne le dos au droit du travail !
Décision prise le 20 mars, fin du délai légal pour autoriser le licenciement, et recommandé posté le 22 mars... On est vraiment en colère !
Important, pour rappel, ce n’est pas parce que la ministre autorise le licenciement se Gaël que la direction de la Poste est obligé de le virer. A l’heure qu’il est, Gaël n’est pas encore licencié.

Nous ne laisserons pas passer... Soyons nombreuses et nombreux devant le ministère !

Rendez-vous lundi 26 mars à 19h devant le ministère du travail, 127 Rue de Grenelle, 75007 Paris, métro Varenne.

Evènement Facebook.

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever
Pour Macron, l’impact des grèves et des manifestations « n’existe pas »

Entre deux pourparlers sur l’Union Européenne à Bruxelles, Emmanuel Macron a réagi aux mobilisations d’ampleur de ce 22 mars lors d’une conférence de presse ce vendredi. Alors que pour ce coup d’envoi nous étions près de 500.000 cheminots, lycéens, étudiants, travailleurs de la santé, retraités, enseignants, etc dans les rues, celui-ci a déclaré que la grève très largement suivi n’aurait aucun impact sur les réformes prévues. Les paris sont ouverts.

Du haut de son sommet de Bruxelles, le président des riches a encore une fois frappé de son mépris. « L’impact » des mouvement « n’existe pas », la mobilisation massive du 22 mars est d’après lui « normal » puisque chaque pays qui mène des réformes « connaît des mouvements sociaux », mais pas de quoi faire reculer le gouvernement. En somme, ces mouvements « ne sont pas de nature à conduire le gouvernement à revenir sur ce qui a commencé à être mis en œuvre ».

Un regard froid et condescendant sur la situation, mais logique du côté de la gouvernance qui veut frapper vite, frapper fort. Gouverner d’une poigne de fer, par ordonnance, mettre l’État d’urgence dans la constitution, accélérer les processus parlementaire… se construire un pouvoir fort en capacité de faire franchir le plus rapidement possible à la France le tournant néo-libéral qu’elle n’a pas encore suivi jusqu’au bout.

Et c’est donc au moment où Macron se réunit avec ses petits copains gestionnaires de l’Union Européenne que celui-ci assène que ses réformes de privatisation du service public, de « flexi »-précarisation de l’emploi, de casse des statuts, seront menées jusqu’au bout. Macron dans sa parade tente ainsi, alors que sa base sociale n’a de cesse de se rétrécir, de réaffirmer sa détermination et son pouvoir.

Pour lui ces réformes sont « ce que nombre de nos partenaires, et en particulier l’Allemagne, attendaient depuis de nombreuses années, et à juste titre. Nous continuons à le faire et cela je crois renforce plutôt la crédibilité ». Pas encore passée, et déjà le président des riches se prépare à continuer son train infernale de réformes néo-libérales, inspiré directement du « modèle allemand », à grand coup d’austérité et de précarisation.

Macron dans son palais de l’Élysée peut se targuer de dire que les grévistes et les manifestations n’existent pas, à l’instar d’un Sarkozy qui expliquait en 2009 que « désormais, quand il y a une grève en France personne ne s’en aperçoit ». Les deux ont la même logique derrière ces déclarations chocs. Ils s’appuient sur un fait réel, le mouvement ouvrier en France a subit de lourdes défaites ces dernières années. Une certaine démoralisation est apparue après la défaite des retraites. De fait, Macron, comme Sarkozy à l’époque, veut nous démoraliser, nous laisser la tête sous l’eau.

En 95, c’est bien les grèves massives de cheminots et des fonctionnaires qui ont fait reculer Juppé et son plan de casse généralisé des retraites et des régimes spéciaux, en 2006, ce sont les mouvements conjoints des étudiants et des travailleurs qui ont fait retiré la création du CPE. Et il y a cinquante ans, à l’échelle internationale, c’est aussi l’alliance des étudiants et des ouvriers qui a ouvert une crise majeure dans le pouvoir des classes dominantes. Soyons certains qu’un blocage de l’économie impacte toujours. La question est, jusqu’où serons-nous prêts à impacter ce gouvernement ?

Crédit photo : vu sur actu.orange.fr

PAR REVOLUTION PERMANENTE

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Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Les travailleurs n'ont pas la mémoire courte!

Après le quinquennat Hollande abritant Macron aux finances, la loi de casse du code du travail El Khomri / Macron mise en route par les socialistes et les déclarations du nouveau patron du PS au lendemain même de l'élection présidentielle pas question de se laisser berner par la mise en scène d'une social-démocratie étrillée aux élections à la recherche d'une virginité que les travailleurs ne sont pas prêts de lui offrir!

Déclaration le 9 mai 2017 :
DIRECT. Au PS, "nous voulons la réussite de Macron. Nous souhaitons participer à cette majorité" dit @faureolivier
MANIF des CHEMINOTS le 22 mars

 

PAR FSC

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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