SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

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ALLIER : contre la répression syndicale rassemblement le 11 JANVIER !

Publié par FSC

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Michelin prévoit de supprimer 2.300 postes en France

Michelin a annoncé mercredi un projet de suppression de 2.300 postes d'ici trois ans en France, sans licenciement ni fermeture de site, dans le cadre d'un plan de «simplification et de compétitivité» de ses activités.

Le fabricant de pneumatiques Michelin a déclaré vouloir supprimer 2.300 postes en France, ce qui représente environ 11% de l'effectif du groupe dans le pays, où il emploie 21.000 personnes.

Michelin met en garde depuis plusieurs années sur les conséquences de l'arrivée en Europe de pneumatiques à bas coûts venus notamment d'Asie.

«Près de 60% des départs envisagés se feraient sur la base de départs anticipés à la retraite et le reste par des départs volontaires accompagnés», dit le fabricant de pneumatiques dans un communiqué, en promettant «une approche innovante de dialogue social».

Pour tout poste supprimé, le groupe s’engage «à contribuer à en recréer un autre, soit dans le cadre du développement de ses nouvelles activités, soit en prenant part à la redynamisation des bassins d’emplois (…)».

 

«Profondes transformations structurelles»

 

Le manufacturier français explique être confronté depuis une dizaine d’années «à de profondes transformations structurelles du marché mondial du pneumatique, marqué notamment par l’arrivée massive de produits à bas coûts».

«Le groupe doit donc accompagner les évolutions stratégiques de ses activités pour préparer l’avenir. C’est le cas notamment en France où la vitalité de ses positions passe par un renforcement significatif de sa compétitivité», explique-t-il.

Il compte ainsi «moderniser ses sites et renforcer son positionnement sur des pneumatiques haut de gamme et de spécialités, à haute plus-value technologique» et poursuivre «sa stratégie de localisation en France de nouvelles activités à forte valeur ajoutée, notamment dans les domaines des services, des matériaux durables, de la transition énergétique et du recyclage».

Michelin dit tabler sur une amélioration de sa compétitivité pouvant aller jusqu’à 5% par an pour les activités tertiaires et l’industrie.

 

Publié par fr.sputniknews.com

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Plan de relance : le Medef demande de nouvelles mesures pour les secteurs en difficulté
LR: Encore une fois, les grands patrons mettent en avant les petites entreprises – qu’ils pillent de mille manières – pour obtenir de nouvelles aides de l’Etat honni, quand ils savent bien qu’ils contrôleront tous les guichets  pour passer à la caisse et ensuite, de mille manières, les distribuer aux actionnaires et augmenter leurs salaires.
 
 
BOURSORAMA AVEC MEDIA SERVICES06/01/2021 
Pour certains secteurs, l’année 2021 s’annonce tout aussi « catastrophique » que 2020.

 

Geoffroy Roux de Bezieux à Paris, le 26 août 2020. ( AFP / ERIC PIERMONT )

Hôtels, événementiel, stations de ski… Les secteurs les plus en difficulté doivent être soutenus par un « deuxième volet » du plan de relance, a estimé mercredi 6 janvier le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux.

Le plan de relance de 100 milliards d’euros adopté fin 2020 « a été conçu pour réinvestir et réindustrialiser le pays (…) mais je pense qu’il faut le compléter avant l’été » par « un volet sur toute l’économie présentielle, c’est-à-dire l’économie qui souffre » aujourd’hui , a jugé Geoffroy Roux de Bézieux sur franceinfo . Si le plan « a plutôt bien démarré » jusqu’ici, « il n’y a rien (…) pour les hôtels, pour l’évènementiel, les stations de ski, pour tous ces gens-là, qui ont eu une année 2020 catastrophique et auront de nouveau une année 2021 catastrophique », a-t-il noté.

Par ailleurs, selon lui, il faudra « peut-être réfléchir à un moyen de faire sortir l’épargne », emmagasinée par de nombreux Français en 2020, qui ont réduit leur consommation durant les confinements ou par précaution et peur de l’avenir.
 
Jusqu’à 200 milliards épargnés par les Français

 

Selon la Banque de France, cette épargne a atteint 130 milliards d’euros l’an dernier et pourrait grimper à 200 milliards en 2021.

Si le président du Medef se dit défavorable à une baisse massive de TVA, il défend des mesures « ciblées » comme un chèque vert, tel que déjà proposé au printemps par le Medef, mais aussi par plusieurs économistes.

Revenant sur la réforme des retraites voulue par le gouvernement et mise en suspens pendant la crise, le patron du Medef a rappelé son opposition à une reprise des discussions d’ici 2022 sur l’instauration d’un régime par points.

En revanche, il a estimé que le débat sur une augmentation des trimestres de cotisations, comme en 2013 dans la réforme portée par Marisol Touraine, pourrait s’ouvrir avant la fin du quinquennat. « C’est une méthode assez juste car ça prend en compte l’âge de début de travail » et ne pénalise donc pas ceux qui ont commencé à travailler tôt, a estimé M. Roux de Bézieux.

 

Publié par anti-K

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VIDEO. Les raffineurs de
Grandpuits entrent en grève
reconductible : soutenez-les !

 

Lundi, les raffineurs de Grandpuits (77) en région parisienne ont arrêté la production et entamé une grève reconductible contre les 700 suppressions d'emploi que Total veut imposer sur le site. Pour les soutenir, n'hésitez pas à donner à la caisse de grève ou à vous rendre sur le piquet !

En grève !

Cliquez-ici pour donner à la caisse de grève !

 

 



 
Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
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Malgré sa participation active dans la gestion calamiteuse de la crise du coronavirus et alors qu'elle fait l'objet de différentes plaintes, Agnès Buzyn quitte la politique française pour rejoindre le cabinet du Directeur Général l'OMS.

Agnès Buzyn promue au cabinet du DG de l’OMS malgré sa gestion catastrophique de la crise sanitaire

Crédit photo : AFP

A 58 ans, Agnès Buzyn ancienne ministre de la santé d’Emmanuel Macron qui fut aussi candidate à la Mairie de Paris en pleine crise du Covid, quitte la France et la politique pour aller s’installer à Genève. Là-bas, elle sera au cabinet du Directeur Général de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), chargée des « affaires multilatérales », elle représentera le Directeur auprès de l’Union Européenne, du G7 ou encore de la fondation Bill et Melinda Gates, du milliardaire de chez microsoft.

Agnès Buzyn, c’est avant tout un bilan calamiteux au sein du ministère de la santé au regard de ce que la crise a pu montrer des exigences en termes de politiques de santé publique. L’ancienne ministre a participé à largement participé à laisser l’hôpital public à bout de souffle en poursuivant notamment les fermetures de lits pour maintenir ses objectifs budgétaires alors que la crise du Covid nous a cruellement montré le prix à payer du manque de moyens dans les hôpitaux à l’heure du réchauffement climatique. C’est d’ailleurs ce que lui rappelait le personnel hospitalier dès 2018, ne recevant à ce moment-là que le mépris de la ministre.

Aujourd’hui, l’annonce de sa nomination à l’OMS est d’autant plus scandaleuse qu’elle intervient alors que l’ancienne ministre est l’objet de plusieurs plaintes déposées depuis le début de la crise du Covid, dont une vient d’être instruite. En cause : sa gestion criminelle de l’épidémie.
La première plainte a été déposé par des médecins considérant que Buzyn et Philippe, à l’époque, « avaient conscience du péril et disposaient des moyens d’action, qu’ils ont toutefois choisi de ne pas exercer ». La ministre de la santé était en effet tout à fait au courant de la dangerosité du virus venu de Chine, mais n’avait pas toutefois pensé bon de mettre en place des mesures préventives à l’époque.

L’autre plainte est celle pour laquelle la commission d’enquête de la Cour de Justice de la République a décidé d’ouvrir une instruction tout dernièrement. Elle concerne un ancien malade du Covid, qui avait été atteint d’une forme grave de la maladie. Il décidé d’attaquer la ministre « pour l’organisation générale du système de santé » après s’être vu refusé son entrée en hôpital. D’après le plaignant, cette négligence a eu pour conséquence pour de lui faire passer plusieurs semaines de coma en raison d’un état de santé qui s’est dégradé suite au refus de l’accepter en hôpital.
Plus qu’une nouvelle carrière, le départ de Buzyn pour l’OMS ressemblerait presque à une immunité judiciaire renforcée pour l’ancienne ministre...

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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"L’argent magique" : 465
millions d’euros de prêt garanti
par l’État offerts à Lagardère

 

La multinationale s’est vu octroyer un prêt garanti par l’État de 465 millions d’euros. Un énième cadeau au patronat qui en dit long sur les priorités du gouvernement, alors que dix millions de personnes vivent officiellement sous le seuil de pauvreté en France.

 

Macron président des patrons

Selon le Journal officiel publié le dimanche 3 janvier, l’entreprise Lagardère se verra offrir un prêt garanti par l’État d’un montant de 465 millions d’euros. Les prêts garantis par l’État ont la particularité d’engager celui-ci à rembourser la majeure partie du crédit en cas de non-remboursement de la part de l’entreprise. Une fois de plus, les gains astronomiques des grandes entreprises restent de l’ordre du privé, mais les dettes elles deviennent publiques !

Plus scandaleux encore, cette nouvelle tombe deux jours après la suppression de 153 postes en Belgique par Lagardère Travel Retail, une branche de la multinationale spécialisée dans le commerce dans les aéroports et gares. En effet, comme le rapporte le site RTL Info, les salariés ont reçu en octobre un simple mail leur annonçant la fin de leurs contrats à compter du 1er janvier 2021. Même les négociations pour compenser ces licenciements ont été rejetées par Lagardère, estimant les propositions « trop chères ».

Cet énième cadeau au grand patronat illustre la politique économique menée par le gouvernement face à la crise économique accélérée par la pandémie : chouchouter les grands capitalistes, et faire payer la crise aux travailleurs et aux plus précaires. Alors qu’un million de personnes sont passées sous le seuil de pauvreté, le gouvernement distribuent des milliards d’euros aux grandes entreprises, tandis que celles-ci multiplient les plans de licenciements et de suppressions d’emploi.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Publié dans : #Notes d'information Cgt Unilever

Saisi en référé par la CGT, FO, FSU, le Syndicat de la magistrature ou le Syndicat des avocats de France, il devait statuer sur la légalité des décrets du ministère de l'Intérieur.

 

Il a débouté les demandeurs, invoquant que lesdits décrets ne portaient pas une atteinte disproportionnée à la liberté d'opinion, de conscience et de religion ou à la liberté syndicale. Souriez donc, vous êtes fichés!

Toutefois, les organisations précitées vont se pourvoir sur le fond devant le Conseil d'Etat.

En attendant, sur Médiapart, des preuves sur la police du préfet Lallement, sous les ordres de Gérard Darmlanin, ministre de la police et du fichage pour opinion politique et appartenance syndicale: Comment les forces de l’ordre ont saboté la manifestation du 12 décembre 2020 contre la loi "sécurité globale".

Du coup, une vue de l'Ancien régime: le peuple supportant la noblesse et l'église.

Il est vrai que les personnages ont changé en haut, mais le Tiers-état reste toujours en bas aujourd'hui. Non?

Le Conseil d'Etat valide le fichage pour opinion politique et appartenance syndicale

 

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

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À l’occasion du réveillon, une rave party a été organisée près de Rennes rassemblant environ 2 500 personnes. Si l’organisation d’une telle fête en plein rebond épidémique est discutable, la répression judiciaire et policière vise à taper un gros coup, en particulier sur les organisateurs présumés encourant jusqu’à 10 ans de prison. Dans le même temps, toute latitude est donnée à l’organisation d'une messe géante à Levallois-Perret ou du rassemblement de dédicace à Miss France où les distanciations sociales n’étaient pas respectées…

10 ans de prison encourus pour avoir organisé une free party, pendant que Miss France s’offre des bains de foule !

Crédits photo : France Bleu Armorique Evan Lebastard / @MattEgg182

Organiser des bains de foule pour une dédicace avec Miss France, une messe de Noël à Levallois Perret où près de 1500 personnes se sont côtoyées en lieu clos… Tout cela n’a semblé posé aucun problème sanitaire pour les autorités. Mais pour ce qui concerne la rave party à Lieuron près de Rennes, où 2 500 participants se sont réunis, le traitement semble quelque peu différencié…

Au total, plus de 1 600 verbalisations ont été adressées sur un total de 2 500 teuffers, selon un tweet de Gérald Darmanin. Plusieurs personnes ont également été placées en garde à vue, tandis que le procureur de la République, Philippe Astruc, annonçait dans un communiqué la possibilité d’une peine « de 10 ans d’emprisonnement » pour les organisateurs présumés. Un "deux poids deux mesures" flagrant dans la gestion sanitaire répressive et une "exemplarité" qui illustre la volonté des autorités judiciaires de fustiger la jeunesse, notamment celles du mouvement free party.

Comme le répertorie Nantes Révoltées, les motifs invoqués sont pléthoriques : organisation illicite d’un rassemblement festif à caractère musical ; occupation illicite du terrain d’autrui ; mise en danger de la vie d’autrui ; violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique ; dégradation de biens d’utilité publique ; dégradation du bien d’autrui en réunion ; travail dissimulé ; tenue illicite de débit de boisson ; infractions à la législation sur les stupéfiants et notamment la facilitation de l’usage.

Mais ce "deux poids deux mesures" n’est que l’expression d’une gestion répressive qui court depuis le début de l’épidémie, un comble pour un gouvernement qui a menti pour cacher son incapacité à fournir rapidement un stock de masque à la population et au personnel médical, qui a échoué à mettre en place une politique de dépistage efficace et rapide.

La répression à l’encontre de cette rave party, qui vise en premier lieu les jeunes, touche une partie de la population déjà sacrifiée par cette crise sanitaire. Le gouvernement sacrifie des vies et réprime en toute impunité sur l’autel de l’économie. Il se sert de cette fête comme d’une occasion de montrer son intransigeance concernant le respect des consignes sanitaires, alors qu’il ne fait que poursuivre sa politique répressive et criminelle.

Les travailleurs et les jeunes sont en première ligne des politiques désastreuses du gouvernement. Face à cette gestion criminelle, liberticide et inégalitaire de la crise sanitaire, il est nécessaire d’exiger la fin des mesures répressives et liberticides du gouvernement.

 

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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