SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
NON À LA RÉPRESSION SYNDICALE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Au lendemain d'une journée de colère populaire, contre la réforme du système de retraites, réforme qui priverait chaque salarié du bénéfice de deux années  de repos bien gagné, le moment ne serait-il pas venu de s'interroger sur les conditions misérables  dans lesquelles des millions de retraités vivent leur quotidien, après une vie d'activité, souvent précaire?

Posons-nous la question : la seconde vie de repos après celle passée au travail, doit-elle se poursuivre en aggravant encore plus ses conditions d'existence ?

Car combien de millions de retraités sont-ils aujourd'hui, avec leurs pensions, à même de pouvoir à la fois, se chauffer, s'éclairer et se nourrir normalement, tout en payant les charges d'un loyer, pour eux, exorbitant ?

Pensons aux personnes seules, souvent veufs ou veuves, avec les maigres moyens de leur seule retraite ?

Ne serait- pas venu le temps de légiférer pour faire en sorte que le montant des pensions servies permette à chacun de vivre normalement dans un pays comme la France ?

À cette interrogation, Macron et son clan font dire par leurs médias obéissants que ces mesures feraient exploser les caisses des retraites, et que le budget national n'y suffirait pas, avec l'endettement qui pèse sur nos finances.

Pourtant, le président de la République annonce un budget des armées de 413 milliards d'euros, de l'an prochain à 2030. 

413 milliards pour l'OTAN et combien pour les rémunérations ?

Dès aujourd'hui, les ressources nouvelles pourraient être trouvées en réformant le Code des impôts.

Ne dit-on pas, pour s'en réjouir, dans les médias patronaux, que l'activité du luxe était devenue l'industrie la plus rentable dans la France d'aujourd'hui, et que partant, son grand patron Bernard Arnault, pouvait de flatter d'être l'homme le plus riche du monde, avec une fortune qui égale le budget recette de la France...

Lui et les capitaines d'industrie, les administrateurs des sociétés du CAC 40, bénéficiaires de rémunérations millionnaires et de montagnes de dividendes, accumulent des fortunes à faire pâlir Ali Baba et sa caverne merveilleuse.

Sans parler de la clientèle attitrée de Givenchy, de Louis Vuitton et de Dior, les habitués de l'hôtel Ritz, des yachts et des jets privés, tous ces gens riches à milliards, pourraient payer de quoi satisfaire les victimes des bas salaires et des pensions de misère...

Pas en payant seulement des tranches d'impôts supplémentaires, mais en faisant en sorte, par exemple, que ceux qui touchent un SMIC par jour ou davantage, se voient régler au fisc la totalité du surplus de revenus excédant une somme déjà rondelette de, par exemple, trente fois le SMIC, celui-ci étant confortablement relevé pour les salariés et les retraités et garanti par une échelle mobile.

Car ce qui compte, c'est ce qui vous reste après impôts, pour vivre dignement.

N'est-ce pas là le combat des syndicats ?

JEAN LÉVY

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Illustration du logo Unilever. /Photo réalisée le 17 janvier 2022/REUTERS/Dado Ruvic DADO RUVIC

Illustration du logo Unilever. /Photo réalisée le 17 janvier 2022/REUTERS/Dado Ruvic DADO RUVIC

 

(Reuters) - Unilever a annoncé lundi la nomination de Hein Schumacher au poste de directeur général à partir du 1er juillet, en remplacement d'Alan Jope.

Hein Schumacher, 51 ans, a rejoint le géant des biens de consommation en octobre dernier pour occuper le poste de directeur non exécutif et est actuellement le directeur de la société néerlandaise de produits laitiers FrieslandCampina.

Le fabricant du savon Dove et des glaces Ben & Jerry's avait déclaré en septembre que son directeur général actuel Alan Jope prévoyait de quitter le groupe fin 2023. Hein Schumacher, anciennement chez Royal Ahold, a également travaillé pour H.J. Heinz pendant une décennie aux États-Unis, en Europe et en Asie.

L'investisseur activiste Nelson Peltz, directeur général et co-fondateur de Trian, a déclaré soutenir fermement la nomination de Hein Schumacher et se réjouir "de travailler en étroite collaboration avec lui pour créer une valeur durable significative pour les parties prenantes". Nelson Peltz a rejoint le conseil d'administration d'Unilever en juillet.

"J'ai rencontré Hein (Schumacher) pour la première fois lorsque j'étais directeur de la société H.J. Heinz de 2006 à 2013 et j'ai été impressionné par ses qualités de dirigeant et son sens des affaires", a-t-il déclaré.

(Reportage Yadarisa Shabong ; version française Dagmarah Mackos, édité par Kate Entringer)

eb : Jean-François Blanchet, Directeur Général de BRL présente les travaux de sécurisation et d'étanchéité du pont bâche de Saint Gilles 

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

REPRIS du site Le blog de Roger Colombier

Pour le 31 janvier, sans commentaire ou presque
Pour le 31 janvier, sans commentaire ou presque

Sinon, j'ai ça, dit par les commis du capital:

Pour le 31 janvier, sans commentaire ou presque

En attendant...

Pour le 31 janvier, sans commentaire ou presque

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
31 janvier : tsunami pour le retrait 
 
Après la vague du 19 janvier place au tsunami social pour refuser la retraite Macron et défendre d’autres choix que la régression sociale. Tous ensemble montrons notre colère et notre détermination à ne pas laisser passer cette réforme injuste.
31 janvier : tsunami pour le retrait

Publié par Info'Com-CGT

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26 janvier. La grève des raffineurs, énergéticiens et dockers doit servir à construire la reconductible !

Alors qu'une nouvelle journée de grève interprofessionnelle se prépare le 31 janvier, la perspective d'une grève reconductible large reste encore à construire. Pour cela, il faut accumuler des forces et convaincre largement que seule une telle stratégie permettra de gagner. La grève des raffineurs, électriciens et gaziers ce 26 janvier doit servir en ce sens.

Retraites

Crédits photos ©Archives MB-76actu

Ce jeudi 26 janvier, plusieurs fédérations syndicales seront en grève contre la réforme des retraites. L’appel à la grève de l’ensemble des syndicats CGT de la branche pétrole de la FNIC, initialement pour 48h, a en effet été rejoint par la CGT Energie et la CGT des Ports et Docks. Dans ces secteurs, la journée de grève devrait être suivie après une première journée de mobilisation très réussie dans la pétrochimie et chez EDF le 19 janvier. Le port du Havre sera également très probablement bloqué par les dockers.

Une journée menée par plusieurs secteurs qui ont la particularité de défendre l’enjeu d’une grève reconductible pour faire plier le gouvernement. En effet, la mobilisation de demain s’inscrit dans le calendrier posé par les raffineurs, qui, dès le 11 janvier, ont posé la nécessité d’une grève reconductible pour faire reculer Macron. Un calendrier rejoint le 20 janvier par la CGT-Energie.

La stratégie dénote, alors que l’intersyndicale n’a appelé qu’à une journée de grève isolée le 31 janvier, après la journée historique du 19 janvier. En effet, l’intersyndicale table sur la fragilité institutionnelle de Macron pour faire retirer la réforme par de simples journées massives. A l’inverse, les appels des raffineurs, électriciens, gaziers ont l’intérêt de poser la question de la construction d’un rapport de forces par la grève, dans la durée.

Dans ce cadre, la journée de demain doit être l’occasion de défendre cette perspective, en la popularisant auprès des secteurs mobilisés le 19 janvier mais aussi de toutes celles et ceux qui n’ont pas encore rejoint le mouvement, et en affirmant qu’il est possible de gagner. Car si la CGT pétrole et la CGT Energie posent une question centrale, il est fondamental de briser leur isolement.

En effet, en l’absence de soutien d’autres secteurs du mouvement ouvrier, et particulièrement dans ses principaux bastions (SNCF, RATP, Éducation Nationale, La Poste), la grève reconductible pourrait avorter, les raffineurs ayant insisté sur le refus d’une « grève par procuration ». Par ailleurs, si les deux secteurs partent seuls en grève reconductible, cela risque de les affaiblir, et permettre, comme en 2010, au gouvernement de passer en force malgré tout.

Dans les deux cas, la clé pour éviter deux scénarios qui seraient une impasse réside dans une politique d’extension du mouvement. Dans ce cadre, la journée de grève du 26 janvier doit servir à étendre et renforcer le mouvement, en s’adressant à d’autres secteurs du mouvement ouvrier, des travailleurs précaires aux secteurs centraux, et de la jeunesse pour faire du 31 janvier une grève plus suivie que le 19 et surtout pour préparer une grève reconductible dès le 6 février. Pour cela, des actions envers les autres secteurs seront décisives, de même qu’une politique d’interpros, qui permette de poser les jalons de coordinations locales entre les secteurs.

Au Havre, les UL CGT du Havre et de Harfleur ont par exemple proposé aux grévistes d’aller jeudi devant les lycées et l’université pour mettre en branle le mouvement étudiant. Un exemple à suivre et à multiplier en direction d’autres secteurs - professeurs, intérimaires, sous-traitants, entreprises du privé, … - pour dépasser les stratégies de la défaite. Seul un mouvement de grève reconductible large permettra de gagner !

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Grèves, blocages et AG du secteur de l’énergie en Gironde : préparer le 31 janvier en reconductible

Ce jeudi 26 janvier, les 33 sites des entreprises des Industries électriques et gazières de Gironde étaient en grève pour préparer la date de mobilisation nationale du 31 janvier contre la réforme des retraites. Une action de blocage était organisée à la Centrale EDF de Blaye et dans le même temps une AG réunissait près de 150 énergéticiens à Eysines pour décider des suites de la grève. Ils ont unanimement voté la reconduction de la grève à partir du 31 janvier.

 

Les 33 sites des entreprises des Industries électriques et gazières de Gironde étaient en grève ce jeudi 26 janvier dans le cadre du plan de bataille de 48h puis 72h de grèves et d’actions publié par les raffineurs et rejoint par la Fédération CGT Mines et Énergies.

Les énergéticiens grévistes ont ainsi organisé un blocage de la centrale EDF à Blaye, action interprofessionnelle puisqu’une délégation de dockers les a rejoints.

Dans le même temps, une Assemblée Générale des grévistes était appelée par la CGT Energies 33 sur le site d’Enedis à Eysines. Cette AG a réuni près de 200 grévistes, syndiqués et non-syndiqués, de différentes entreprises électriques et gazières (Enedis, GRDF, EDF, Régaz, Gaz de Bordeaux, Serval, RTE).

L’AG s’est ouverte par des interventions sur la situation et les perspectives de la mobilisation, comme celle de Vanessa, représentante syndicale de la CGT Energies 33.

L’AG a ensuite soumis au vote deux propositions qui ont chacune été votées à l’unanimité. Les grévistes ont d’abord voté la reconduction de leur grève à partir du 31 janvier, et ensuite « la reprise en main de l’outil de travail ». Cette seconde résolution implique le contrôle des travailleurs sur les outils de production, de transport, ou de distribution de l’énergie : concrètement les grévistes ont directement coupé l’électricité sur l’ensemble du site Enedis d’Eysine, mais ils ont également réaffirmé qu’ils pourraient faire des « coupures ciblées » ou mettre en place toute action qui « rétablisse l’électricité pour les personnes en situation de précarité énergétique » à l’image de la CGT Energies 13 qui a réduit les tarifs de l’électricité pour les boulangers.

Enfin, l’Assemblée Générale des énergéticiens a reçu des délégations étudiantes, de l’éducation nationale et de la santé, venues afin de nouer des liens inter-secteurs et interprofessionnels comme le revendique Marie-Laure Charchar dans une intervention durant l’AG.

Les énergéticiens sont déterminés à durcir le mouvement contre la réforme des retraites et préparent les perspectives d’une grève reconductible dès le 31 janvier pour faire plier le gouvernement jusqu’au retrait de sa réforme.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Tous dans la rue

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Vive les Robin des bois. La CGT qu'on aime
Macron retire ton projet !
BLOCAGE CONTRE LA RÉFORME
Début d'une grève de 48h dans les ports, centrales électriques et raffineries. Ici à, Bayonne les manifestants bloquent tous les camions (les voitures peuvent passer)
Images France Bleu Pays Basque

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Publié par EL DIABLO

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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