SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Grève pour les salaires à Sanofi : « il y a un black-out des médias français »

Depuis le 14 novembre, les salariés du groupe pharmaceutique Sanofi sont en grève. Et malgré un mouvement très suivi et 16 sites mobilisés, les grandes chaînes continuent de passer la grève sous silence.

Médias

Crédits photos : CGT Sanofi

« Il y a un blackout volontaire des médias français, il y a une vraie censure » dénonce Jean-Louis Peyren, coordinateur CGT à l’échelle du groupe. Pour lui, comme pour d’autres salariés, il y a un sentiment de colère face à la couverture médiatique de leur grève. Alors que le nombre de grévistes oscille entre 2500 et 4000 selon les syndicalistes, force est constater que les grandes chaînes d’infos ont boudé la chaîne, TF1 et France 2 en tête, les deux journaux télévisés les plus regardés. Un black-out d’autant plus assourdissant que la grève concerne le sujet qui inquiète le plus la population : celle des salaires et de l’inflation. En effet, les salariés se battent pour des augmentations de 500€ pour tous et 10% d’augmentation, indexés sur l’inflation.

Le coordinateur de la CGT, opérateur sur le site de Sisteron (Alpes de Haute Provence) explique pourtant avoir contacté différents médias, à commencer par le service public et France 2. « Je suis rentré en contact avec la médiatrice de France TV et France 2 qui me renvoie aux chaînes France 3 locales. Cela nous pose un problème : on a quand même 16 sites en grèves, avec des blocages sur certains d’entre eux, il y a un silence radio. On est une des plus grandes entreprises du CAC40, Sanofi ce n’est pas le petit Poucet ».

Quelques articles sont cependant sortis, notamment dans la presse locale, dans L’Humanité ou encore dans nos colonnes. Mais chez les grands groupes de presses, rien : ni Le Monde, ni Libération, ni Le Figaro, ni Les Echos, ni même Médiapart (qui n’a que republié une brève de l’AFP) n’ont écrit sur une grève qui ébranle pourtant le premier groupe pharmaceutique français.

Jean-Louis Peyren, entré dans la boîte en 1996, dénonce par ailleurs le double discours du gouvernement : « on a un président de la république qui demande aux entreprises de faire des efforts pour les salaires, mais de l’autre, il nous envoie les CRS face aux salariés qui étaient rassemblés devant le siège de Gentilly. Le discours présidentiel est largement partagé et diffusé par les médias nationaux avec Macron qui veut passer pour le chevalier blanc en demandant des efforts aux entreprises : ce n’est qu’une opération de manipulation de masse. » Une fois de plus, les médias bourgeois montrent clairement leur caractère de chien de garde de la bourgeoisie. Déjà, lors de la grève chez Exxonmobil et Total, les médias avaient ignoré le mouvement pendant près de 10 jours avant que les pénuries n’arrivent. Faudra-t-il attendre une pénurie de Doliprane pour que les médias s’emparent de la grève ?

Seize sites du groupe sont maintenant à l’arrêt selon le syndicaliste, qui ajoute que deux nouveaux sites devraient être bloqués par les salariés dès la semaine prochaine, afin de durcir le rapport de force.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
LA RETRAITE À 65 ANS ANNONCÉE PAR E. BORNE, ÇA SENT UN COUP DE TRUAND : LE 49.3 VITE FAIT DÈS JANVIER À L'ASSEMBLÉE !

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

 

Il y a encore quelques semaines, Macron rassurait les Français : "Des coupures de courant ne seraient envisagées au pire que si un froid trop vif paralysait la France en janvier prochain3.

 Aujourd'hui, les infos officielles des autorités font part d’un plan de coupures ciblées et répétées aux heures de pointe, annoncées dans les heures précédant ses opérations de délestage.

Europe 1

Le gouvernement a élaboré un plan de délestage en cas de tensions sur le réseau électrique cet hiver. Des coupures de courant seront alors orchestrées par RTE et dureront environ deux heures pendant les pics de consommation. Une solution qui fera néanmoins office d'ultime recours.

L'hiver 2023 pourrait s'accompagner de quelques tensions sur le réseau électrique, conséquence directe de l'arrêt de plusieurs réacteurs nucléaires pour dysfonctionnement ou maintenance. Une hypothèse que n'a pas écarté Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement. "Il se pourrait que cette année, et je veille ici à l'usage du conditionnel, la production et la demande en électricité ne soient pas totalement alignées certains jours de grand froid", a-t-il déclaré ce mardi.

Car, comme aime à le répéter Emmanuel Macron, "Nous sommes en guerre !", pour justifier les décisions gouvernementales punitives prises à l'encontre de la population.

Mais cette fois, nous sommes effectivement en guerre, et c'est Macron et son plan qui l'ont déclenchée, en frappant la Russie de sanctions, visant rendre ce pays exsangue, en asséchant leurs exportations de gaz et de pétrole.

Cela, en riposte à l'intervention armée de Moscou en Ukraine. Et de fournir en nombre aux autorités ukrainiennes des armes les plus sophistiquées, prises sur les stocks réduits de l'armée française, de former à leur maniement les soldats ukrainiens et de réparer les armes usées ou abimées dans les combats. 

C'est ainsi que le pouvoir élyséen s'est placé délibérément dans la position de belligérant, sanctionnant par les sanctions sur l'énergie en premier le peuple français d'une part de ses sources 'énergie.

D'où son plan de restrictions annoncées aujourd'hui.

"Il s'agit de sanctions prise par Bruxelles, que nous appliquons", justifie l'Elysée, sans dire que l'Union européenne se soumet à la politique de l'Otan, le bras armé des Etats-Unis...

D'autre part les mesures annoncées par l'Elysée, le plan de coupures d'électricité, à pour raison la politique énergétique suivie par Macron.

N'est-ce pas le président qui a fermé le site nucléaire de Fessenheim en Alsace réduisant la production globale d'électricité de la France ?

N'est-ce pas le président qui a privatisé les services de maintenance, assurés régulièrement jusqu'à là par les spécialistes de l'EDF, alors qu'aujourd'hui nombre de centrales sont à l'arrêt relatives à la dégradation de ces sites ?

Enfin, les directives mises en œuvre par le pouvoir - le plan de coupures programmé pour cet hiver - rappellent les dispositions de la défense passive prévus lors de la "drôle de guerre" en 1939/1940 par les gouvernements de l'époque, montrant alors leur totale inefficacité.

 

JEAN LÉV

Publié par EL DIABLO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Grève à Leclerc. L’autoproclamé « meilleur employeur de France » face à la colère de ses salariés

Chez Leclerc, une grève nationale est appelée ce 2 et 3 décembre pour une augmentation des salaires de 10 %. Michel-Édouard Leclerc, patron très médiatique de l'enseigne qui s'érige hypocritement en grand défenseur du « pouvoir d'achat », voit ainsi ses salariés dénoncer des « payes de misères ».

Grèves pour les salaires

Crédits photos : GEORGES GOBET / AFP

Deux jours de mobilisation nationale pour les salaires

Ce vendredi et samedi, la CGT et la CFDT ont appelé les 133 000 salariés de Leclerc à une grève nationale pour une augmentation de 10 % des salaires, mais aussi pour le renforcement des effectifs avec « des recrutements massifs et avec des CDI ». « C’était la première fois qu’il y avait un appel à la grève nationale et intersyndicale, c’est inédit pour les travailleurs de Leclerc. Un magasin sans aucune base syndicale s’est même mis en grève de lui-même » nous explique Karine Maupetit, référente du collectif Leclerc CGT et élue CSE du magasin de Menneval.

Vendredi matin, plusieurs rassemblements étaient organisés devant les magasins comme au Leclerc de Menneval dans l’Eure. Une mobilisation qui met au centre la question des salaires avec 10 % d’augmentation, une revendication qui s’inscrit dans la lignée de la grève des raffineurs il y a quelques semaines, après laquelle de nombreuses grèves ont commencé à revendiquer des augmentations supérieure à l’inflation.

 
Une grève contre l’hypocrisie du « patron préféré des Français »

Si les grévistes reprennent la revendication portée par les raffineurs de Total, c’est un véritable pied de nez à leur patron, Michel-Édouard Leclerc. En effet, ce dernier avait hypocritement « soutenu » la grève des raffineurs en octobre et se pose en grand défenseur du pouvoir d’achat dans les nombreuses sorties médiatiques. Pourtant, si ce jeu hypocrite lui vaut d’être qualifié de « patron préféré des Français » en 2021 selon le magazine Forbes, les grévistes de Leclerc viennent rappeler la réalité d’un patron qui exploite durement ses salariés et les répriment quand ils osent contester la politique de l’entreprise.

Ainsi, Karine Maupetit entend bien « interpeller Michel-Édouard Leclerc. On le voit tous les jours, il se fait passer pour le meilleur employeur de France, alors qu’on vit des conditions de travail terribles. De quel dialogue social il parle quand on n’a même pas le droit de parler […] Il a le culot de dire qu’il soutient la CGT de la pétrochimie quand ils réclament leur dû, et bien nous aussi, on réclame notre dû maintenant ».

De plus, le président de l’enseigne la plus rentable de la grande distribution française déclare sur les plateaux télé que chaque magasin Leclerc reverse 25 % du bénéfice à ses salariés et que ceux-ci recevrait même un 13e, voire un 14e mois… Cependant, la réalité vient contredire ces affirmations. En effet, depuis septembre, le groupe est assigné aux prud’hommes par soixante-quatre salariés ou anciens salariés du magasin Leclerc de Montbéliard qui lui reprochent de ne pas avoir appliqué une charte obligeant le magasin à verser à ses salariés 25 % de ses bénéfices nets avant impôts. Pourtant, c’est cette charte que Michel Édouard Leclerc revendique pour parader sur tous les plateaux télé.

À l’inverse, les salariés connaissent des payes de misères comme le raconte Karine Maupetit : « On a énormément de turn-over, et quand on réclame une prime d’ancienneté, on nous dit qu’il n’y a pas de rapport entre les compétences et l’ancienneté. Une collègue qui a 27 ans d’ancienneté touche seulement 19 centimes de plus que le SMIC, ce n’est pas normal. Ajouté à cela le sous-effectif dû au turn-over et aux accidents du travail, avec cinq à six démissions par mois cette année, c’est un véritable enfer ce qu’on vit  ».

Aussi, l’élue CGT dénonce une répression syndicale importante : « On est deux des trois représentants syndicaux actuellement en procédure de licenciement ». Elle a saisi l’inspection du travail pour dénoncer un « harcèlement par le directeur et d’autres représentants de la CFDT ». Suite à ça, la répression syndicale s’est intensifiée : «  Au mois de septembre, j’ai commencé à recevoir des rappels à l’ordre, en m’accusant de violences psychologiques sur mes collègues des jours où je ne travaillait même pas, et aujourd’hui je suis en procédure de licenciement  ». Elle précise aussi que ces attaques ne sont pas sans réflexion : « Les élections professionnelles ont lieu en avril prochain, ils veulent nous évincer ».

La grève des salariés de Leclerc vient donc mettre en lumière toute l’hypocrisie de leur patron et montre la voie à suivre pour lutter contre l’inflation. Contre les grandes tirades médiatiques de Michel Edouard Leclerc qui annonce que pour faire « face à l’inflation, nous allons remettre plus de premiers prix dans les rayons », l’augmentation des salaires à minima à hauteur de l’inflation reste la seule solution viable. Ainsi pour obtenir gain de cause face à un patronat prêt à tout pour défendre ses profits, la grève reste la seule voie à suivre.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Vu à Envoyé spécial le jeudi 1er décembre,  plus de 30% des personnes ayant droit  ne réclament même pas leur dû !!!

Publié par CGT FACEBOOK COMPIEGNE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Délestage et coupure d’électricité : « on paie les conséquences des politiques de l’énergie »

Alors que l'hiver approche, le Gouvernement prépare depuis plusieurs jours les esprits à des risques de coupures d'électricité. Interrogé par nos soins, un salarié de l'Energie, mais aussi militant au syndicat CGT Energies 33, nous en dit plus.

Crise énergétique

Photo : GUILLAUME SOUVANT / AFP

En cette première semaine de décembre, le risque de coupures d’électricité est un scénario que l’exécutif semble envisager de plus en plus sérieusement. « Il se pourrait que certains jours de grand froid, la consommation et la production ne soient pas alignés », a par exemple reconnu Olivier Véran en sortie du Conseil des ministres de ce mardi. Plus explicite, Élisabeth Borne a expliqué lors de ce dernier la possibilité de réaliser des « opérations de délestage » pour assurer l’équilibre global des réseaux électriques. Le gouvernement a adressé dans ce sens une circulaire aux préfets expliquant les protocoles qui s’en suivront. Concrètement les écoles pour être amené à fermer le matin, et des trains annulés en cas de coupure d’électricité.

Nous avons interviewé Romain Cazeneuve, salarié de l’Energie et syndiqué à la CGT Energies 33, à propos des conséquences que pareilles mesures pourraient engendrer. Les opérations de délestage « consistent à couper une partie du réseau pour limiter la tension et éviter que l’ensemble du réseau ne lâche. Concrètement, sur des zones géographiques délimitées, des quartiers, des villes, le courant peut être coupé durant 2 heures durant les pics d’activités en priorité chez les industriels (gros consommateurs), les professionnels et enfin chez les particuliers. » explique-t-il.

Si Elisabeth Borne a indiqué que ces « opérations » seraient cantonnées à certaines plages horaires, entre 8 heures à 13 heures et 18 heures et 20 heures. Pour Romain, celles-ci peuvent être à l’origine de risques multiples : « Ces coupures arrivent souvent au moment du repas, au moment où on allume le chauffage, la cuisine, les appareils à puissance élevée, ... En d’autres termes, elles peuvent aggraver des situations sociales déjà mises à mal. Plus largement et plus grave encore, cela ouvre des situations complexes comme celle des personnes dépendantes d’appareils respiratoires à domicile. Si ces derniers font l’objet de signalement au niveau de la préfecture, espérons pour la vie de celles-ci qu’il n’y aura aucune erreur d’identification. »

À ce titre, pour lui, « le gouvernement est hors-sol. », et si l’arrivée de l’hiver et du froid dès la semaine prochaine constitue un premier test, « on paie les conséquences des choix politiques sur l’énergie de ces dernières années et de la déréglementation des prix ».

Pour Romain Cazeneuve, le scénario possible des coupures d’électricité trouve également sa source dans « le manque d’entretien des centrales nucléaires et des faibles investissements dans les moyens de production. Le gouvernement est aujourd’hui obligé de revenir sur certaines de leurs décisions, comme celle de réouvrir la centrale thermique de Saint-Avold qui venait à peine de fermer. »

Dans un contexte de crise énergétique où les prix de l’électricité et du gaz s’envolent, la précarité énergétique risque d’atteindre des sommets particulièrement pour les classes populaires. Pour lui, « la vague de froid à venir met en évidence les dangers évoqués il y a 20 ans par la CGT : nous avons toujours considéré l’énergie comme un bien de première nécessité qui n’aurait jamais dû être servi aux mains du capital et aux appétits des financiers. En fait, malgré le contexte de crise énergétique, les énergéticiens avec en-tête TOTAL se gavent sur le dos des usagers. »

En complément de cette situation structurelle, vient la question de l’augmentation des salaires des travailleurs qui créés la richesse et l’amélioration de leur condition de travail. Alors que plusieurs mobilisations dans les secteurs de l’Energie ont lieu actuellement, comme à GRDF et à RTE, le gouvernement et le patronat n’hésitent pas à pointer du doigt la « responsabilité » des grévistes. Romain est clair, « ces grèves ont forcément des impacts sur les usagers, et nous le regrettons. Mais les seuls et uniques responsables de ces situations sont bien les directions de ces entreprises ».

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
UMIAMI rachète une usine UNILEVER pour y installer son premier site de production de “viande végétale made in France”

La startup, innovante et engagée, prend la suite d’un des leaders mondiaux de l’agroalimentaire. Opérationnel au second semestre 2023, le site créera 65 emplois dès 2023 et vise 200 emplois qualifiés à terme.

Après avoir annoncé en avril dernier une levée de 26,5 Millions d’euros et en juin l’ouverture de son centre de R&D et pilote industriel en Ile-de-France, la start-up de la foodtech spécialisée dans la fabrication d’alternatives végétales à la viande met le cap à l’Est pour installer son 1er site de production à Duppigheim (à une quinzaine de kilomètres de Strasbourg).

Installé sur 3,7 hectares de terrain, le bâtiment de 14 000 m2 abritera dès le second semestre 2023, la première usine au monde capable de produire à grande échelle n’importe quel type de filet de viande et de poisson en n’utilisant que des plantes. S’appuyant sur une technologie unique et brevetée, UMIAMI produira 7500 Tonnes par an et par ligne de production en vitesse de croisière. À terme, l’usine pourra produire jusqu’à 22 000 tonnes d’alternatives végétales à la viande et au poisson.

Le choix de l’Alsace

Avec son positionnement stratégique au cœur de l’Europe, premier marché d’UMIAMI, la proximité de ses principales sources d’approvisionnement en matières premières, le savoir-faire et la culture industrielle de la région, ont fait de l’Alsace une destination de choix pour les fondateurs de l’entreprise et leurs équipes.

En choisissant l’ancien site industriel « Knorr » (marque du groupe Unilever) à Duppigheim, les dirigeants de l’entreprise ont également pris le parti de valoriser certains équipements existants et d’avoir ainsi un impact environnemental plus vertueux qu’une construction d’usine ex-nihilo.

Un projet industriel soutenu à échelle locale et nationale
Grâce à l’appel à projets « Première Usine », UMIAMI bénéficiera d’une aide de 7,4M€ octroyée par l’Etat pour compléter le financement des investissements nécessaires à l’implantation industrielle.

Le projet est également soutenu par la région Grand-Est qui souhaite accompagner le financement du projet d’industrialisation à hauteur de 3M€, de manière à pérenniser les activités d’UMIAMI sur son territoire.

Toutes les collectivités territoriales nous ont accueilli avec un professionnalisme et un enthousiasme hors du commun, soulignant l’union sacré de tous les bords politiques pour favoriser le dynamisme économique et industriel local. Le savoir-faire industriel de la région et le positionnement stratégique au cœur de l’Europe nous ont convaincus que l’Alsace était propice à notre développement. Nous sommes ravis de pouvoir ainsi contribuer à la création d’emplois locaux et à la souveraineté alimentaire nationale en nous implantant à Duppigheim. Tristan Maurel, CEO, cofondateur.

Une technologie exclusive pour des produits innovants

UMIAMI a développé un produit 100% végétal qui imite en tout point la viande (goût, texture, couleur, jutosité..) pour accompagner la transition alimentaire des consommateurs, habitués à déguster et cuisiner ces produits depuis l’enfance. Pour ce faire, les équipes UMIAMI ont développé l’umisation, une technologie inédite de texturation des protéines qui permet, à partir de matrices végétales, d’obtenir une texture fibreuse et de définir la taille, le sens et l’épaisseur des fibres obtenues. Grâce à l’umisation, il est désormais possible de produire une pièce entière et épaisse, 100% végétale, dotée de fibres s’apparentant à celle de la viande.

Fruit de deux années de recherches et de développements, le produit a atteint un niveau de qualité gustative et de texture sans égal sur le marché. Les nombreux tests de consommateurs ont obtenu d’excellents scores de satisfaction.

La volonté de l’entreprise de proposer un produit sain, simple et respectueux de l’environnement, a permis grâce à sa technologie propre, de limiter à sept ingrédients (contre une bonne quinzaine à vingt pour des démarches comparables) la composition de ses produits. Une performance qui s’inscrit dans la démarche éthique « clean label ».

Les produits que nous proposons s’appuient sur une technologie totalement innovante. Il se doivent d’être parfaits tant pour le plaisir gustatif que pour leurs qualités nutritionnelles et la régularité de la qualité dans le temps. Le passage à une production industrielle ne pouvait supporter le moindre écart. Nous l’avons peaufiné pendant des mois dans notre usine pilote pour un résultat dont nous pouvons être fiers. Reechad Benyahia, Chief Operating Officer.

Une histoire de conviction et d’engagement

Les fondateurs, Martin, écologiste convaincu et Tristan, fervent défenseur de la cause animale, se sont rencontrés en classes préparatoires au Lycée Sainte Geneviève. Leurs chemins se sont recroisés alors que Martin était à HEC et Tristan à Centrale Paris, deux écoles du Plateau de Saclay. Convaincus que réduire la consommation de viande dans le monde était un moyen incontournable pour lutter contre le réchauffement climatique et la maltraitance animale, ils se sont lancés le pari fou de concevoir des produits alors inexistants sur le marché : des alternatives végétales aux filets de viande et de poisson, qui imitent toutes propriétés désirables (goût, nutrition, prix), sans les aspects indésirables (épuisement des ressources, émissions de gaz à effets de serre, maltraitance animale, cholestérol, résistance aux antibiotiques etc.) Pour réaliser cela, ils réalisent leur thèse de master sur une technologie inédite de texturation, l’Umisation, en collaboration avec les unités de recherche de Centrale Paris, l’Université Technique de Munich et AgroParisTech.

Fort de ses engagements, UMIAMI se fixe également la mission d’épargner 300 000 tonnes de CO2 dans les 10 prochaines années par rapport à de la production de volaille.

A propos de UMIAMI
Fondée en 2020, UMIAMI propose des alternatives aux produits carnés et de la mer pour réduire l’impact de l’élevage (15% des émissions de CO2 mondiales) sur le réchauffement climatique et les effets de l’élevage intensif sur le bien-être animal et la santé humaine. La société, basée en Ile-de-France, a développé un procédé de production innovant de viande à base de protéines végétales qui permet de créer des morceaux entiers de viande végétale, épais et fibreux, sans agent de texture artificielle.

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
RETRAITE À 65 ANS, BAISSE DES PENSIONS, CHÔMAGE DES SENIORS : LA GUERRE DE MACRON EST DÉCLARÉE PAR UNE SIMPLE INTERVIEW AU PARISIEN --AUJOURD'HUI EN FRANCE

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
COUPURE, MACRON NE PENSE QU'À ÇA ... REFUSONS DE NOUS FAIRE SAIGNER

Publié par Info'Com-CGT

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

On attend donc la réponse du secrétaire général de la CGT qui ne peut se taire face à une telle vilenie !

 

 

La lettre à Philippe Martinez :

Publié par FSC

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Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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