SYNDICAT CGT UNILEVER FRANCE HPCI

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Syndicat CGT Unilever HPCI France

Publié le par Syndicat CGT Le Meux

La négociation annuelle obligatoire (ANO) achoppe dans l’entreprise de fabrication de contenants en plastique.

Les salariés d’Euroflaco en grève à Compiègne

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

SOURCE : Notre Temps

 

Les salariés de l'hypermarché de Lomme (Nord) se sont mis en grève une grande partie de la journée samedi, paralysant l'activité du magasin jusqu'à 16H30, pour protester contre le passage du magasin en "location-gérance", a-t-on appris auprès de l'intersyndicale CGT-CFDT-FO.

Le géant de la distribution Carrefour avait annoncé mi-avril que 47 nouveaux magasins - 37 supermarchés Market et 10 hypermarchés -, soit environ 3.500 salariés, basculeraient dans la location-gérance en 2021.

Samedi, "90% des salariés" ont débrayé dans l'hypermarché de Lomme, a assuré à l'AFP Olivier Ginestar, délégué CGT s'exprimant au nom de l'intersyndicale. "La location-gérance, c'est une perte des acquis, un retour à la convention collective de branche, avec par exemple une sixième semaine de congés payés perdus", a-t-il déploré.


"Carrefour se dissocie de ses salariés, les transfère à une société, souvent celle d'un ancien directeur de Carrefour. Un passage en location-gérance aujourd'hui, c'est à terme une baisse de quasiment 30% des effectifs", a estimé le délégué syndical.

Les salariés "craignent aussi pour la pérennité du site: le locataire-gérant doit continuer à utiliser l'image Carrefour, payer le loyer et une redevance sur son chiffre d'affaires à Carrefour", et alors que le modèle de l'hypermarché est en difficulté, "qu'on ne nous fasse pas croire qu'un locataire avec très peu de fonds propres puisse remonter un magasin de 12.000 m2, avec 261 salariés", a expliqué M. Ginestar.

Par ailleurs, "le locataire signe un bail d'un an, et tous les ans Carrefour peut lui dire +vous ne faites plus l'affaire" donc, "chaque fois qu'on voudra négocier avec, il aura l'épée au dessus de sa tête", a-t-il ajouté.
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Contactée, la direction de Carrefour a confirmé le blocage du magasin jusqu'à 17H environ, et le rassemblement de plusieurs dizaines de personnes.

Le passage en location-gérance "se fait dans le cadre d'un accompagnement social, une clause sociale permet de maintenir de nombreux avantages", a précisé un porte-parole de la direction, citant notamment "le maintien du salaire brut de base, la qualification, un régime de mutuelle plus avantageux que dans le régime classique", ou encore les tickets restaurant.

L'hypermarché d'Euralille, en centre-ville de Lille, a également connu un "mouvement social", les salariés distribuant des tracts sans bloquer l'activité, a-t-on appris auprès de FO et de la direction de Carrefour.

 

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Vague de licenciements : Bosch confirme les 750 suppressions de postes à Rodez

C'est lors de la conférence de presse annuel du groupe Bosch que la nouvelle est tombée, 750 postes seront supprimés sur le site de Rodez, laissant sur le carreaux autant de travailleurs et d'emplois en moins dans le bassin industriel aveyronnais.

Greenwashing

Crédits photo : AFP

La directrice des ressources humaines de Bosch, Filiz Albrecht, a confirmé le 22 avril dernier la volonté du groupe de supprimer 750 emplois sur les 1250 que compte le site d’Onet-Le-Château près de Rodez d’ici 2025. Il ne s’agit pour l’heure pas de licenciements « directs » mais les travailleurs seront pousser vers la porte de sortie au travers de départ en pré-retraite et sur des départs volontaires. Comme d’habitude dans ces plans sociaux, les autres seront donc laissés « au placard » jusqu’à leur démission.

Selon le groupe, le site qui produit des équipements moteurs diesel, serait de moins en moins viable au vu de la baisse de la demande européenne pour les véhicules diesel. De plus, derrière un visage écologique le groupe promet un investissement d’un milliard dans l’hydrogène et justifie donc ces suppressions de postes par un soi-disant tournant « vert » du groupe. En d’autre termes on peut parler de « licenciements » verts, un greenwashing criminel du groupe. C’est une manœuvre que l’on commence à connaître, après les licenciements d’aubaines sur le dos de la crise sanitaire, de plus en plus de grands groupes justifient leurs attaques contre les travailleurs avec un prétexte environnementale. À l’instar des grévistes de la raffinerie de Grandpuits, il faut bien-sûr démasquer cette imposture écologique et avancer vers un contrôle de ces industries par les travailleurs ayant une réelle conscience de ces problématiques.

Hydrogène qui devrait d’ailleurs constituer la clé de voûte de la réorganisation du site. Les 500 travailleurs qui auront la chance de ne pas se retrouver à la porte auront en effet potentiellement à travailler sur une « solution hydrogène pour les containers frigorifiques ». Un projet largement critiqué par les représentants syndicaux, et dont la ministre de l’industrie, Agnès Pannier-Runacher, avait démagogiquement dénoncé. Elle avait d’ailleurs été huée par les travailleurs lorsqu’elle était venu les rencontrer en manifestation le 19 mars dernier, car les travailleurs du site, loin d’être dupes, savent que comme ses prédécesseurs, elle n’a fait qu’accompagner le saccage de l’emploi dans tout le pays.

La direction de la boîte elle, revendique avoir déjà « fait beaucoup » pour le site de Rodez, qu’elle aurait maintenu en vie alors que le diesel avait de moins en moins d’avenir, comme si aucune plus-value ne sortait de cette usine. Il est légitime de se demander en quoi cela constitue un « cadeau » pour les 750 salariés qui se retrouvent sans emplois alors que le groupe affiche un chiffre d’affaire de 71.5 milliards d’euros en 2020.

Face à cette attaque monstrueuse pour le bassin d’emploi local, il est nécessaire de soutenir largement les travailleurs de l’usine qui vont se retrouver sans emplois. Une bataille qui ne doit pas se limiter à la sauvegarde des emplois chez Bosch mais qui doit englober l’ensemble des travailleurs menacés de licenciements de la région, comme les salariés de la SAM de Viviez eux-aussi sous la menace d’un PSE. Le mouvement a déjà commencé en ce début d’année, en solidarité et en commun entre les deux usines ainsi qu’avec de nombreux soutiens. Un mouvement qu’il s’agit de continuer et d’amplifier, car seul le rapport de force et la convergence contre les licenciements et pour la sauvegarde des emplois pourra imposer une défaite au patronat et promettre un avenir sans chômage pour la jeunesse aveyronnaise.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Plusieurs milliers de manifestants contre la réforme de l’assurance-chômage : il faut un plan de bataille !

Ce vendredi 23 avril, à l’appel de plusieurs organisations syndicales, une journée de mobilisation et de manifestations a eu lieu partout en France pour exiger le retrait de la loi sur l’assurance chômage. Souvent majoritairement composées de travailleurs de la culture, elles ont regroupé plusieurs milliers de personnes.

Mobilisation

JACOPO LANDI / AFP

Une journée de manifestation festive contre une attaque d’ampleur contre les précaires

Ce vendredi 23 avril, des milliers de manifestants sont descendus dans la rue contre le projet de loi sur l’assurance chômage présenté le 2 mars dernier par Élisabeth Borne. Ce projet qui deviendra effectif dès le 1er juillet prochain va conduire à une diminution importante des allocations perçues par les chômeurs. Une attaque d’une violence inouïe en pleine crise économique., qui touchera particulièrement les plus précaires, dont les femmes en congé maternité.

À Paris, plusieurs milliers de manifestants ont pris la rue pour se battre contre la réforme. Beaucoup viennent du monde de la culture, mais dans les cortèges on retrouve aussi des hospitaliers, des collectifs de sans-papiers, ainsi que des secteurs du monde du travail en lutte comme les TUI, les cheminots de l’Infrapôle ou encore les Ibis Batignolles.

Le monde de la culture se bat déjà depuis plusieurs semaines contre les attaques du gouvernement, à l’image des chanteurs de l’Opéra de Paris ou de la compagnie de rue Acidu : « Ça fait des mois qu’on ne peut pas jouer. Avec cette réforme on est tous morts, on est là aussi pour défendre les précaires, ce n’est pas les travailleurs qui avons inventé les contrats courts... c’est une mesure à la con ! ».

Dans toute la France des manifestations ont également eu lieu. À Nantes ce sont aussi plusieurs centaines de manifestants qui ont rejoint la place Graslin, sous le soleil et dans une ambiance joyeuse, pour protester contre la loi. De fait, la journée était placée sous le signe des happenings, actions et concerts. L’ambiance est partout festive et combative, que ce soit à Brest, La Rochelle ou encore Marseille.

À Chambéry ce sont plusieurs centaines de manifestants venant des secteurs de la culture et de la jeunesse qui ont traversé les rues pour manifester pour le retrait de la loi assurance chômage.

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À Nancy, près de 300 personnes ont défilé à l’appel de la CGT, de SUD Solidaires et du collectif « occupons Nancy », dans un cortège animé, avec prises de paroles, mini-concerts et lectures de texte. Parmi les manifestants la colère est forte contre un projet de précarisation en pleine crise économique comme l’affirme Alexandre de la CGT à France bleu : « le gouvernement a eu la meilleure idée du siècle : faire une réforme des en diminuant les droits des salariés précaires alors que dans cette crise sanitaire ils sont en difficulté ».

Face aux attaques du gouvernement, produire un plan de bataille à la hauteur

Dans une période marquée par une relative atonie des luttes, cette journée de manifestation est venue redonner de la couleur au paysage social. Une première réponse face à l’attaque que représente la loi sur l’assurance-chômage après les mobilisations impulsées par les travailleurs de la culture. La manifestation fait en effet suite à toute une série d’occupations de théâtres en cours dans tout le pays.

Cependant, pour faire plier Macron il sera fondamental de réussir à agréger non seulement les intermittents et les précaires, déjà mobilisés, mais également des secteurs du mouvement ouvrier traditionnel et de la jeunesse. En ce sens, cette première journée nationale pose la question plus large du plan de bataille proposé contre la réforme de l’assurance-chômage et, plus largement, contre les attaques du gouvernement.

Ainsi que le soulignait Anasse Kazib, cheminot et militant au NPA - Révolution Permanente, dans la manifestation : "Pour dénoncer la réforme de l’assurance-chômage mais aussi le gestion catastrophique de ce gouvernement, il va falloir reprendre le pavé. Il va falloir que les directions syndicales se décident à faire quelque chose, et j’en appelle à l’ensemble des militants de base, des militants syndicaux : il faut bouger cette atonie des directions syndicales qui continuent de négocier la régression sociale alors qu’il faut faire la guerre au gouvernement."

Il y a urgence à construire un rapport de forces massif pour faire supprimer la réforme de l’assurance-chômage mais aussi en finir avec les licenciements et la précarité. Une perspective qui ne pourra être imposée que par la lutte et par la grève à commencer par le 1er mai prochain.

Publié par REVOLUTION PERMANENTE

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
UNILEVER, réorganise le service planning en vue de sauvegarder la compétitivité

Suite au CSE extra de cet après-midi, nous en savons un peu plus sur le projet d'Unilever.

La casse sociale continue chez Unilever. Dans son projet pour l'usine de Le meux, le nombre de suppression de postes et de licenciements envisagés est de :

A savoir que le service planning est constitué de 14 postes dont un poste vacant.

Le projet aurait pour conséquence la suppression de 7 postes, susceptible de conduire à la notification de 6 licenciements et la suppression du poste vacant !

Externalisé et remplacé par l'IA et des robots !!!

Nous vous tiendrons au courant de la suite.

Pour Unilever, la course au profit au détriment de l'humain continue !

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux

Un débat auquel la CGT des Bouches du Rhône a participé

L'Affiche Rouge

Publié par FSC

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
La CGT conforte sa première place dans les très petites entreprises, mais regrette la trop faible participation
Dans cet entretien, Angeline Barth, secrétaire de la CGT, revient sur les résultats des élections TPE 2021. Si celles-ci confortent la première place de la CGT parmi les salariés des entreprises de moins de 11 salariés, la confédération déplore le faible taux de participation à ce scrutin et propose une autre manière de mesurer la représentativité syndicale.

Enjeux peu lisibles, contexte pandémique, absence de syndicats dans ces entreprises peuvent expliquer une participation très faible. Mais « la liberté d'expression de ces salariés aura été mise à mal, en premier lieu par le gouvernement qui n'a pas été à la hauteur des enjeux de cette élection (trois modifications de la date du scrutin, des difficultés d'acheminement du matériel de vote, une communication quasi absente…), ce qui a largement entravé une campagne déjà très impactée par le contexte sanitaire », commente la CGT qui ne saurait s'en satisfaire. Elle propose par exemple « une période de vote commune à tout le salariat, permettant le vote physique ».

Par NVO

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Chez L’Oréal, les actionnaires continuent à toucher gros malgré la crise

2021-04-20 10:45:54 Multinationales.org

Les actionnaires du groupe L’Oréal toucheront 2,26 milliards d’euros de dividendes au titre de l’année 2020. Mme François Bettencourt Meyers, actionnaire majoritaire, touchera elle 730 millions en dividendes, de quoi assurer sa place de “femme la plus riche du monde”.

2,26 milliards d’euros : c’est le montant des dividendes versés aux actionnaires de L’Oréal qui sera voté ce mardi 20 avril lors de l’assemblée générale du groupe. Cette somme, plus élevée que l’année précédente (2,17 milliards de d’euros), interroge, alors que de nombreuses personnes sont durement touchées par les crises sanitaire et économique actuelles.

L’activité du groupe n’a diminué que légèrement au cours de l’année écoulée, avec un chiffre d’affaires de près de 28 milliards d’euros (- 6,3 %) et un résultat net de 3,5 milliards d’euros (- 5 %). Le PDG en partance Jean-Paul Agon a accepté de rogner sur une partie de sa rémunération. Il touche de 3 millions d’euros pour l’année écoulée, après avoir déjà empoché 9,7 millions l’année dernière. Encore moins bien lotis : les employés, puisque le groupe s’est séparé de près de 3 000 d’entre eux au niveau mondial en 2020.

Côté actionnaires, Françoise Bettencourt Meyers et sa famille, qui détiennent 33 % du groupe L’Oréal, toucheront 730 millions de dividendes. Avec une fortune estimée à 73,6 milliards de dollars, l’héritière du groupe est désormais la femme la plus riche du monde selon le magazine Forbes. Mme Bettencourt rejoint donc le rang des milliardaires qui, tout comme Bernard Arnault, ont vu leur fortune exploser à l’occasion de la crise du Covid-19.

Margot Vermeylen

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Photo : Cyril Attias CC By-Nc-Sa

Publié par anti-K

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Publié le par Syndicat CGT Le Meux
Macron : des cadeaux pour ceux d’en haut, des coups bas pour ceux d’en bas !

2021-04-20 14:00:02 NPA

« Chaque Français verra plus de bleu sur le terrain en 2022 qu’en 2017 »… Dans son interview au Figaro, au lendemain du vote de la très contestée loi « sécurité globale », Macron donne le ton, offensif et sécuritaire, de ces prochaines semaines : un autoritarisme qui prépare le terrain à la droite et à l’extrême droite en guise de réponse à l’explosion des inégalités sociales depuis le début de la crise sanitaire.

L’autoritarisme est en marche

Adoptée jeudi 15 avril à l’Assemblée nationale malgré la contestation dans la rue depuis novembre, la loi de « sécurité globale » est un pas supplémentaire dans le cours autoritaire de la Macronie. Incapable de gérer la crise sanitaire et ses dramatiques conséquences sociales, le gouvernement entend opérer un tour de vis sécuritaire supplémentaire en sen prenant une fois de plus violemment à nos droits et nos libertés, individuelles et collectives : généralisation de la surveillance, atteintes supplémentaires à la liberté de manifester, pouvoirs nouveaux accordés aux polices municipales et aux sociétés de sécurité privées, autorisations étendues du port darme pour les policiers et gendarmes hors service, etc.

Et Macron de nous resservir les vieilles recettes de droite, une fermeté affichée pour prétendument assurer « une vie paisible » à touTEs : objectif de 10 000 policiers et gendarmes supplémentaires dici la fin du quinquennat ; opposition affichée à la dépénalisation des drogues et lutte contre le trafic de stupéfiants qualifiée de « mère des batailles » (on souhaiterait autant de moyens contre la délinquance en col blanc, par exemple pour lutter contre l’évasion fiscale…) ; création dune « école de guerre » pour former les forces « de l’ordre »

Braconnant sur les terres de l’extrême droite, Macron est rentré de plain-pied dans la campagne présidentielle, feuilletonnant des mesures autoritaires, réactionnaires et racistes (à venir les lois sur le « séparatisme » et la justice, un plan de lutte contre les « bandes »…).

Et pendant ce temps, les riches s’enrichissent…

Comme le dévoilent les associations Attac et Oxfam dans un rapport qui vient d’être publié, la fortune des dériches explose tous les records depuis le début de la crise sanitaire. À l’échelle de la planète, la fortune des 20 personnes les plus riches a augmenté de 62 %, celle des milliardaires français de 170 milliards deuros, soit une hausse moyenne de 40% ! Alors que la majorité subit les conséquences de la crise économique due au Covid (pertes demploi, chômage partiel), notre beau pays compte quatre milliardaires de plus, dont le fondateur du laboratoire Moderna qui fournit un des vaccins les plus utilisés contre la pandémie. Un virus dramatique qui est donc une bonne affaire pour certains… Et les incontournables Bernard Arnault (troisième fortune mondiale), Françoise Meyer-Bettencourt (femme la plus riche du monde) et François Pinault — pour ne citer queux — ont vu leur fortune déastronomique exploser !

Tous peuvent dire merci à Macron : le « quoi quil en coûte », ces aides massives accordées aux entreprises du CAC 40 sans aucune contrepartie, leur a bien profité, ainsi que la générosité de la Banque centrale européenne (BCE) qui a injecté des centaines de milliards deuros sur les marchés financiers. Le contraste avec la politique du gouvernement pour la grande majorité de la population nen est que plus cruel, par exemple en mettant encore plus sous pression les chômeurs et précaires avec une réforme de lassurance chômage qui va baisser les indemnités dun million de personnes.

Ce vendredi 23 avril, nous sommes dans la rue au côté en particulier du secteur de la culture, dabord pour abroger cette réforme injuste, mais aussi pour défendre lemploi, contre les licenciements, les suppressions de postes et la précarité. Parce que lutter contre ce système et ceux qui le défendent est véritablement une mesure de salut public.

Publié par anti-K

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Se syndiquer CGT ?

Certains diront « à être défendu », d’autres « à lutter tous ensemble ». En fait, les deux idées sont inséparables. Le syndicat sert à s’unir, à s’organiser et à agir collectivement pour se défendre dans la lutte des classes et conquérir de nouveaux droits.
Le syndicat d’entreprise est la base du syndicalisme, car situé au plus près du salarié. Il fonctionne avec les syndiqués qui proposent, orientent et décident de l’activité.

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